Manger est un bonheur gustatif et social. Certains aliments ont un impact réel sur notre bonheur car ils stimulent la sécrétion d'hormones bien particulières, liées au sentiment de plaisir ou qui combattent le sentiment de dépression.
Qu'il soit un moment de gourmandise, de partage ou de détente, l'acte de manger permet de se faire plaisir tout en apportant à son organisme ce dont il a besoin. Dans cette recherche de plaisir, les consommateurs privilégient la qualité à la quantité. L'alimentation devient alors un vrai plaisir épicurien !
Framboises, mûres, groseilles, myrtilles, cassis, baies de goji ou encore cranberries (canneberge), ces petits fruits ont de grandes vertus. Bien sûr, chacun a ses spécificités mais ils sont généralement riches en vitamine C, en minéraux, en fibres et même en acides gras. Surtout, ils regorgent d'antioxydants.
Elle crée des échanges (bien souvent, de trucs et astuces !) et renforce le sentiment de proximité avec nos proches. Elle est aussi l'occasion de découvrir de nouvelles personnes (par exemple, lorsque l'on prend des cours de cuisine ou que l'on se porte volontaire lors d'événements associatifs).
Notre réaction aux goûts dépend de notre ADN. Les goûts et les odeurs sont une affaire individuelle. Et notre ADN est le responsable de nos préférences alimentaires. Notre code génétique aide à déterminer comment notre cerveau traitera les messages sensoriels.
Aimer ces aliments
Essayez de trouver d'autres recettes contenant cet ingrédient que vous n'aimez pas. Choisissez le plat qui semble le plus délicieux. Vous pouvez par exemple essayer d'ajouter cet aliment à vos recettes de desserts, de ragouts ou de soupes réalisées avec votre mixeur plongeant.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
À l'origine de la bonne humeur, il y a un neurotransmetteur, la dopamine, générée dans les régions profondes du cerveau. “Lorsque vous apprenez une nouvelle qui vous fait plaisir, par exemple, vous ressentez un shoot d'énergie, dû à une décharge de dopamine dans votre cerveau, explique Gilles Pourtois.
Le système de récompense du cerveau sera alors activé et ce dernier pourra réagir en libérant le transmetteur dopamine. Ainsi, le bonheur déclenché lors de la dégustation du chocolat n'est pas dû à la présence de dopamine dans le chocolat mais parce-que le cerveau libère lui-même cette substance.
Si manger et surtout bien manger est un besoin vital pour le corps, c'est aussi un plaisir. Tout d'abord celui des sens : le goût, l'odorat, le toucher, la vue mais aussi l'ouïe peuvent être tous en éveil lorsque l'on s'alimente.
Le plaisir alimentaire est d'abord fait de désir avant la prise alimentaire, puis lorsque nous mangeons, nous allons vivre des plaisirs sensoriels mais également des plaisirs symboliques faits de partage, de convivialité, de détente, de souvenirs mais également de réconfort.
Les chansons rythmées, sur lesquelles on peut bouger, sont généralement des musiques joyeuses. Il est facile de faire un petit pas de danse répétitif qui vous mettra de bonne humeur. Ces musiques font donc du bien aux oreilles mais également au corps. Les chansons provoquant des émotions rendent elles aussi heureux.
Les aliments à intégrer contre la dépression sont des aliments riches en Oméga-3, en vitamines B9, B12, B6 et en tryptophane. Il faudra également veiller à un bon apport en vitamine D car une carence peut favoriser un état dépressif.
Or la vitamine B est essentielle à notre bonheur, car elle aide l'organisme à produire de la sérotonine, une hormone connue également sous le petit nom de... hormone du bonheur.
Produite par les testicules et les glandes surrénales de l'homme, la testostérone est considérée comme l'hormone mâle par excellence. Pourtant, elle est aussi l'hormone clé du désir…
Les larmes émotionnelles contiennent plus d'hormones de stress, que les autres larmes, et permettent ainsi de réduire la concentration de certaines substances dans le corps. Une de ces hormones de stress est la prolactine, qui se trouve en plus forte concentration chez les femmes que les hommes.
Son rôle est de stimuler les glandes surrénales, qui à leur tour libèrent le cortisol. Le cortisol a pour but de fournir au cerveau un apport en énergie suffisant pour nous préparer à faire face au stress.
Parfois, une aversion peut être attribuable à des souvenirs d'enfance, surtout si on a été forcé de manger des légumes qui ne nous plaisaient pas. Dans d'autres cas, certains ne les ont pas appréciés parce qu'ils étaient trop cuits ou trop mous. Un légume préparé convenablement peut tout changer!
Pour aimer un aliment, les enfants doivent développer leur goût pour celui-ci. Plusieurs facteurs influencent les préférences alimentaires, comme les attirances naturelles, la sensibilité ou la génétique. Mais, c'est surtout l'exposition qui fera en sorte qu'un enfant aimera ou n'aimera pas un aliment.