intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.
Le climat et les changements climatiques peuvent avoir des effets directs sur l'émergence et la réémergence de maladies infectieuses en influant sur la survie des agents pathogènes, la survie et la reproduction des vecteurs arthropodes, la contamination de l'eau et, dans le cas des zoonoses, l'abondance d'hôtes ...
Entre 2030 et 2050, les changements climatiques devraient générer près de 300 000 décès supplémentaires par an, en accroissant la malnutrition et la sous-alimentation des enfants, les maladies transmises par des insectes, les diarrhées et les stress liés à la chaleur.
Le changement climatique a de graves conséquences sur les populations les plus vulnérables. L'intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, la hausse du niveau des océans, et l'absence de précipitations dans les régions arides plongent une grande partie de la population dans la pauvreté.
D'après l'OMS (organisation Mondiale de la Santé), la Costa Blanca bénéficie d'un des climats les plus sains au monde ! La Costa Blanca est une destination très prisée, que ce soit pour y passer des vacances, comme pour passer sa retraite en Espagne.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Le changement climatique accroît les risques sanitaires : vagues de chaleur, cyclones, inondations, sécheresses, propagation facilitée de maladies « à vecteurs », etc. Les dérèglements climatiques perturbent la distribution des ressources naturelles, leur quantité et leur qualité.
Parallèlement à l'augmentation nos activités et de la concentration des gaz à effet serre, nous diminuons les puits de carbone naturels que sont les arbres, notamment par la déforestation, pour subvenir à nos besoins énergétiques d'une part, mais aussi au profit de l'extension de l'urbanisation.
L'augmentation de la production agricole
L'élévation de la température et de la concentration atmosphérique en CO2 favorise le métabolisme des végétaux et leur photosynthèse. Si les autres ressources nécessaires à la croissance végétale sont présentes, la productivité végétale devrait augmenter.
Pour les connaisseurs, on parle ainsi de AGW soit "Anthropogenic global warming".
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
Bien que surprenants, les résultats obtenus par les chercheurs sont clairs : le réchauffement climatique auquel nous assistons a commencé au tout début de la révolution industrielle, il y a environ 180 ans.
Il existe 5 grands types de climat : le climat froid, le climat tempéré, le climat continental, le climat tropical et le climat désertique.
Dans le monde, selon les données du GIEC, les principaux grands secteurs de l'économie mondiale contribuant aux émissions de CO2 sont les suivants, dans l'ordre décroissant : Production de chaleur et d'électricité (25%) Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%)
Entre 2005 et 2019, les émissions mondiales de GES ont augmenté de 23,6 %, passant de 38 669 à 48 117 mégatonnes d'équivalent en dioxyde de carbone (Mt d'éq. CO2). En 2019, le principal pays émetteur était la Chine avec 12 705 Mt d'éq. CO2, soit 26,4 % des émissions mondiales de GES.
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
Tout indique que le réchauffement récent du climat perturbe profondément les écosystèmes terrestres, entre autres le caractère hâtif des phénomènes printaniers (apparition des feuilles sur les arbres, migration des oiseaux, ponte des œufs) et le déplacement de l'aire de répartition d'espèces animales et végétales.
Il existe pour cela de nombreuses solutions : consommer durable en choisissant des objets de qualité que l'on devra remplacer moins vite ; isoler son logement ; s'équiper d'appareils économes en énergie ; se déplacer le moins possible en voiture, en scooter ou en avion ; préférer les fruits et légumes locaux et de ...