Les molécules du savon ont la particularité d'être amphiphiles, c'est-à-dire qu'une partie de la molécule «aime l'eau» et l'autre «aime le gras». Par conséquent, la partie lipophile (qui aime le gras) tente de se séparer de l'eau en s'accrochant aux matières graisseuses de la saleté.
Lorsqu'on se lave, et qu'on crée un mouvement d'agitation : l'eau et le savon vont se trouver au contact de l'air. Grâce à leurs têtes hydrophiles, les ions du savon vont emprisonner une pellicule d'eau autour d'un volume rempli d'air ! C'est ainsi que vont se former les bulles de savon lors du lavage.
La structure du savon, faite pour laver
Ensemble, elles forment un complexe nommé « micelle ». Les parties hydrophiles des molécules de savon fragilisent les liaisons entre les taches et le support, ce qui fait que les taches s'en décrochent.
Le savon a un pouvoir moussant
Vous l'avez compris dans l'eau les tensioactifs ont deux effets principaux : stabiliser les bulles d'air (la mousse) et détacher les corps gras (la saleté) sur notre corps. Ce n'est pas parce qu'un savon mousse beaucoup qu'il lave. La mousse est un des effets de la présence de savon.
En effet, le savon, même simple, a une action antibactérienne très importante. Quand il est désinfectant, il permet de se débarrasser de davantage de micro-organismes comme les virus, champignons, levures. Son rôle n'est plus à démontrer dans la lutte contre les maladies courantes (grippe, gastro-entérite, etc.)
Un savon est considéré comme antiseptique seulement s'il a une activité fongicide et/ou bactéricide, et/ou virucide et parfois sporicide sur les surfaces vivantes.
On parle de molécules tensio-actives. Lors du lavage, la partie hydrophobe s'accroche à la graisse. Comme les particules de savon sont nombreuses et cherchent à orienter leur queue hydrophobe vers la graisse, elles parviennent à s'insinuer entre la peau et la graisse. Résultat : la saleté se décolle.
Le savon naturel a des propriétés détergentes, c'est à dire qu'il a le pouvoir, lorsqu'il est appliqué sur une surface quelconque, de détacher les impuretés grasses adhérentes à cette surface et de les mélanger à l'eau.
Le sucre : qu'il s'agisse de miel, de mélasse, de sucre en poudre, le sucre apporte de la dureté au savon, mais aussi de la douceur. Il permet également d'obtenir un savon qui mousse beaucoup plus !
Un vrai savon, ça ne mousse pas !
C'est tout à fait normal, car la composition des savons n'est pas la même. Un savon naturel va mousser normalement, sans excès. C'est une légère mousse qui nettoie et qui se forme grâce aux huiles végétales, nommées saponifiables, qu'il contient.
On parle de molécules tensio-actives. Lors du lavage, la partie hydrophobe s'accroche à la graisse. Comme les particules de savon sont nombreuses et cherchent à orienter leur queue hydrophobe vers la graisse, elles parviennent à s'insinuer entre la peau et la graisse. Résultat : la saleté se décolle.
Les dermatologues conseillent généralement de privilégier les savons surgras ou sans savon pour le nettoyage du visage ou encore le corps. Le savon surgras a l'avantage de nettoyer et d'hydrater la peau.
LIKAS - Savon Naturel à La Papaye
Il permet d'éliminer les taches brunes, les boutons d'acné, éclaircir les zones sombres du corps tels que les coudes, les aisselles et les genoux et d'atténuer les cicatrices. De plus, le savon naturel KOJIE SAN nettoie en profondeur, purifie et clarifie la peau tout en l'hydratant.
Selon le dosage de la recette de savon, à la fin de la réaction chimique il restera l'un ou l'autre des ingrédients non consommés par la réaction : S'il reste de la soude, le savon est caustique. S'il reste des huiles végétales, le savon est surgras.
Cette partie est dite «hydrophobe» et «lipophile» car elle retient les graisses. Elle est apolaire. Lorsque les atomes d'une molécule attirent les électrons de la liaison de façon symétrique, il n'y a pas de formation de pôle, cette molécule devient apolaire comme la queue des savons.
Au contact de la soude, la réaction chimique commence à faire son œuvre et l'huile se transforme en pâte de savon. C'est ce qu'on appelle la saponification à froid. Lorsqu'elle est mélangée, la pâte s'homogénéise et épaissit jusqu'à ce qu'un sillon se forme à sa surface (comme du sucre à la crème!).
Un savon peut avoir un pH alcalin généralement entre pH 9 et 11 mais au delà de ça le savon devient trop desséchant. Cela ne veut pas dire que le savon n'est pas bon du tout mais on doit simplement l'utiliser pour autre chose que pour le corps.
Cela peut venir de trop de poudre dans la composition qui déséquilibre la recette qui rend le savon trop friable. Ou bien il y a trop d'eau.
Le savon aurait été inventé il y a 4.500 ans par les sumériens sous la forme d'une pâte savonneuse à base de graisse et de carbonate de potassium. Il était alors utilisé comme remède contre les maladies de la peau et non pour la toilette quotidienne.
Les origines du savon remonte aux égyptiens. Ils décrivaient des recettes de savon sur leurs fameux papyrus. En Europe, les Gaulois étaient apparemment les premiers à fabriquer intentionnellement du savon partant du suif de chèvre et de la potasse de cendres de hêtre.
Du latin saponem , accusatif de sapo « savon ».
Expliquer pourquoi le savon devient solide et surnage sur la solution d'eau salée . Le savon (qui est un solide) ne se dissout pas dans l'eau salée. Il reste donc sous forme de solide. La densité du savon formé est inférieure à celle de l'eau salée.
En 1823, le chimiste français Eugène Chevreul comprend la réaction qui se passe quand on chauffe ensemble la graisse et la base pour former le savon. Cette réaction est appelée saponification.
20 à 30% d'huile de Coco, Coprah ou Babassu, pour apporter un bon pouvoir moussant et un bon effet lavant (tous les savons peuvent mousser et laver, même sans ces huiles, mais leur richesse en acide laurique favorise une mousse abondante et augmente le pouvoir lavant).