L'origine du terme serait la contraction du terme argotique «Alboche» pour Allemand ou un dérivé de l'expression «tête de boche» pour «tête de bois». L'Allemagne se dit «Bochie».
Le mot boche commence à se répandre dans l'argot militaire à partir de la guerre franco-allemande de 1870. Il est surtout popularisé par les poilus dans les tranchées de la Grande Guerre, sans être systématiquement empreint d'animosité, avant de passer dans le langage commun.
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
Dans la langue française, on usait, durant la Seconde Guerre mondiale, d'un terme particulier pour désigner l'occupant allemand : le Chleuh. Ce mot vient du Maroc où il est utilisé, par les arabophones, pour désigner les berbérophones.
En revanche, les Anglais les appellent les Allemands Germans . Parce que pour les Anglais, les Dutch , justement, ce sont ceux que les Français appellent les Néerlandais .
Péjoratif, vieilli. Terme injurieux pour désigner un Allemand.
Le chleuh est un dialecte qui appartient au type "occlusif" : les consonnes berbères /b, d, d, t, g, k/ restent occlusives, contrairement à ce qui se passe dans les autres aires dialectales berbères marocaines, Rif et Moyen Atlas ou en kabyle, où la spirantisation des occlusives est un phénomènes très largement attesté ...
Certains d'entre vous ont peut-être remarqué la présence de suffixes et de préfixes récurrents dans les noms de communes alsaciennes, ces derniers sont souvent issus directement de l'allemand, qui prend ses racines dans le groupe plus large des langues germaniques.
Le nom des Teutons est issu du proto-germanique *þeudanōz (« ceux de la tribu »), nom passé d'abord en celtique puis latinisé en Teutoni. Il repose sur l'indo-européen *teutonōs « ceux de la tribu », dérivé du radical *teutā- « tribu ».
C'est aussi un surnom donné par certains aux soldats allemands après la Seconde guerre mondiale, notamment en raison de leur nombre et des pénuries causées par les réquisitions. Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation.
L'Allemagne se dit «Bochie». Syn: Fritz (plus rare). Bonhomme n.m. Terme utilisé par les soldats pour se désigner eux-mêmes.
Tout le monde sait comment les Français surnommaient les Allemands pendant la Première Guerre mondiale : les Boches.
Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Et que faire si vous souhaitez déclarer votre flamme à votre chéri(e) ? Dites-lui « Hemlegh-kem », qui est la traduction de « Je t'aime » en berbère kabyle, lorsqu'on s'adresse à une femme, et « Hemlegh-k hemlegh-k », lorsqu'il s'agit d'un homme.
"Azul fellawen !" est la façon la plus commune de dire "bonjour" en kabyle.
Précision : le mot « aman » est commun à toutes les langues berbères d'Afrique du Nord (tachelhit, tarifit, tamazight, taqbaylit, tachawit, tumzabit, tasiwit…).
Les noms des Allemands - étymologie : Deutsch, teuton, tudesque, allemand, alémanique… LEXILOGOS. L'Allemagne et les Allemands sont un pays et un peuple qui ne sont pas appelés de la même façon dans les différentes langues.
Le casque à pointe (en allemand : Pickelhaube) est un modèle de casque militaire utilisé par les armées prussiennes, puis allemandes au XIX e siècle et au début du XX e siècle. Sa pointe devait protéger les fantassins des coups de sabre de la cavalerie.
Pour la majorité des Français, l'expression « Boches du Nord », employée pour qualifier les rapatriés, est synonyme de traîtrise et de collusion avec l'ennemi.
L'Allemagne s'appelle alors la Germanie et n'est pas un État à part entière. Lors de la division de l'Empire romain en 496, les peuples germaniques s'installent sur des territoires appartenant autrefois à l'Empire romain d'occident .
En effet, « Dutch », en anglais, vient de la racine germanique « diot » (d'où l'ancienne appellation du néerlandais « diets », mais aussi, désignant cette fois l'allemand, « deutsch », le français « teuton » et « thiois » et l'italien « tedesco »).