La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
0, qui correspond à des émissions modérées à élevées, le réchauffement global moyen est de 2,2°C au-dessus des niveaux actuels d'ici 2100, mais continue d'augmenter jusqu'à 3,6°C en 2200 et 4,6°C en 2500.
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.
En 10.000 ans avant notre ère, les humains auraient ainsi transformé près des trois quarts de la surface de la Terre, rapporte Science Alert.
Par exemple, on pourrait assister à des vagues de chaleur et de sécheresse plus intenses que celles qui se produisent aujourd'hui dans certaines régions du globe. Les inondations seront, elles aussi, plus dramatiques à cause de la fonte des glaciers et de la montée du niveau des mers qui aura grimpé de 0,50 cm à 1 m.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
D'ici 2080, sans des réductions spectaculaires des émissions de gaz, le sud de l'Europe sera en sécheresse permanente et extrême, comme certaines régions des Etats-Unis. Il en va de même en Irak et en Syrie et dans une grande partie du reste du Moyen-Orient.
Comment la France se prépare à vivre avec + 4 degrés en 2100. En 2100, les habitants de la moitié nord de la France pourraient connaître de 40 à 50 nuits tropicales par an (avec une température au-dessus de 20 degrés) ; quand les territoires les plus exposés, le pourtour méditerranéen notamment, en subiront 90.
Elle peut tout d'abord découler de l'activité humaine (pollution, épuisement des ressources naturelles, effet de serre). Le réchauffement climatique est susceptible d'entraîner une diminution de l'oxygène dans l'air par mort du plancton et une libération de sulfure d'hydrogène mortel pour la majorité des organismes.
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En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Le réchauffement climatique se poursuivra sur les 20 prochaines années, stimulé par une augmentation hallucinante des émissions de gaz à effet de serre. Concrètement, les températures sur toute la surface du globe ne cesseront de s'élever selon un mécanisme environnemental aux engrenages bien graissés.
Vivre ensemble en 2030
Selon eux, dans moins de 10 ans : on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.
NON, LA TERRE N'EST PAS SURPEUPLÉE.
C'est le cas du Nord de la Chine (région qui abrite actuellement 400 millions d'habitants), du Bangladesh, du Pakistan, d'une partie de l'Inde et de certaines régions de l'Asie du Sud. Même chose pour les pays du Golfe (Emirats, Arabes Unis, Qatar, Oman etc...).
L'année 2100 est une année commune du calendrier grégorien qui commence un vendredi, c'est la 2100e année de notre ère, la 100e année du IIIe millénaire et dernière du XXI e siècle et la première année de la décennie 2100-2109.
En 2500, la Terre sera devenue hostile aux humains selon des scientifiques. Même le scénario le plus optimiste d'atténuation du taux de concentration atmosphérique de gaz à effet de serre aura des conséquences dramatiques.
D'ici 2040, en supposant que les tendances démographiques récentes se maintiennent, la population de la France augmentera de 15 %. En métropole, elle devrait continuer de se concentrer vers le Sud et l'Ouest, à l'inverse de certaines régions du Nord-Est.
En 2050, sur le pourtour méditerranéen, elles dépassent encore localement les 40°C durant l'été. Mais sans politique de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, tout le Sud de l'Hexagone connaîtrait des températures étouffantes et les fortes chaleurs seraient remontées au nord de la Loire.