Les pets des poissons, en effet, comme leurs déjections, sont emballés dans une enveloppe gélatineuse avant d'être évacués. Cela donne une capsule fécale qui flotte ou coule, c'est selon. Mais comme les poissons sont coprophages, ces déjections ne traînent jamais très longtemps.
Commencez par le hareng. Votre progéniture sait-elle que le hareng est le seul poisson qui pète ? Non, et pour cause : cette découverte est récente.
Leur système circulatoire ne sert d'ailleurs pas à la respiration et a plutôt un rôle immunitaire et de transport des nutriments. Mais les insectes ont bien un système digestif, garni en microbes, débouchant sur un bel anus et sont donc potentiellement des péteurs.
Les harengs ne produisent apparemment pas de gaz au sein de leur vessie natatoire, comme le font bon nombre de poissons, mais avalent de l'air à la surface avant de l'acheminer jusqu'à leur vessie via le fameux canal pneumatique. Les harengs ne pètent donc pas à proprement parler!
Les chercheurs David Lecchini du Criobe, à Moorea, et Eric Parmentier, de l'Université de Liège, ont démontré que les poissons communiquent entre eux en émettant des bruits grâce à leurs dents, leur vessie natatoire… On est ainsi loin du "monde du silence" dont parlait le commandant Cousteau pour décrire l'océan.
Les pets des poissons, en effet, comme leurs déjections, sont emballés dans une enveloppe gélatineuse avant d'être évacués. Cela donne une capsule fécale qui flotte ou coule, c'est selon. Mais comme les poissons sont coprophages, ces déjections ne traînent jamais très longtemps.
Alors voici: les insectes ont un système digestif. Donc oui, les mouches ont des flatulences. Et les fourmis ont des gaz.
Techniquement les oiseaux peuvent péter même s'ils n'ont pas vraiment un anus mais ce qu'on appelle un cloaque par où sort la pisse, les fèces (caca d'oiseaux) et les œufs. En revanche ils n'ont pas besoin de le faire comme tous les autres animaux. Ça peut donc arriver mais c'est rare.
L'araignée, est-ce qu'elle pète? Eh bien, on l'ignore. Ce qu'on sait, c'est que son système digestif ne tolère que les liquides. "Il est donc probable qu'au cours de ce processus, elle ingère de l'air, un élément clé pour péter", relève le livre.
Et enfin, puisque rien n'est sacré, les pets de dauphin sont silencieux mais mortels, dégageant l'odeur pestilentielle du poisson qu'ils ingèrent.
S'il est au pré et a irrégulièrement du foin, et qui plus est si ce foin est de mauvaise qualité, et bien il passe des phases où il a le ventre vide (donc nécessairement de l'air) à un ventre rempli/gonflé une fois qu'on lui met de la nourriture.
Le méthane émis par les flatulences des bovidés est un désastre pour le climat, mais des solutions arrivent. L'élevage animal est, à lui seul, responsable de 14,5% des émissions de gaz à effet de serre provoquées par l'espèce humaine.
99 % de ces gaz sont inodores, les 1 % restant responsables de l'odeur des pets sont trois gaz sulfurés (le sulfure d'hydrogène dont la concentration dans les flatulences de l'humain vont de 1 à 3 ppm, le méthanethiol et le sulfure de diméthyle).
Les rats, les zèbres, ou les reptiles comme le Pogona flatulent. Plus une chauve-souris est grosse et plus ses pets seront sonores. Les girafes, étant donné leur taille, se délestent de leurs gaz «à hauteur du visage d'un homme», précise un chercheur sur le document Google.
Émissions par espèces
Les bovins sont le principal contributeur aux émissions du secteur avec environ 5,0 gigatonnes d'équivalent CO2, ce qui représente 62 pour cent des émissions du secteur. Les bovins à viande et les bovins laitiers génèrent des quantités similaires de GES.
Les boeufs émettent une grande quantité de méthane, un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le dioxyde de carbone. Leur système digestif leur fait produire beaucoup plus de méthane que les cochons, les poules ou les dindes.
Il réactive son transit en mangeant des plantes laxatives. C'est à ce moment que se produit le "pet de l'ours" libérateur ; il expulse son "bouchon anal" et la petite "usine" se remet en marche. L'ours aime péter car cela le fait bien rire, il est comme nous et trouve toujours amusant ses bruits odorants.
Mais comment est-ce possible ? Nos pets, sont constitués d'une bonne partie de gaz inflammables tels que méthane et hydrogène issus de notre digestion mais aussi de gaz non inflammables ingérés lors de l'absorption de nos aliments.
«Hou» et grognements.
On vous rassure, vous produisez très certainement des gaz en dormant. Car en effet l'organisme a besoin d'expulser cet air, et que si vous les retenez durant la journée, vous relâchez tout en dormant, car votre corps est beaucoup plus détendu et peut s'accorder un concerto pour trompettes.
Si vos pets n'ont aucune odeur, c'est qu'ils sont parfaitement sains et normaux ! Cela signifie tout simplement que du gaz s'est naturellement accumulé dans votre corps et qu'il est temps de l'évacuer. D'ailleurs, sachez que les pets sont composés à 99% de gaz totalement inodores.
Le cochon est digne de mention, quoiqu'il produit bien moins de méthane que les autres espèces dans cette liste avec sa moyenne de 3 livres de méthane par année.
Les vaches libèrent du méthane principalement par leurs rots. Le reste des émissions de gaz est sous forme de flatulences (pets).
Un peu de science : la température du pet moyen est de 37°, et c'est un cocktail d'hydrogène, d'oxygène, de méthane.