L'Iroko : l'arbre miraculeux qui stocke le CO2 pour le transformer en calcaire. L'Iroko est un arbre tropical africain poussant principalement en zones chaudes et humides, qui a une capacité remarquable à absorber le CO2 pour le transformer en calcaire.
Surnommé, l'arbre impérial, le Paulownia a cette capacité de filtration hors norme qui en fait un arbre indispensable à la planète. Il peut absorber 10 fois plus de CO2 que les autres arbres et donc purifier l'air beaucoup plus vite.
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.
Le Paulownia, ce « super » arbre écologique qui absorbe 10 fois plus de CO2 que les autres. Sans que la majorité d'entre nous s'en rende compte, il existe dans la nature des bottes secrètes qui pourraient grandement nous aider à lutter contre le réchauffement climatique.
Les arbres au feuillage abondant et aux feuilles plates, tels que le robinier faux-acacia ou le peuplier noir, sont ainsi capables d'absorber de grandes quantités de polluants, de même que les essences à feuilles rugueuses comme le hêtre.
L'oxygène contenu dans le CO2 est, lui, rejeté dans l'atmosphère. C'est le jour que les arbres accomplissent l'essentiel de leur travail de transformation du CO2 en carbone et en bois, puisque leur carburant est la lumière. La nuit, les arbres « expirent » le gaz carbonique.
Le bambou peut contribuer à la déforestation
La monoculture épuise les sols, éradique la biodiversité nécessaire, et génère donc plus de risques de maladies. Une fois le bambou installé, impossible de retrouver la biodiversité originelle. Autre impact écologique non-négligeable : son empreinte carbone.
Le sapin artificiel a un bilan carbone bien moins favorable
En réalité, les sapins artificiels fabriqués à partir de dérivés de pétrole ne sont pas plus écologiques.
Pas d'inquiétude majeure pour les valeurs sûres que sont les chênes, sessile et pédonculé, ou le douglas chez les résineux. Il risque toutefois d'y avoir pénurie de graines pour des essences moins dépendantes en eau et peu plantées jusqu'alors.
On dit souvent qu'il ne faut pas dormir à côté de plantes vertes... En effet, durant la nuit, à cause de l'absence de lumière, le processus de photosynthèse s'interrompt chez les végétaux. Au lieu d'absorber du CO2 et de rejeter de l'oxygène, c'est l'inverse qui se produit.
Certaines plantes cumulent les effets dépolluants et humidifient l'air. Notamment le spathiphyllum, le schefflera, la fougère de boston (Nephrolepis exaltata) et l'Areca dypsis lutescens. Ces plantes sont à placer partout.
À ce compte, le sapin naturel remporte la palme du choix le plus écologique, selon l'analyse du cabinet-conseil en développement durable Ellipsos.
Le sapin naturel l'emporte en effet sur le plastique s'il a été cultivé en France - pour que son transport soit le moins polluant possible - si sa culture n'a pas nécessité trop d'intrants chimiques ni trop d'eau - il existe des labels pour le certifier - et s'il est bien laissé à l'état naturel avant d'être composté.
Selon l'Agence de la transition écologique, il faudrait qu'on le garde 20 ans pour faire du sapin artificiel un achat raisonnable, en tout cas pour que son empreinte carbone (plus de 8 kg de CO2, contre 3 kg pour un sapin naturel), soit moins catastrophique.
Le bambou est léger, solide, ultra-renouvelable et compostable, ce qui en fait le choix idéal pour les produits écologiques.
Un bambou a besoin de 900 à 1000 mm d'eau par an pour bien se développer. L'année de sa plantation, un bambou ne doit pas manquer d'eau. L'eau de pluie ne sera pas suffisante pour couvrir ses besoins.
Contrairement à la plupart des autres matériaux de construction, le bambou est totalement recyclable. Les déchets de bambou recyclés sont par exemple largement utilisés dans la culture d'autres végétaux et même pour la production d'engrais.
Détrompez vous, elles respirent et ce phénomène est d'une importance vitale pour leur croissance. Toutes les cellules vivantes d'un arbre respirent en permanence, et plus ou moins selon la température.
Le carbone reste emprisonné dans les racines, le tronc et les branches, où il sert à créer la matière organique essentielle à la croissance de l'arbre. L'oxygène, quant à lui, est rejeté dans l'atmosphère.
Pour extraire du CO2 de l'atmosphère, il faut d'abord faire passer l'air sur ce qu'on appelle un absorbant à l'aide de ventilateurs. Cet absorbant fixe le CO2 jusqu'à ce que sa capacité d'absorption du gaz à effet de serre soit épuisée.