Toutes les histoires devraient avoir des personnages fascinants et mémorables, comme des personnes avec des défauts, des personnages avec des traits uniques, et des personnages avec des objectifs et des motivations intéressantes. Ce qui rend ces personnages captivants, c'est qu'ils ressemblent à des gens ordinaires.
De l'action, des péripéties
Pour cela, il faut raconter par le parcours du personnage tout au long de l'aventure. Ce dernier ne doit pas atteindre trop rapidement la fin du récit. Il nous faut donc des obstacles, des rebondissements, des péripéties.
Pour bien raconter, il faut être à l'écoute non seulement de soi, mais de la personne à qui l'on raconte. Il faut aussi oser se laisser décentrer, se déplacer. C'est ce qui fait la différence, à mon avis, entre un récit et un journal intime. »
Le roman d'aventure se caractérise donc par la présence d'un personnage principal souvent jeune, courageux, curieux et intelligent. Un héros digne de ce nom, en somme. Le décor de ses aventures est dangereux, mystérieux et exotique, satisfaisant le désir d'évasion du héros et du lecteur.
Le début doit donc préciser les trois dimensions du récit : quand, où, et qui. Pour captiver le lecteur, il est conseillé d'entrer directement dans le vif du sujet avec une première péripétie qui présente le contexte de l'histoire (son intrigue, ses personnages, etc;). Mais, veillez à ne pas aller trop vite non plus !
Les indices formels de l'histoire ou récit sont multiples : - 3 ème personne, - système temporel : passé simple (aoriste), parfois imparfait, plus-que-parfait et passé antérieur ; - adverbe : là, c.c.t. comme ce jour-là, la veille, le lendemain...
Un bon livre est un livre simple. Même si le sujet est pointu, que les informations sont nouvelles pour le lecteur, ce dernier doit comprendre ce que vous écrivez sans l'aide d'un dictionnaire et sans médicament pour soulager sa migraine.
Pour devenir conteur, il faut aussi posséder une bonne culture générale et artistique. Ce métier implique parfois de devoir improviser. Une facilité d'adaptation devient un véritable atout pour devenir conteur. La motivation et le sens du contact font le reste.
Mobilisez votre public. Commencez votre narration par une interpellation de votre public ou par un geste qui attire son attention. Posez-lui une question, même si elle n'est que rhétorique elle amène une conclusion, un retournement ou le contexte de l'histoire que vous vous apprêtez à raconter.
Une autre manière de raconter des histoires un peu différemment, de libérer sa propre imagination consistera à donner vie à des figurines. Les miniatures sont, on le sait, très prisées des jeunes enfants qui adorent inventer des histoires à leurs petits personnages.
10 conseils pour raconter une histoire
Identifier et clarifier l'objectif de l'histoire. Construire une trame narrative en conséquence. Déterminer les rôles marqués et marquants. Fixer les points d'entrée et de sortie de chaque rôle dans l'histoire.
Vous avez sans doute beaucoup de choses à raconter et il va falloir les ordonner. Vous pouvez choisir tout simplement un ordre chronologique pour raconter votre histoire, c'est souvent le plus simple. Mais n'oubliez pas qu'il vous faut également un fil directeur pour qu'il y ait une cohérence à votre récit.
Un univers narratif vraisemblable (bien qu'il soit inventé par l'auteur ou l'autrice) présente des faits qui pourraient avoir cours dans la réalité. C'est le cas, par exemple, des récits policiers. Un univers narratif invraisemblable (ou fantastique) présente des faits, des lieux, des actions, etc. qui sont irréels.
Un récit est un texte qui raconte une histoire (un enchaînement d'événements). Celle-ci peut être fictive (c'est-à-dire imaginée, inventée, comme dans le conte, la nouvelle ou le roman) ou vraie (comme dans l'autobiographie, les mémoires ou le récit historique).
La plupart des récits obéissent à une structure type qui comprend : une situation initiale, un événement perturbateur, des péripéties et une situation finale.
En général un prologue se situe hors de l'action principale et même si parfois il peut contenir une scène, il ne doit pas nécessairement faire apparaître le personnage principal. Pour écrire un prologue, vous pouvez donc choisir un point de vue différent ou utiliser l'aide d'un narrateur omniscient.