L'homme qui porte la croix dans les évangiles
dans l'évangile selon Luc : « Comme ils l'emmenaient, ils mirent la main sur un certain Simon de Cyrène qui revenait des champs, et le chargèrent de la croix pour la porter derrière Jésus » (Luc).
En ce 3 mai 326, des hommes s'activent sur un chantier de fouilles du Golgotha. Une colline située à l'extérieur de Jérusalem où Jésus, selon les Evangiles, aurait été crucifié. Parmi eux, la silhouette d'une femme se dessine.
La mise au tombeau du Christ reprend la formule stéréotypée : Joseph d'Arimathie à la tête et Nicodème soutenant les pieds du Christ sous les regards de trois saintes femmes en prières.
Âme du Christ, sanctifie-moi, Corps du Christ, sauve-moi, Sang du Christ, enivre-moi, Eau du côté du Christ, lave-moi, Passion du Christ, fortifie-moi. Ô bon Jésus, exauce-moi. Dans tes blessures, cache-moi. Ne permets pas que je sois séparé de toi.
Mission accomplie et paix retrouvée. Jésus poussa un grand cri : Père, entre tes mains je remets mon esprit (Lc 23,46). Et sur ces mots il expira. C'est au Père que se rapporte la dernière parole de Jésus comme le fut sa première : Ne saviez-vous pas qu'il me faut être chez mon Père ? (Lc 2,49).
INRI serait l'acronyme, dit Titulus Crucis, de l'expression latine Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm généralement traduit par : « Jésus le Nazaréen, roi des Judéens », une autre proposition, pourtant dénuée de sens dans son contexte historique initial, serait « Igne Natura Renovatur Integra » "le feu renouvelle tout dans ...
Joseph est cité pour la dernière fois lors du pèlerinage familial à Jérusalem lorsque Jésus, âgé de douze ans, se trouve au Temple (Lc 2,41-50). La tradition chrétienne ainsi qu'une partie de la critique historique en ont déduit qu'il était mort avant que Jésus n'entre dans la vie publique.
Selon une tradition chrétienne qui remonte à la fin du IV e siècle, c'est la mère de l'empereur Constantin Ier , l'impératrice Hélène, qui aurait découvert la Croix de Jésus ainsi que celles des deux larrons, lors d'un pèlerinage en Palestine entrepris en 326.
Le front symbolise l'esprit, la poitrine le cœur, l'épaule droite la justice, et l'épaule gauche la miséricorde qui tempère la justice. Ces trois doigts symbolisent la Trinité (Père, Fils et Esprit) et se réunissent à leur sommet pour marquer que Dieu est Un.
Pour les alchimistes, la branche verticale, dressée, symbolise le principe masculin, et la branche horizontale, couchée, le principe féminin; leur conjonction est signe de vie 1. Son usage en tant que symbole religieux remonte plusieurs siècles avant l'époque du Christ et a une valeur universelle.
Jésus, fatigué du voyage, était assis au bord du puits. C'était environ la sixième heure. Une femme de Samarie vint puiser de l'eau. Jésus lui dit : “ Donne-moi à boire ”.
Cette barre symbolise le lien entre les pécheurs et le Christ sauveur. Elle est penchée vers la gauche (côté du mauvais larron qui n'est pas sauvé), son côté droit étant plus haut (côté du bon larron sauvé par le Christ).
Beaucoup de gens se posent la question : pourquoi certaines personnes non religieuses portent-elles une croix autour du cou ? La réponse est simple. Ces personnes recherchent un porte-bonheur qui les protégeraient. D'autres en porteraient comme un guide qui les aiderait à prendre de bonnes décisions.
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
À l'origine, bien des siècles avant Jésus, on a l' habitude en terre d'Israël de tracer sur le front un signe de bénédiction divine en forme de +, ancienne graphie du tav, la dernière lettre de l'alphabet hébraïque désignant le T de Torah. La Torah est bienfaisante dans la vie des hommes, elle est chemin vers Dieu.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Mt 1, 18+ : « or avant qu'ils aient mené une vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l'Esprit Saint » Mt 1, 20+ : « l'Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « [...] ce qui a été engendré en elle vient de l'Esprit Saint [...] » »
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ».
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Après des siècles d'une si large diffusion, le Nouveau Testament a des airs d'évidence: d'un côté les quatre évangiles, ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean et les Actes des apôtres, à l'autre extrémité la saisissante et obscure Apocalypse, et entre ces deux pôles vingt épîtres, c'est-à-dire des lettres, dont treize ...
Elle repose sur l'affirmation du salut par un rédempteur divin, le Messie envoyé par Dieu pour racheter les péchés des hommes. Paul a tiré parti de ce que le Dieu créateur est unique mais se présente dans le Pentateuque sous deux noms : " Ecoute Israël, le Seigneur notre Dieu est le seul " (Deutéronome 6, 2).
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » (v. 2, cf. Mt 27, 46).