Les personnes qui sont assises à l'avant de l'avion (section première classe et classe affaires) ont 49% de chances de survivre au crash. Si vous êtes assis juste devant ou derrière les ailes, cette probabilité est de 56%. Les passagers assis à l'arrière ont un taux de survie moyen de 69%.
Sur base de ces données, ses membres sont arrivés à la conclusion que les personnes installées à l'avant de l'appareil ont 49% de chances de survivre à un accident. Il s'agit généralement des passagers des classes affaires.
Selon les statistiques de l'université de Greenwich, les places à éviter absolument sont celles à l'avant de l'avion. Les passagers y ont 49% de chance de survivre à un crash. A l'inverse, les passagers se trouvant sur les sièges à l'arrière ont 69% de chance de rester en vie en cas d'incident.
Où sent-on le plus les turbulences ? Voici où les opinions divergent. Il y a ceux qui disent que c'est la partie avant de la machine qui est la plus vulnérable, d'autres assurent que c'est à l'arrière que l'on se sent le plus mal à l'aise.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Essayez-vous à la relaxation
Apprendre quelques exercices de relaxation peut vous aider à surmonter votre peur de l'avion et notamment lors du décollage et de l'atterrissage – deux moments critiques pour les phobiques de l'avion. Avant de voler, apprenez des exercices de respiration.
Le 9 janvier , le vol Sriwijaya Air 182 s'écrase en mer de Java peu après son décollage de Jakarta (Indonésie) entraînant la mort des 62 personnes à bord.
N'ayez pas peur des turbulences
Si cela peut s'avérer très désagréable, ce n'est en fait pas dangereux. La turbulence n'est rien de plus que le mouvement de votre avion sur les vagues d'air. Cela se produit principalement au décollage et à l'atterrissage ; la différence de température est à l'origine de la turbulence.
Par exemple, selon le "U.S. Department of Transportation", il y a en moyenne, pour un américain durant une année, une chance sur 8 000 de mourir en auto mais seulement une chance sur 2 millions de mourir en avion; ce qui donne 250 fois plus de chance de mourir en auto.
Lundi 29 octobre, un Boeing 737 MAX 8 de la compagnie low cost indonésienne (vol JT-610) s'est écrasé en mer seulement 13 minutes après son décollage de l'aéroport de Djakarta.
On pense notamment à des tragédies récentes, comme celle du Boeing 737 abattu par erreur par la défense anti-aérienne iranienne à Téhéran en janvier 2020, ainsi qu'à l'avion de la Malaysia Airlines, détruit en vol par un tir de missile dans l'est de l'Ukraine en 2014.
D'où vient l'aérodromophobie, la phobie de l'avion ? La peur de l'avion est liée à plusieurs facteurs. Déjà, il existe une prédisposition génétique. L'amygdale, la partie de notre cerveau qui joue un rôle dans le déclenchement de la peur, est plus ou moins sensible.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Prévoyez un coussin de voyage, des bouchons d'oreilles, un masque pour les yeux. En cas de jambes lourdes, enfilez des bas de contention. Et surtout, pensez à bien vous hydrater pendant le vol.
Inspirer 3 secondes, expirer 6 secondes. Répéter l'exercice jusqu'à ce que la crise de panique s'arrête. «Rester concentré sur sa respiration permet au cerveau d'oublier les raisons de son angoisse».
Le mal des transports
Pour atténuer ces symptômes, essayez d'obtenir une place au milieu de l'avion, là où les mouvements sont moins perceptibles. Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
Alors, que se passe-t-il pendant cette phase ? Anthony Brickhouse : Généralement au décollage et à l'atterrissage, l'avion vole bas, et lentement. Et quand des problèmes surviennent, les pilotes ont peu de temps pour réagir.
Suite à l'“incident grave” d'un Boeing 777 d'Air France le 5 avril dernier à Roissy, la réputation de l'appareil connaît des remous. Pourtant, l'avion de ligne est jugé fiable et reste très apprécié par les pilotes. Il s'agit même d'un succès commercial pour le géant américain Boeing.
Il faut alors regarder vers l'Association internationale du transport aérien (Iata) qui dresse une liste de ses compagnies membres, toutes soumises à des certifications de sûreté. Actuellement, 292 transporteurs, représentant plus de 90% du trafic mondial, sont regroupés sur cette liste.