Se mettre la pression vient souvent des prises de décisions et de la peur de se tromper. Les mauvais choix et les mauvaises décisions n'existent pas : nous sommes responsables des choix que nous faisons, mais nous ne sommes pas responsables de ce qui se passe ensuite.
Tout simplement parce que se mettre la pression est une réaction à un schéma, à une construction mentale. C'est une sorte de réflexe. Dans ces conditions, il est plus efficace de vous donner les moyens de déconstruire cette représentation, plutôt que d'en gérer les conséquences.
Renforcer son estime de soi peut être un bon moyen d'atténuer cette pression. Prendre confiance, affirmer ses choix, sa vie, son corps, son tempérament, ses besoins... En s'écoutant et en écoutant les autres, on peut aisément mettre une distance saine sur cette pression sociale.
S'accorder des pauses
Vous accorder de courtes pauses régulièrement tout au long de la journée peut améliorer votre capacité de gestion du stress. Toutes les deux heures, prenez cinq petites minutes pour prendre l'air, faire des exercices de respiration, de yoga ou de méditation.
Dans de tels moments, le risque de craquer sous la pression existe, même si l'on est extrêmement doué et compétent dans la tâche à accomplir. Un bref instant de pleine conscience peut aider à se concentrer et à ramener son attention sur la tâche à accomplir, pour se placer dans une zone de performance optimale.
M'allonger au soleil et ne rien faire. Ecouter mes musiques préférées, mon Ipod vissé sur les oreilles, tranquillement posée sur un transat. Manger une glace en bord de mer en famille. Laisser les odeurs de monoï et autres sensations liées aux vacances me guider doucement vers la détente, à mon rythme.
troubles physiques : troubles digestifs (colopathie fonctionnelle, nausées, hyperphagie boulimique ou perte d'appétit, incapacité à manger...), douleurs, douleurs musculaires, envie fréquente d'uriner, insomnies, somnolence dans la journée, fatigue, mal de tête, vertige...
des anxiolytiques (benzodiazépines et buspirone) : ces médicaments ont une action rapide contre le stress et l'anxiété. Ils sont en général prescrits sur de courtes durées et à de faibles doses, par exemple avant que les antidépresseurs ne fassent effet. Ils doivent également être arrêtés de manière progressive.
Lorsque tu ressens l'un des symptômes que provoque un trop plein de pression, il est essentiel que tu prennes une grande respiration et que tu respires profondément. Cela stimulera au maximum ton système parasympathique (celui de la détente et de la relaxation).
La pression sociale est liée à l'influence sociale. Fischer (2010) explique qu'il existe deux formes essentielles d'influence sociale, d'une part, la conformité et d'autre part, la soumission.
Comment y répondre
Si vous êtes moins à l'aise avec ce genre de travail, tentez d'en apprendre davantage sur l'intensité de cette pression en posant des questions. Soyez transparent à l'égard de votre tolérance, car faire le contraire pourrait vous être défavorable.
La pression psychologique est une sensation psychique, le produit de deux forces mentales qui tirent dans des directions opposées. Ces forces peuvent être de natures très différentes, comme des souhaits ou des obligations. On parle d'une situation qui cause de l'inconfort.
L'anxiété peut aussi être un symptôme d'affections plus importantes, comme une phobie ou un trouble obsessionnel compulsif. Enfin, ce trouble peut être une alerte d'un stress prolongé suite à un événement traumatisant.
une pression routinière, au travail, à l'école, dans la famille ou encore pour tout autre responsabilité ; un stress provoqué par un changement soudain et imprévu, tel qu'un divorce, un changement de travail ou encore l'apparition d'une maladie ; un épisode traumatique : une catastrophe naturelle, un attentat, etc.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
"Ce stress qui persiste et rend votre vie impossible"
Quand l'angoisse persiste et va en grandissant, quand elle ne laisse plus de répit, quand un phénomène d'anxiété s'installe sans raison apparente, qu'il commence à vous gâcher la vie, cela devient un "Trouble Anxieux Généralisé", un TAG.
Les symptômes physiques sont variés et nombreux : troubles du sommeil, douleurs musculaires, palpitations, tremblements, mains moites, vertiges, frissons, maux de tête ou maux de ventre, diarrhée ou constipation, sensation de serrement au niveau de la poitrine, impression d'étouffer, nœud à l'estomac ou à la gorge, ...
Pour calmer le mental, il faut apprendre à respirer avec le ventre, en pleine conscience. Assise, inspirer par le nez en gonflant l'abdomen. Se concentrer sur le flux d'air qui traverse les poumons. Puis, souffler lentement par la bouche.
Prendre du temps pour soi pour se détendre. « Fermer les yeux, prendre deux minutes pour respirer consciemment, sentir son ventre monter pendant l'inspiration et redescendre pendant l'expiration, puis augmenter peu à peu l'amplitude de ces deux mouvements respiratoires.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Définition. Le syndrome d'épuisement professionnel, équivalent en français du terme anglais burnout, se traduit par un « épuisement physique, émotionnel et mental qui résulte d'un investissement prolongé dans des situations de travail exigeantes sur le plan émotionnel »2 .