Quelle différence faites-vous entre la mort et l'absence de la vie? C'est, a priori, une question à laquelle il paraît simple de répondre: la mort, c'est la fin de la vie; il ne peut donc y avoir de mort en l'absence de vie! Une roche volcanique, qui n'a jamais été vivante, ne peut pas mourir.
En quoi consiste notre relation à la mort ? Nulle opposition entre vie et mort n'est à même d'en rendre compte, plutôt s'agit-il d'une inclusion. Pour le sujet, la vie qu'il fera sienne procède d'une perte qui la détache de l'organique. C'est une perte durable et ineffaçable, logée au cœur du vivant.
en grand danger de mort ; à l'agonie ; dans un extrême péril.
La mort c'est le meilleur moment de la vie; c'est pour cela qu'il est préférable de le garder pour la fin. Cette phrase de Gustave Parking contient 23 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
La mort fait partie intégrante de la vie, qu'elle soit biologique, sociale ou intellectuelle voire spirituelle. A ce titre, ses représentations, ses symboles, les croyances, mythes et rituels qu'elle suscite nous accompagnent tout au long de notre vie.
Du latin mors, la mort s'entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition nous est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.
La mort est l'état irréversible d'un organisme biologique ayant cessé de vivre. Cet état se caractérise par une rupture définitive dans la cohérence des processus vitaux (nutrition, respiration…) de l'organisme considéré.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
Une vie, c'est fait avec l'avenir, comme les corps sont faits avec le vide. Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit encore la rêver. La vie, c'est comme un autobus ; quand tu te retournes, tu t'aperçois qu'il y en a déjà beaucoup qui sont descendus.
L'amour est la chose la plus douce du monde, juste au moment où elle est sur le point de toucher votre main, elle touche d'abord votre coeur.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
La mort nous délivre des tourments du monde sensible, les maladies, la douleur… et c'est pourquoi « le corps est le tombeau de l'âme » (sôma sêma) (Cratyle). Au fond, à la mort, on n'enterre que le corps. Pour les vrais philosophes, la mort, explique Platon, n'est donc que la libération de l'âme.
Échanger sur le sujet librement, parler de la mort, des êtres perdus... peut aider à considérer la mort comme réelle et faisant partie de la « vie » pour la rendre plus acceptable et en avoir moins peur. Concrètement, cela peut aider à diminuer les symptômes pathologiques.
Elle est marquée par une profonde tristesse, une forte démotivation et des angoisses. On plonge dans des sentiments de culpabilité et dans une remise en question sans fin, alimentant une grande détresse. La personne rumine en permanence les causes de la disparition de l'être aimé.
La peur de la mort est normale et légitime. Mais poussée à l'extrême, elle peut être pathologique, entraîner des crises d'angoisse, une dépression, des insomnies...
Le corps :
Les yeux restent mi-ouverts et le regard est fixe, la personne semble ne plus voir. Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Les mots d'amour les plus touchants sont ceux qui expriment le manque ou le sentiment d'affection et d'amour inconditionnel: “Tu me manques quand je ne suis pas avec toi”, “Je t'aime pour ce que tu es”, “je t'aime chaque jour plus que le précédent”, “je te choisirai même dans une autre vie parce que mon amour pour toi ...
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».