Aujourd'hui, il n'existe toujours pas de traitement permettant de guérir de l'alopécie androgénétique ; néanmoins, il est possible d'agir pour éviter que les cheveux ne disparaissent pas définitivement.
L'alopécie androgénétique
Cette forme de calvitie constitue la principale cause de la chute de cheveux chez les jeunes, à partir de 16 ans. Chez les hommes, l'alopécie androgénétique s'explique par une production accrue de dihydrotestostérone (DHT).
En fait, la greffe de cheveux doit pouvoir accompagner et compenser au fur et à mesure la chute de cheveux tout au long de la vie du patient, en tout cas jusqu'à ce qu'elle se stabilise, c'est-à-dire vers 50 ans.
Dans le cadre d'une greffe de cheveux, les cheveux implantés reprendront leur cycle de croissance normal et auront ainsi une durée de vie identique aux cheveux présents dans la zone donneuse.
En général, la calvitie apparaît entre 20 et 35 ans, mais peut aussi débuter bien plus tard, vers la quarantaine. Dans tous les cas, la calvitie peut être le vecteur d'une gêne psychologique aussi bien pour les hommes que pour les femmes.
La forme précoce sévère dont les signes peuvent apparaître pour la première fois dès l'âge de 17 à 20 ans. Celle-ci peut évoluer rapidement vers une calvitie entre 25 et 40 ans. La forme progressive débutera plus tardivement, on en percevra les signes à partir de 35 ans.
Si les premiers signes de la calvitie peuvent survenir à la vingtaine, début du ralentissement de l'activité des follicules, il est communément reconnu que celle-ci ne peut se stabiliser avant l'âge minimum de 30 ans.
Quel que soit votre âge, vous êtes éligible à la greffe de cheveux, à condition d'être majeur et en bonne santé. Néanmoins par précaution et par recommandation, nos spécialistes suggèrent d'atteindre l'âge de 30 ans pour les hommes n'ayant pas encore stabilisé totalement leur activité hormonale.
Si les premiers signes de la calvitie peuvent survenir à la vingtaine, début du ralentissement de l'activité des follicules, il est communément reconnu que celle-ci ne peut se stabiliser avant l'âge minimum de 30 ans.
La chute des cheveux concerne 1 Français sur 3. Cette dernière reste sans conséquence si elle n'excède pas 1000 cheveux par jour. En revanche, au-delà de 1000 cheveux tombés par jour, c'est le signe annonciateur de la calvitie.
La calvitie est donc causée par un excès d'hormones mâles, très souvent due à une hérédité. Cependant, d'autres causes peuvent être à l'origine d'une calvitie : un stress permanent, une mauvaise hygiène de vie, des carences alimentaires ou certains médicament peuvent entraîner la perte de cheveux.
Souvent la trichodynie est associée à une chute des cheveux. En fait, il existe une corrélation entre l'effluvium télogène et la trichodynie et, entre l'alopécie séborrhéique et la sensation constante de douleur ou d'irritation du cuir chevelu.
Il est important de ne pas réaliser une greffe de cheveux trop tôt. En effet, en cas de perte de densité débutante (Stade I et II), l'évolution se fera très probablement vers une aggravation progressive de la chute de cheveux. L'alopécie masculine est d'origine androgénétique dans 95 % des cas.
Les chercheurs savent depuis quelque temps que la présence d'une variante génétique sur le chromosome X est liée à l'apparition de la calvitie androgénétique. « C'est de là que vient l'idée que le gène de la calvitie est transmis par la mère », a expliqué le chercheur.
Concernant la population masculine en Europe, elle touche environ un homme sur trois à 30 ans, un homme sur deux à 50 ans et plus de trois hommes sur quatre après 70 ans. Pourquoi ? D'abord parce que la durée de vie moyenne d'un cheveu est de 3 ans chez l'homme alors que les cheveux féminins vivent entre 4 et 7 ans !
Les causes : gènes, stress, changements de saison...
Chez l'homme, la chute des cheveux est principalement d'origine génétique. En effet, l'alopécie androgénétique héréditaire touche environ 70 % des hommes. Plus communément, elle est appelée calvitie. Elle est due à l'influence des hormones mâles, les androgènes.
Le finastéride à la dose de 1 mg (Propecia et génériques) est indiqué dans le traitement de la chute de cheveux (alopécie androgénétique), chez l'homme uniquement. A la dose de 5 mg (Chibro-Proscar et génériques), il est indiqué dans le traitement des symptômes de l'hypertrophie bénigne de la prostate.
Il est efficace dans environ 60% des cas. Il réclame une application 2 fois par jour de longue durée et permet de ralentir la perte des cheveux en agissant sur la vascularisation locale permettant un apport mieux réparti des divers nutriments dont ont besoin les bulbes pileux.
Effets indésirables possibles du médicament MINOXIDIL BAILLEUL 2% Le plus souvent, réactions cutanées mineures : irritation, rougeur, sensation de brûlure, démangeaisons, sécheresse de la peau ; pousse excessive des poils en dehors de la région traitée.
Son efficacité reste limitée : le médicament ne fonctionne que chez la moitié des patients, l'efficacité n'a été démontrée que sur le sommet du crâne et pas sur les « golfes » apparaissant près des tempes, les utilisateurs ont seulement 11 % de cheveux en plus au bout d'un an, résultat qui ne fait que se stabiliser si ...
L'alopécie androgénétique concerne environ 70% des hommes et commence généralement vers l'âge de 40 ans. Il existe bien entendu de nombreux cas où la calvitie débute dès l'âge de 18/20 ans.
Régime Alimentaire Inadapté La nutrition joue un rôle essentiel dans la santé des cheveux. Les adolescents dont l'alimentation est carencée en vitamines et en minéraux comme la biotine, le fer, le zinc ou la vitamine A peuvent remarquer que leurs cheveux deviennent ternes et fins, voire une chute de cheveux.