En France, en 1791, Olympe de Gouges, considérée comme une des pionnières du féminisme dans son pays, rédige la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, dans laquelle elle demande que l'on rende à la femme les droits naturels que les préjugés lui ont retirés.
Olympe de Gouges est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est notamment la rédactrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
26 août 1970 : "C'était la première fois que l'on apparaissait publiquement en tant que féministes" Entretien. Le 26 août 1970, un acte symbolique d'une dizaine de féministes a marqué le début du Mouvement de libération des femmes qui a œuvré pour leurs droits.
Considéré comme le "père du féminisme" par Hubertine Auclert et le "véritable fondateur du féminisme" par Simone de Beauvoir, le natif de L'Aigle (Orne) Léon Richer reste méconnu.
Le féminisme à travers ses mouvements et combats dans l'Histoire. L'histoire des féminismes est étroitement liée aux différents mouvements et combats qui luttent pour la reconnaissance des droits des femmes, inexistants et bafoués pendant des siècles, ainsi que pour l'égalité entre les femmes et les hommes.
Olympe de Gouges. Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Le terme apparaît en 1872
En savoir plus : Olympe de Gouges, une femme du XXIe siècle... Parmi les premières occurrences du mot "féministes", celle la plus souvent citée figure dans un essai du romancier Alexandre Dumas fils, datant de 1872, intitulé L'Homme-femme.
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
Le masculisme est au contraire un mouvement symétrique au féminisme. Il se penche sur la condition masculine. Ce mouvement est désigné et respecté comme tel chez nos voisins États-Uniens qui parlent fréquemment de « masculism ». Une petite recherche sur l'Internet vous convaincra (voir plus bas).
réformateur, réformatrice, réformiste[Hyper.]
Les féministes luttent contre les inégalités entre les hommes et les femmes. Par exemple, c'est grâce aux féministes que les femmes ont eu le droit de vote. Leur combat n'est pas terminé, car même en France, les femmes ne sont pas toujours traitées à égalité avec les hommes.
Delphine Gardey peut ainsi conclure en affirmant que les féminismes ont permis aux femmes de « devenir sujet de droit et sujet politique, devenir actrice de [leur] vie sexuelle et pouvoir la choisir, faire advenir des formes nouvelles de la subjectivité » (p. 118).
Françoise Giroud (1916-2003) - journaliste, écrivaine et femme politique française. Olympe de Gouges (1748–1793) - femme de lettres française, devenue femme politique, autrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, en 1791. Gisèle Halimi (1927-2020) - avocate, grande figure du féminisme en France.
Quelques femmes de l'élite, comme la dramaturge et essayiste française Olympe de Gouges (1748-1793) et la philosophe anglaise Mary Wollstonecraft (1759-1797) ont objecté et ont défendu les droits des femmes en publiant respectivement la Déclaration des droits de la femme (1790) et la Défense des droits des femmes (1791 ...
MISANDRE, , adj.
La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard d'une ou des femmes).
Il semblerait logique que l'équivalent masculin de féministe soit masculiniste.
Personne appartenant à un mouvement politique qui prône l'égalité réelle entre les hommes et les femmes dans la vie privée et dans la vie publique.
Le féminisme se compose essentiellement de trois grandes vagues. La première , de 1850 à 1945 visait à démontrer que les femmes ont les capacités d'assumer les mêmes responsabilités que les hommes. A cette époque, elles se sont battues pour le droit de vote et pour des égalités de droit en général.
1900 et 1940. Dans les premières décennies du XXe siècle, les droits des femmes sont balbutiants : le vote leur est interdit, l'avortement est considéré comme un crime, le Code civil de l'époque précise que : « La femme doit obéissance à son mari ».
Les femmes étaient strictement astreintes à la monogamie, l'adultère sévèrement réprouvé. Seul le rôle de mère était valorisé, et l'exercice de toute profession constituait une forme de déchéance sociale, à l'exception de fonctions religieuses ou honorifiques.
Dans la seconde moitié du XXe siècle, les revendications des femmes portent sur tous les domaines de la vie sociale, économique et politique et militent pour une réelle égalité.