Les anciens domestiques de la maison soupçonnaient qu'il était fils de la sœur de monsieur le baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par ...
Une fin heureuse
Or, le genre du conte a certaines règles à laquelle cette conclusion fait aboutir. Candide est un héros qui a surmonté toutes les épreuves énumérés par Pangloss. Surtout, il a atteint l'objet ultime de sa quête : l'amour de Cunégonde. En outre, le conte se termine par une dénouement heureux.
Au dernier chapitre (Trentième) de ce conte philosophique, le personnage principal, Candide, cite à deux reprises la formule « Il faut cultiver notre jardin ».
Dans le château de Thunder-ten-tronckh, Pangloss, le maître de Candide, lui enseigne que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Candide le croit, mais se fait chasser du château pour un baiser donné à sa cousine Cunégonde.
Pangloss est un personnage de Candide ou l'Optimisme, conte philosophique de Voltaire paru à Genève en janvier 1759 . Il symbolise la philosophie de l'optimisme béat, décriée par Voltaire.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
Le but de Voltaire, en écrivant Candide ou l'Optimisme, est de lutter contre le mal. S'il est impossible d'agir contre les catastrophes naturelles ( raz de marée et tremblement de terre à Lisbonne ), nombre de maux qui accablent les hommes peuvent être supprimés.
Elle a été sauvée et prise par un capitaine bulgare qui l'a vendue ensuite à un banquier juif, Don Issacar, qui la partage avec un grand inquisiteur. C'est ce dernier qui l'a emmenée au spectacle de l'autodafé ; reconnaissant Candide, elle a chargé la vieille servante d'Issacar de le soigner et de l'amener à elle.
la morale : le conte philosophique étant un apologue, les récits aboutissent à une leçon qui montre souvent le danger de l'ignorance, de tout fanatisme ou tout abus de pouvoir.
Chaque rencontre est une étape dans le parcours initiatique de Candide, qui évolue et construit petit à petit sa propre philosophie de vie. Voltaire nous montre en même temps le personnage de Pangloss, qui reste figé dans les préceptes de la philosophie optimiste.
Dans ce cas "Il faut cultiver notre jardin" signifierait cultiver son propre savoir-faire et se mettre à exercer ses talents afin de faire fructifier au maximum ce que la vie nous a donné, de donner un sens à notre vie et d'atteindre la liberté spirituelle.
L'inquisition décide alors de faire brûler quelques hérétiques. Pangloss est pendu pour avoir parlé, Candide est roué de coups pour l'avoir écouté. Mais cela n'empêche pas la terre de trembler à nouveau. Dans cette scène, Voltaire dénonce l'inquisition qui distrait le peuple avec des spectacles cruels et superstitieux.
Les femmes objets Dans Candide, les femmes sont représentées comme des femmes objets, souvent soumises à l'autorité des hommes et excessivement naïves. Au début, Cunégonde est décrite, d'appétissante, elle est vue comme un aliment, quelque chose que l'on peut consommer.
La morale de Voltaire est que le travail (jardinage) évite l'ennui (occupe le temps), le besoin ( car il produit de la richesse) et le vice (car il n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ).
Cette femme n'est pas aristocrate, elle est simplement baronne des expositions comme on est un « baron de la finance ». Son titre de noblesse, signe distinctif à la fois révérencieux et désuet, désigne un personnage inaccessible, mythique et quelque peu suranné.
La mort de Jacques :
"L'anabaptiste aidait un peu à la manoeuvre ; il était sur le tillac ; un matelot furieux le frappe rudement et l'étend sur les planches ; mais du coup qu'il lui donna, il eut lui-même une si violente secousse qu'il tomba hors du vaisseau, la tête la première.
A la fin du conte, Candide décide d'écarter le frère de Cunégonde. En effet, le jeune baron de Thunder-Ten-Tronck refuse obstinément que Candide épouse Cunégonde, parce qu'il n'est pas assez noble pour elle.
candide adj. Qui manifeste une grande ingénuité allant jusqu'à la crédulité.
Voltaire : « le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin » (in Candide, Voltaire). Travailler évite à l'homme de s'ennuyer ou de sombrer dans le vice. Cela lui permet également de subvenir à ses besoins. Le travail est donc utile à l'homme, même s'il est parfois difficile ou pénible.
Ce qui est important de saisir, c'est l'évolution du personnage. En effet, au départ, notre héros chassé du château pour avoir embrassé Cunégonde est un personnage très crédule, dépendant et peu sur de lui. Il croit aveuglément aux propos de Pangloss et cherche toujours conseil auprès de quelqu'un d'autre.
En ce qui concerne le système judiciaire, l'Eldorado n'en présente pas. En effet, lorsque Candide demande à voir la cour de justice, le parlement et les prisons, on l'informe que la ville en est dépourvue, car ceci leur parait inutile.
Pangloss : c'est le précepteur de Candide. Il est comique, et Voltaire se sert de ce personnage pour ridiculiser la science et surtout la théorie de Leibnitz, philosophe, en disant « Tout est aux mieux dans le meilleur des mondes ». Phrase répétée : "tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles".
Il se moque de l'avarice et des prétentions de la noblesse, certains manquent de moyens financiers. L'auteur montre leur esprit de classe sociale avec « les soixante et onze quartiers » requis pour faire partie de leur monde. Il critique la morale des nobles en montrant leur penchant pour le libertinage.