Historiquement, cette position est découverte par Caprilli (1868/1907) lorsqu'il recherche une position économique pour les hommes et les chevaux dans l'équitation de campagne. Le cavalier en suspension laisse plus de liberté au cheval et intervient le moins possible.
Un jockey qui « fait le poids »
En effet être léger permet au cheval de dépenser moins d'effort à porter son cavalier, mais de se concentrer plutôt sur la course à gagner. De manière générale, un jockey devrait peser environ 52 kg pour une course de plat, et 61 kg environ pour une course d'obstacle.
Il doit présenter des qualités techniques pour diriger son cheval et des aptitudes à la tactique de course. Il possède d'indéniables qualités physiques. Les risques de blessures sont réels. Attention, le poids du jockey est réglementé : plat, entre 46 et 54 kg pour 1,55 m ; obstacle, jusqu'à 60 kg pour 1,60 m.
Appelées aussi couleurs, les casaques et toques des jockeys sont choisies par les propriétaires des chevaux de course. Il faut ensuite l'aval des sociétés de courses hippiques afin que les casaques soient agréées.
Le jockey doit être en possession d'une licence sportive. La formation n'est pas le seul critère de sélection. Le jockey doit mesurer moins d′1m55 et peser entre 46 et 54 kg. La taille et le poids exigés sont plus élevés pour les courses à obstacle.
Le jockey est rémunéré selon ses résultats en courses, qu'il travaille à son compte ou pour un patron.
Christophe Soumillon a remporté 3 Qatar Prix du Jockey Club (Gr. 1) dans sa riche carrière.
2000 euros brut par mois.
Qualités pour être Jockey
Pour les épreuves sur le plat, il doit peser entre 46 et 54 kg et mesurer 1,55 m maximum. Pour les courses d'obstacles, la taille requise se situe entre 1,60 et 1,70 m et le poids sous les 60 kg.
Evidemment, les très bons professionnels, qui gagnent souvent, sont beaucoup mieux rémunérés que les autres. Par exemple, le célèbre jockey Christophe Soumillon (photo) fût le jockey le mieux rémunéré avec plus de 750.000 euros de gains sur l'année 2005.
Les formations et les diplômes
2 ans pour préparer le CAP agricole lad-cavalier d'entraînement ; 3 ans pour le bac pro conduite et gestion de l'entreprise hippique.
Pour être au départ de ce genre d'épreuve, une licence spécifique, délivrée par LeTROT, est nécessaire. Sans avoir à passer un examen, on s'assure en effet que l'amateur dispose des aptitudes à driver ou à monter un cheval en compétition.
Les caractéristiques du cheval de trait
Les critères de sélection ont pour points communs leur haute taille (de 1,60 m à plus de 1,80 m), leur poids important (de 500 à plus de 1 000 kg) et une morphologie trapue et puissante.
Avec 6,52 M€, Jean-Michel Bazire domine largement les siens, laissant son dauphin Sébastien Guarato (4,58 M€) à quasiment 2 M€ derrière lui.
Comment devenir lad-driver/lad-jockey ? Le CAP Agricole Lad-cavalier d'entraînement en deux ans permet de devenir lad-driver ou lad-jockey. Il se prépare très souvent en apprentissage. En vue d'une reconversion, il est conseillé de poursuivre avec un Bac pro Conduite et gestion de l'entreprise hippique.
Pour devenir jockey il n'existe pas de diplôme spécifique. Avant toute chose il faut se former au métier de cavalier d'entraînement qui est la possible porte d'entrée pour accéder au métier de jockey. L'École des Courses Hippiques propose des formations diplômantes et qualifiantes pour devenir cavalier d'entraînement.
Une prise en charge, sur le lieu et à l'heure de votre choix, de vos véhicules par l'un de nos chauffeurs et leur convoyage lors de leur livraison, entretien, restitution, et pour vos trajets inter-établissements.