"passives", c'est-à-dire qu'elles permettent au bénéficiaire de faire face financièrement à une période sans emploi (politiques d'indemnisation du chômage) ou qu'elles soutiennent les retraits d'activité (mesures en faveur des départs en retraite des salariés qui ont eu une carrière longue).
des mesures passives de lutte contre le chômage : elles consistent essentiellement à aider les personnes au chômage ou à diminuer le nombre des actifs ; des mesures actives de lutte contre le chômage : elles cherchent principalement à créer des emplois ou les sauvegarder.
On distingue généralement deux grands types de politiques : les politiques actives, qui cherchent à accroître le niveau de l'emploi dans l'économie, et les politiques passives dont l'objectif est de rendre le chômage supportable (« traitement social du chômage »), avec la volonté de ne pas accroître la demande de ...
Les politiques de l'emploi recouvrent les interventions publiques sur le marché du travail, qui ont pour objectif d'en améliorer le fonctionnement, d'accroître et préserver l'emploi, ainsi que de réduire le chômage et les discriminations à l'embauche.
"passives", c'est-à-dire qu'elles permettent au bénéficiaire de faire face financièrement à une période sans emploi (politiques d'indemnisation du chômage) ou qu'elles soutiennent les retraits d'activité (mesures en faveur des départs en retraite des salariés qui ont eu une carrière longue).
La croissance, la flexibilité et la réduction du temps de travail sont au centre des solutions préconisées pour lutter contre le chômage de masse.
On appelle population active l'ensemble des personnes ayant ou recherchant un emploi déclaré et rémunéré. Les chômeurs sont donc des actifs. Parmi les inactifs, on retrouvera donc les personnes au foyer, sans activité professionnelle mais aussi les étudiants et les retraités.
On peut toutefois classer ces mesures dans quatre grandes politiques structurelles : la politique fiscale, la politique agricole, la politique industrielle et la politique de la concurrence. Pour la France, certaines de ces politiques sont définies au niveau européen.
Trois grandes logiques fondent les politiques sociales : l'assurance, l'assistance et la solidarité. Elles renvoient à des conceptions différentes de la société et mettent en œuvre diversement les principes de solidarité, de redistribution et de réduction des inégalités.
Les politiques économiques conjoncturelles ont quatre grands objectifs : la croissance, l'emploi, la stabilité des prix et l'équilibre externe.
La politique de l'emploi reste du ressort de la compétence nationale, même si certaines compétences en la matière sont désormais communautaires. Ces dernières s'établissent dans le cadre de la Stratégie européenne pour l'emploi (SEE) depuis 1997.
Pour J.M. Keynes, le chômage est donc involontaire et résulte d'une insuffisance de la demande effective, il est donc conjoncturel. Pour résorber le chômage, il faut alors augmenter les salaires (ou les prestations) afin d'augmenter la demande de consommation, même si cela doit provoquer de l'inflation.
Lexique. Le chômage keynésien est un chômage dû à une insuffisance de la demande anticipée sur le marché des biens et services.
Toute augmentation du taux de chômage entraîne une baisse de la taille du marché (le chômage réduit le pouvoir d'achat moyen). Il en résulte une baisse de la production de biens intermédiaires et de la rentabilité des brevets qui se traduit par un ralentissement de l'innovation et une baisse du taux de croissance.
Les politiques conjoncturelles sont des politiques qui produisent des effets à court terme, dans un délai de 12 à 18 mois. On distingue 2 types de politiques conjoncturelles : les politiques monétaires et les politiques budgétaires.
Ne pas confondre politique conjoncturelle et structurelle : la politique conjoncturelle se raccroche au court terme par ses objectifs alors que, pour des objectifs à long terme, on parle de politique structurelle.
Une politique structurelle est une politique ayant pour objectif de transformer en profondeur la structure économique d'un Etat (ou de l'Union européenne), à moyen et à long terme, dans le but d'améliorer le fonctionnement de l'économie et de l'adapter aux transformations de la société.
Une majorité des personnes interrogées (60%) estime que s'ils rencontrent des difficultés, c'est parce qu'ils ne font pas de concession dans leur recherche d'emploi, et qu'ils ne veulent pas risquer de perdre leur allocation chômage (57%, +2).
Ce qu'implique le fait d'être chômeur
La qualité de chômeur implique d'avoir perdu son emploi dans des conditions permettant à l'intéressé de prétendre à un revenu de remplacement. Le chômeur se défini comme la personne sans emploi à la recherche d'un emploi susceptible de bénéficier d'un revenu de remplacement.
Les principales causes du chômage structurel sont : le cout du travail, le salaire d'efficience et le problème d'appariement sur le marché du travail entre offre et demande. Le chômage conjoncturel peut s'expliquer par la délocalisation des entreprises dans d'autres pays et par le progrès technique.
Pour réaliser une classification des emplois, il faut regrouper tous les postes d'une entreprise selon leur catégorie : ouvrier, salarié, technicien, cadre, etc. Pour chacun des postes, il faut établir les qualifications requises et déterminer la liste des responsabilités et des tâches à accomplir.
Pour réduire le chômage classique, on peut diminuer le coût salarial, c'est-à-dire le coût du travail pour les entreprises (en faisant accepter une diminution de salaire aux chômeurs volontaires, ou en diminuant les cotisations sociales patronales).
Le conducteur devra le placer sur la chaussée, dès sa sortie véhicule, à une distance de 30 mètres au moins en amont de celui-ci ou de l'obstacle à signaler. En matière d'utilisation des triangles de présignalisation sur les autoroutes et voies rapides, la règle est énoncée par les dispositions du Code de la route.