(Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Zarma est une interjection, une exclamation argotique et qui a pour signification "purée", "la vache". Il s'agit d'une expression très familière.
Définition de zarma :
Zarma : de l'arabe زعما qui veut dire “soi-disant, prétendûment”.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
3 - Cheh. Expression originaire de l'arabe dialectal du Maghreb, elle signifie "bien fait (pour toi)". Elle s'accompagne, surtout chez les enfants, par un poing fermé qui frotte la paume ouverte de l'autre main.
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
(Argot) Banlieue ; taudis.
(Argot) (Péjoratif) Mouchard ; personne qui dénonce ; balance. (Argot) Traitre ; renégat.
MINAUDER, verbe intrans. Faire des mines, prendre des poses, adopter des manières affectées pour plaire, pour séduire.
Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Les jasare (griots généalogistes et historiens d'origine soninké1), à travers les récits dont ils sont les dépositaires, racontent pourtant que les Zarma sont des étrangers venus d'un lointain pays d'Arabie qui, sous l'égide de l'Empire du Mali, devinrent les « Malinkés dorés », du fait de leur extrême beauté.
ع appelé "ayn". Il s'écrit avec un "3". Ce son ressemble à un "a" prolongé mais qui se forme dans la gorge. C'est le son produit quand vous retirez l'arrière de votre langue vers votre gorge.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.
Définition de baltringue nom
➙ tocard. Personne peureuse ; lâche. REM. Parfois employé au féminin pour désigner un homme : Ce type, c'est une vraie baltringue !
Étymologie. Déformation possible de l'argot balle-tringle, de l'argot baller (lancer, balancer) et de tringle (tringle à rideaux) : ce mot désignerait donc quelqu'un déménageant sans cesse ou alors un forain ou encore un manutentionnaire de cirque (vocabulaire du cirque).
Dès le début du XVIIIe siècle, daron signifie « père » et c'est aussi, selon le Trésor de la langue française, un « sobriquet que les ouvriers donnent à leurs bourgeois ». S'il continue à signifier « patron » ou « père », daron désigne aussi « un tenancier de cabaret » au XIXe siècle.
La graphie la plus courante est nettement cheh , mais on trouve aussi chèh , sheh et shèh .
Viendrait du mot gamelle, désignant les cylindres du moteur de la voiture, terme d'origine populaire utilisé par des rappeurs français pour désigner des grosses cylindrées.
Désordre, bazar, pagaille. Quel taudis!
A toz, bendo, cheh, lové, chourav...
Nom commun. (Argot) Sou, somme d'argent.