Néanmoins, certaines études ont montré qu'une personne BPCO dont l'état de santé est stable, peut monter jusqu'à 3 000-3 500 m d'altitude sans problème particulier, à la condition d'une évaluation médicale préalable et d'être capable de tolérer l'effort physique éventuellement associé ».
Certains lieux à climat méditerranéen peuvent convenir. Les climats secs et de montagne - sauf en haute altitude où la pression atmosphérique est moindre - sont surement parmi les plus favorables pour les personnes souffrant d'insuffisance respiratoire.
Sauf en cas de contre-indication du médecin, une personne vivant avec une BPCO peut tout-à-fait voyager et prendre l'avion.
BPCO : les bienfaits de la marche nordique
La séance est adaptée à leur pathologie respiratoire et encadrée par un coach spécialement formé. La marche nordique est un sport particulièrement bien adapté aux pathologies respiratoires.
Augmenter les apports en fibres (légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses) a un effet bénéfique sur le contrôle de l'asthme et permet également de réduire l'inflammation des voies respiratoires. Cela permettrait également de freiner le développement de la BPCO et une amélioration des débits bronchiques.
Les papayes, oranges, mandarines et mangues sont riches en bêta-cryptoxanthine qui «neutralise les radicaux libres destructeurs de cellules, et peut-être aussi les radicaux libres destructeurs générés par la fumée de cigarette».
Le traitement médicamenteux de la BPCO repose sur les bronchodilatateurs administrés par voie inhalée : de courte durée d'action puis de longue durée d'action en monothérapie, et si échec, en association. Le bon maniement du dispositif d'inhalation est essentiel : formation du patient et vérification régulière.
Faire de l'exercice
Marche, vélo, jardinage... l'activité physique améliore les capacités respiratoires. Le yoga ou l'apnée aident à ralentir et à contrôler le souffle. Pour les activités d'intérieur, bien aérer avant, pendant et après.
Pour une personne en bonne santé, marcher à 4 ou 6 km à l'heure peut constituer un exercice physique modéré. Si vous avez un problème pulmonaire, vous devez marcher suffisamment vite pour être légèrement essoufflé(e).
Bronchopneumopathie chronique obstructive et bronchite chronique : définitions. La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est une maladie respiratoire chronique définie par : des symptômes respiratoires chroniques (toux, crachats, essoufflement) ; associés à une obstruction permanente des voies aériennes.
L'utilisation de bouteilles d'oxygène personnelles est interdite à bord, de même que leur transport en soute.
personnes ayant souffert récemment de troubles psychiatriques ; personnes souffrant de drépanocytose (selon avis du médein traitant) ; personnes ayant pratiqué la plongée sous-marine dans les 24 heures précédant le décollage ou ayant été victime d'un accident de décompression.
Maladies pulmonaires et cardiaques
Et les journées plus chaudes engendrent plus de smog, ce que l'Association américaine des maladies pulmonaires décrit comme « un coup de soleil sur vos poumons qui peut déclencher une crise d'asthme ».
Taux d'invalidité : 40 à 60 %.
Position assise
Placez les deux pieds sur le sol. Penchez légèrement la poitrine vers l'avant. Posez les coudes sur les genoux. Appuyez le menton sur vos mains.
Expirer lentement en dégonflant à partir du ventre. Répéter dix fois. En cas de stress ou de perte d'attention, enchaîner trois cycles de soupirs. Inspirer profondément par le nez, deux fois plus que pour une inspiration normale, puis expirer par la bouche en poussant un grand soupir.
Respirer profondément et doucement, pour augmenter la quantité d'air qu'arrive aux poumons ; Rester à l'air libre ou dans une pièce aérée, afin d'assurer plus de quantité d'oxygène ; Eviter des endroits très chauds ou très froides, pour empêcher une aggravation de l'état respiratoire.
La tomodensitométrie (TDM) thoracique est souvent utilisée pour caractériser la BPCO, dépister le cancer du poumon ou planifier des options chirurgicales. Mais elle offre désormais l'opportunité d'évaluer l'obésité et la sarcopénie grâce à des biomarqueurs des tissus mous.
Corticoides et bronchodilatateurs peuvent être utilisés en aérosol sous forme liquide, adaptée à la nébulisation. (Pulmicort*, Bricanyl*, Atrovent* sont disponibles de ville).
Même si l'on ne peut pas guérir de la BPCO, le premier moyen de freiner l'aggravation des symptômes est d'arrêter de fumer si tel est le cas. Le tabagisme est en effet à l'origine de 90% des BPCO, en entraînant une grande production de mucus qui favorise les infections bronchiques.
La vitamine C contenue dans le citron peut aider en cas d'infections respiratoires provoquées par des virus, grâce notamment à ses propriétés anti-bactériennes, affirment les médecins.
Le thym s'utilise depuis des millénaires autant en cuisine que pour ses bienfaits sur de nombreux maux. Tonique, puissant antiseptique, stimulant de l'immunité, c'est la plante incontournable et efficace contre les troubles respiratoires.
le grand plantain (Plantago Major) aux vertus anti-inflammatoires respiratoires et anti-allergiques. la prêle des champs (Equisetum arvense), qui fait preuve des mêmes indications anti-inflammatoires. le guaco (Mikania Glomerata Spreng), qui possède des composés capables d'inhiber la vasoconstriction des bronches.