Le Roi peut-il manger aux échecs ? Oui, comme toutes les autres pièces le Roi peut prendre une pièce adverse, mais à condition de ne pas se mettre en échec en jouant ce coup. Un Roi ne peut donc jamais prendre une pièce adverse qui est protégée.
La Dame blanche attaque le Roi noir. Il ne peut ni fuir ni prendre la Dame puisque le Roi blanc qui défend la Dame. Le Roi noir est en échec et mat !
Ce qui est toujours le cas lorsqu'il ne reste plus que les rois seuls ou un roi et un fou ou un cavalier contre un roi. Si un joueur se trouve dans une position telle que son roi n'est pas en échec, mais qu'il ne dispose plus d'aucun coup légal, son roi est « pat » et la partie est nulle (voir l'exemple ci-dessous).
Au jeu d'échecs, le pat est une position dans laquelle le camp ayant le trait et n'étant pas sous le coup d'un échec, ne peut plus jouer de coup légal. La partie est alors déclarée nulle quel que soit le matériel restant sur l'échiquier. Le pat met immédiatement fin à la partie.
Le pion peut avancer d'une case en diagonale à la seule condition d'y capturer n'importe quelle pièce adverse qui s'y trouverait. La prise n'est pas obligatoire. Le pion ne peut prendre une pièce vers l'arrière ou vers le côté.
Peut-on manger le Roi aux échecs ? On ne peut pas manger (prendre) le Roi aux échecs car, lorsque le Roi d'un joueur est attaqué (c'est-à-dire lorsqu'il est en échec), ce joueur doit obligatoirement parer l'échec. S'il n'a aucun coup pour parer l'échec, on dit qu'il est échec et mat et la partie est perdue.
En matière d'attaque, le fou peut prendre la première pièce adverse qui se trouve sur son chemin. Cependant, comme il ne peut pas sauter sur une autre pièce, il se trouve automatiquement bloqué dès qu'une autre pièce amie ou adverse se trouve sur sa trajectoire.
Locution-phrase
Par allusion à l'usage des rois, qui s'expriment à la première personne du pluriel, réponse qu'on fait aux enfants impérieux qui exigent en disant « Je veux … », pour les remettre à leur place. Ajoutait doucement : « Le roi dit : Nous voulons. »
Dans le diagramme ci-dessus, le Pion blanc peut, s'il le souhaite, prendre le Fou noir des cases noires. Mais il peut aussi avancer d'une case, et dans ce cas, donner un échec au Roi noir.
Annoncer échec n'est pas obligatoire Les règles sont très claires à ce sujet : Article 3.8. b)Le roi est ''en échec'', s'il est attaqué par une ou plusieurs pièces adverses, même si ces pièces ne peuvent elles-mêmes bouger. L'annonce de l'échec n'est pas obligatoire.
L' échec. Lorsque le roi est en prise, il est en échec. Le joueur devra obligatoirement parer cet échec. S'il n'existe aucun coup pour soustraire le roi à l'échec, le roi est alors échec et mat et la partie est perdue.
Les deux pions sont bloqués et le roi ne peut aller sur aucune autre case sans se mettre en échec : il est pat. Si le roi est sans arrêt mis en échec par l'adversaire sans jamais être mis échec et mat, la partie est déclarée nulle. Aux échecs une partie peut se terminer par l'abandon de l'un des deux joueurs.
Dans cette variante la Reine se métamorphose en simple Pion. Cette pièce peut avancer ou reculer d'une seule case et elle ne prend qu'en diagonale. Comme dans la première règle du jeu, les joueurs posent à tour de rôle les pièces de leur choix avant de les déplacer.
Un jeu de 32 ou 52 cartes. L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort.
La reine se déplace de façon combinée comme un tour et un fou. Sauf si elle doit prendre, la reine peut se déplacer sur n'importe quelle case vide. Elle ne peut passer au dessus des pièces.
Pour protéger le Roi, la Reine est le joueur d'échecs préféré. Alors que nous nous référons à l'objectif des échecs, qui est de mettre le Roi échec et mat pour mettre fin à la partie, il est important de se rappeler que le Roi est la pièce la plus cruciale du jeu.
Nous nous sommes permis un langage quelque peu familier pour ce titre afin de préciser qu'aux échecs, on ne dit pas « manger » mais plutôt prendre ou capturer. Le Cavalier prend les pièces adverses en « sautant » sur leurs cases. Il prend la pièce adverse qui se trouve sur la case de sa destination.
Il est alors doublé (on pose dessus un deuxième pion de sa couleur). La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci.
La prise. La prise des pièces adverse est obligatoire et s'effectue aussi bien en avant qu'en arrière. Lorsqu'un pion se trouve en présence, diagonalement, d'une pièce adverse derrière laquelle se trouve une case libre, il doit obligatoirement sauter par-dessus cette pièce et occuper la case libre.
Le roi de France se fait appeler Sire (et la reine, Madame), et non « Majesté ». Sa Majesté est un prédicat utilisé pour mentionner le roi ou la reine à la troisième personne. Les autres membres de la famille royale se font appeler Monseigneur ou Madame, et non « Altesse ».
Locution nominale. (Grammaire) Pronom nous qui s'utilise pour un seul locuteur à la place de je, tout en maintenant un accord sylleptique au singulier, lorsque cette personne est un roi, une personnalité importante, ou revêtue d'une autorité officielle.
Le roi prend comme il se déplace ; il peut donc prendre toute pièce adverse non protégée (par une autre pièce adverse) en se déplaçant sur la case qu'elle occupe, et la pièce prise est retirée de l'échiquier.
Puis, à l'arrivée de ce jeu en France – via l'Espagne et l'Italie –, dans le courant du XVIe siècle, certains ont déformé le mot «fil» en le prononçant «fol», qui signifiait «fou». La pièce du jeu a donc progressivement pris ce nom et perdu la forme de l'animal, au profit d'un personnage portant un bonnet à clochettes.
Les Blancs jouent le premier coup de la partie. On dit de celui qui doit jouer qu'il a le trait, et jouer est une obligation (on ne peut pas « passer » son tour).
a) La partie est gagnée par le joueur qui a maté le roi adverse. Ceci met immédiatement fin à la partie à condition que le coup produisant la position d'échec et mat soit légal. b) La partie est gagnée par le joueur dont l'adversaire déclare qu'il abandonne. Ceci met immédiatement fin à la partie.