1. Culotte, pantalon, dans les costumes traditionnels de la Gaule et pendant le haut Moyen Âge. (Surtout pluriel.)
Les Gaulois : tenue vestimentaire et artisanat - Les Gaulois
Les Gaulois portaient des braies, sorte de pantalon, avec une tunique, et ils mettaient par dessus un saillon, long manteau de laine que l'on accroche avec une fibule. Au pied, ils se chaussaient de brogues, des chaussures en cuir souple.
Les braies sont une sorte de pantalon porté par les Gaulois et les Germains, resserré aux chevilles par une lanière.
chausses
Culotte qui couvrait le corps depuis la ceinture, tantôt jusqu'aux genoux (haut-de-chausses), tantôt jusqu'aux pieds inclusivement (bas-de-chausses).
Les Gaulois ont inventé le savon. Pour le fabriquer, ils chauffaient du saindoux (graisse animale) qu'ils mélangeaient à de la cendre. En refroidissant cela donnait une pâte épaisse. Ils s'en servaient pour se laver, pour blanchir leurs cheveux ou les vêtements et fabriquer des médicaments.
Savez-vous que les Gallo-romains utilisaient le savon ? En effet, soucieux de leur hygiène, ils se lavaient même les dents avec un dentifrice dont la composition peut faire frémir : cendre de rat, miel et racine de fenouil ou urine de jeune garçon mêlé à de la pierre ponce pilée...
Les Gaulois portent un sayon (une tunique), des braies (un pantalon), des galoches (des chaussures) et une saie (une cape).
Manteau court de laine grossière, porté dans l'armée romaine antique.
On peut encore citer les divinités Belenos et Belisama ; le dieu solaire Grannos ; le dieu Borvo, sa parèdre Damona et le dieu Nerios, trois dieux liés aux sources ; Maponos, le dieu-fils ; la déesse Brigantia ; Nerios ou Neris, dieu des sources jaillissantes ; ou encore Catubodua, la "corneille du combat", déesse ...
Le nom «Pantalon» a d'abord permis de qualifier une personne portant le même habit, avant d'entrer dans le langage courant pour désigner le vêtement lui-même. Auparavant, on parlait de «braies» chez les Gaulois, et de «chausses» au Moyen Age.
Durant les XVIe et XVIIe siècles, l'eau héritait de la vision négative transmise depuis le Moyen Âge selon laquelle elle contribuait à propager le fléau qui s'était abattu sur toute l'Europe : la peste.
Quant à nos amis Romains, ils s'épilaient volontiers après le passage aux thermes et à la différence des Grecs, pas de barbe, ni moustache, les poils, c'était bon pour les pauvres et les barbares ! Pour les femmes, on considérait l'épilation comme un soin avant des relations sexuelles.
La cotte de mailles : grâce à la maîtrise qu'ils ont de l'extraction du fer, les Gaulois peuvent fabriquer des clous, des fibules, des couteaux, des ciseaux, des haches, des casques mais aussi des cottes de maille.
César a écrit La Guerre des Gaules parce qu'il voulait donner une unité à sa belle conquête. Les historiens du XIXe siècle ont inventé les Gaulois pour déterminer une origine et une frontière à la France.
Le savon aurait été inventé il y a 4.500 ans par les sumériens sous la forme d'une pâte savonneuse à base de graisse et de carbonate de potassium. Il était alors utilisé comme remède contre les maladies de la peau et non pour la toilette quotidienne.
À Rome, on les lavait de façon permanente avec le trop-plein des sources thermales, des aqueducs et des puits. Les égouts passaient sous les sièges de toilettes en marbre ou en bois et évacuaient les matières fécales dans de grands canaux collecteurs qui se jetaient dans le Tibre.
Égypte : des rois et reines sans poils (ou presque)
En Égypte, l'épilation intégrale des pieds à la tête, sourcils inclus, était de mise, pour les hommes et pour les femmes. En Mésopotamie et en Phénicie, mille ans plus tard, les rois et les reines étaient aussi épilés de près. Et pourquoi ?
Les femmes et hommes riches enlevaient tous les poils avec une sorte de rasoir fait avec un silex, avec une pince à épiler, de la crème ou avec des pierres. Même les poils pubiens étaient considérés comme « non civilisés » parmi les classes les plus riches.
Au Moyen-Âge on se rase partout, j'insiste bien sur le partout. Et pas que les poils. Certaines modes vont nécessiter pour ces dames de raser certaines parties du crâne, et notamment le haut du front. Si on se rase, c'est pour la simple raison que le poil invite à la luxure, tous les diables sont velus.
Sans cloison entre vous et les autres personnes. Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ». Les peuples pauvres partageaient un même tersorium – un bâton éponge pour une latrine commune.
Une rumeur raconte que les français sentent mauvais et ne se lavent que très peu. Cette légende internationale date du XVIème siècle, époque à laquelle les Parisiens se défaussaient de leurs déchets par les fenêtres, ne prévenant que très peu les passants.
Tomber la chemise
Comme toute l'aristocratie de l'époque, il se lavait en se frottant régulièrement le corps avec des serviettes humides et imprégnées d'alcool, tout en changeant de chemise après chaque grosse transpiration.
Réponse du Ministère des droits des femmes
Pour mémoire, cette ordonnance visait avant tout à limiter l'accès des femmes à certaines fonctions ou métiers en les empêchant de se parer à l'image des hommes.
Les femmes portent des pantalons depuis les années 60
En fait, le premier pantalon féminin fut porté bien avant cette date, puisqu'il s'agissait d'un sous-vêtement, notamment d'un pantalon de lingerie que les femmes portent sous leurs robes dans les années 1790-1800.