L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Les risques technologiques, d'origine anthropique, sont au nombre de quatre : le risque nucléaire, le risque industriel, le risque de transport de matières dangereuses et le risque de rupture de barrage.
Qu'est-ce qu'un risque majeur ? Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Pollution de l'eau, de l'air et du sol
Nous associons souvent la pollution à l'industrie, aux transports et à la production d'énergie, qui sont des sources importantes, mais près de 50 % des pressions sur la nature liées à la pollution proviennent des émissions agricoles dans l'air, l'eau et le sol.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
Si, pour la première fois, les maladies infectieuses arrivent en tête du classement des risques les plus graves pour l'humanité, neuf autres inquiètent particulièrement les experts de la Fondation.
Les facteurs de risque sont des attributs qui contribuent au développement ou à l'aggravation de conditions indésirables. Ils comprennent par exemple les comportements oppositionnels, le conflit familial et l'isolement social.
Primaire : action prioritaire, pour intervenir au plus tôt sur les facteurs de risques pour les supprimer ou les réduire ; Secondaire : suivre les risques et l'état de santé des salariés ; Tertiaire : limiter les conséquences d'un risque survenu, afin d'agir pour le maintien en emploi.
Comme on l'a vu dans un article précédent, les activités humaines peuvent se diviser en six classes : le prélèvement des ressources, la fabrication de biens, le transport des biens et des personnes, l'agriculture & l'élevage, l'urbanisation et la production et consommation d'énergie.
Ce sont par exemple des zones d'extraction, des "tas", des minéraux hors de leur contexte (donc déplacés), des résidus de construction ou de fabrication, des débris d'outils...
Elles comprennent : les données volontaires, créées et partagées explicitement par les individus, par exemple les commentaires et les contributions sur les réseaux sociaux ; les données observées, issues de l'enregistrement involontaire des activités, par exemple les données de géolocalisation des utilisateurs à partir ...
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Les activités humaines sont le principal facteur de l'érosion actuelle de la biodiversité, notamment à travers la surexploitation des ressources (biosphère, sol, ressources minières, etc.), la pollution, le réchauffement climatique, etc.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
Les causes principales de la pollution des eaux sont les nombreux rejets de produits chimiques générés par les usines, des rejets comme l'azote ou les phosphates. Des rejets de produits ménagers et d'entretien comme les aérosols, les engrais et les déchets de toutes sortes.