Rendez-vous immédiatement à l'urgence si votre enfant présente l'un des symptômes suivants (même s'il a déjà vu un médecin) : Perte de conscience, diminution de l'état de conscience, enfant difficile à réveiller. Convulsions. Maux de tête sévères ou qui augmentent.
Si la victime du choc n'arrive pas à rester concentrée sur un sujet pendant au moins 30 minutes, il faut consulter. Même conseil en cas de perte de conscience, surtout si elle dure plus de deux minutes.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
L'examen clinique : des maux de tête intenses ou persistants, une perte de connaissance, des vomissements répétés, l'apparition d'une paralysie, des convulsions, sont des signes de gravité.
Il est également important que quelqu'un vous observe pendant quelques jours après que vous vous êtes blessé. Les commotions cérébrales se manifestent différemment d'une personne à l'autre et les symptômes peuvent prendre des heures ou des jours à apparaître.
Le premier signe à surveiller est la perte de connaissance et la somnolence. La victime ne doit pas entrer dans le coma; c'est pourquoi, on recommande aux proches de le réveiller toutes les 2 à 4 heures, surtout si la victime a eu une perte de connaissance brève après l'accident.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Après avoir fait une commotion cérébrale, il est recommandé d'effectuer une période de repos afin de diminuer les symptômes. Le repos est essentiel afin de permettre au cerveau de se reposer et de se remettre de la crise énergétique engendrée par la commotion cérébrale.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
On doit suspecter une commotion cérébrale en présence de l'un des signes ou symptômes suivants : Confusion, désorientation; ne pas se souvenir de l'heure, du lieu, de l'activité, de l'équipe adverse ou du pointage. Amnésie; ne pas se rappeler ce qui s'est passé avant, pendant ou après le choc.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Selon l'échelle de Glasgow, nous pouvons classer le traumatisme crânien en trois niveaux : – mineur si GCS ≥ 13 ; – modéré si GCS entre 9 et 12 ; – sévère si GCS ≤ ou égale à 8.
Après un choc à la tête (ou après un processus d'accélération-décélération brutale type « coup du lapin ») on parle de traumatisme crânien léger (TCL) quand certains signes sont en faveur d' un ébranlement discret mais réel du cerveau.
Rendez-vous immédiatement à l'urgence si votre enfant présente l'un des symptômes suivants (même s'il a déjà vu un médecin) : Perte de conscience, diminution de l'état de conscience, enfant difficile à réveiller. Convulsions. Maux de tête sévères ou qui augmentent.
Il est important de porter attention à tout symptôme pouvant indiquer une commotion cérébrale, afin qu'un professionnel de la santé puisse établir un diagnostic et définir un plan de rétablissement. La commotion cérébrale est une blessure grave et souvent mal comprise.
Mais la plupart des personnes qui ont un TCC modéré ou sévère restent avec des troubles de l'attention, de la difficulté à se concentrer, des pertes de mémoire et souffrent de fatigabilité. Ce sont les séquelles les plus communes, qui parfois incommodent la personne et demeurent la vie durant.
La majorité des commotions cérébrales évoluent favorablement dans un délai de 2 à 4 semaines.
Il s'agit de maux de tête, de vertiges, troubles de la vue, de l'audition, du gout ou de l'odorat, une fatigue, des troubles du sommeil. Le patient peut se plaindre de pertes de mémoire et de difficultés de concentration.
Autre signe constant chez les traumatisés crâniens dits «légers»: le syndrome post-commotionnel. La personne souffre de troubles de l'équilibre, de la mémoire, de la concentration, du sommeil, de fatigue, d'irritabilité, de maux de tête, de vertiges positionnels plus ou moins importants.
Et est-il permis de dormir après un coup à la tête ? Oui ! Si vous n'avez pas d'autres symptômes inquiétants, comme de la difficulté à marcher ou des vomissements répétitifs, il n'y a aucun souci à s'endormir, et vous en sentirez le besoin !
Un hématome sous-dural est une collection sanguine (le plus souvent post-traumatique) localisée entre la dure mère et le cerveau.