Les tarifs réglementés de gaz naturel vont disparaitre le 1er juillet 2023. L'ensemble des tarifs réglementés de gaz naturel sera supprimé le 1er juillet 2023. Pour les clients résidentiels (et les copropriétés consommant moins de 150 000 kWh ), les tarifs réglementés de gaz naturel disparaitront le 1er juillet 2023.
Les chaudières gaz seront bien interdites — finalement en 2022 et non en 2021 comme cela était prévu aux prémices du projet —, mais seulement dans des conditions bien précises qui n'ont pas d'impact sur la consommation des ménages.
Depuis le 1er janvier 2022, la Réglementation Environnementale RE 2020 interdit la pose de chaudière à gaz dans les bâtiments neufs. Sont concernés tous les modèles, y compris les chaudières gaz à condensation.
Les prix du gaz et de l'électricité pour les ménages augmenteront de 15% en 2023, contre "120% sans le bouclier".
Les chaudières au gaz interdites à partir de 2022 dans les nouvelles constructions. Afin d'accélérer la transition écologique et de mettre fin à l'utilisation d'énergies fossiles pour le chauffage, la RE 2020 a fixé l'interdiction d'installation de chaudières à gaz pour toutes les nouvelles constructions.
L'ensemble des tarifs réglementés de gaz naturel sera supprimé le 1er juillet 2023. Pour les clients résidentiels (et les copropriétés consommant moins de 150 000 kWh ), les tarifs réglementés de gaz naturel disparaitront le 1er juillet 2023.
Le gaz n'est pour l'instant pas interdit en France. Seule la pose de chaudières fioul et charbon est interdite au sein des ménages en France, sauf dérogation spéciale. La RE 2020 interdit en revanche l'installation des chaudières au gaz dans les logements individuels neufs, et uniquement ceux-là, depuis janvier 2022.
C'est désormais chose faite puisque depuis le 20 novembre 2019, l'ancien fournisseur historique de gaz naturel, Engie (ex-GDF), ne commercialise plus son offre de gaz naturel au tarif réglementé. C'est la première étape de la disparition des tarifs réglementés du gaz.
Prix du gaz : 0,105 €/kWh en 2030 et 0,209 €/kWh en 2050.
✔️ Oui, vous pouvez rester chez Engie puisque le fournisseur historique propose aussi des offres de marché, pour le gaz et pour l'électricité. En effet, Engie (ex GDF Suez) est le fournisseur historique de gaz, avant l'ouverture du marché à la concurrence, il ne proposait qu'un seul tarif : Le Gaz Tarif Réglementé.
Dès l'été 2021, l'installation des chaudières à gaz sera interdite dans les constructions neuves en France, tandis que les chaudières au fioul subiront le même sort en janvier 2022. Pourquoi une telle interdiction et quelles sont les alternatives pour chauffer son logement ?
Les modèles les plus performants à l'heure actuelle sont les radiateurs électriques à inertie (sèche ou fluide). Ils délivrent un confort proche d'un chauffage central avec une chaleur douce et homogène diffusée par rayonnement dans les pièces.
Réglementation : le chauffage au gaz pas totalement interdit
Le gaz étant une énergie fossile, il entre en contradiction avec la transition énergétique. C'est pourquoi la nouvelle réglementation énergétique RE2020 interdit l'usage du chauffage au gaz, dès son entrée en vigueur en janvier 2022.
La pompe à chaleur
Il est également possible d'opter pour une pompe à chaleur (PAC), en remplacement de son chauffage au gaz. Il s'agit d'une des solutions les plus écologiques puisque, suivant les modèles, la pompe à chaleur utilise majoritairement des énergies renouvelables : eau, air, chaleur du sol.
Pompe à chaleur, chaudière haute performance, système solaire combiné ou simple poêle à granulés, les solutions de remplacement sont multiples.
L'installation de chauffage gaz reste autorisée
Seules les nouvelles chaudières au fioul domestique seront interdites à partir de juillet 2022. L'installation de chauffage gaz reste autorisé.
La hausse des prix va se poursuivre : comme la raréfaction du gaz devrait se poursuivre, les prix de l'énergie continueront d'augmenter en 2022, du moins jusqu'en été. Un hiver doux limiterait quelque peu la flambée des prix, mais il est bien sûr impossible de le prévoir.
Toutefois, l'électricité est plus chère que le gaz, et de nouvelles hausses des tarifs réglementés sont à prévoir. La valeur de référence pour calculer la consommation moyenne en chauffage électrique est de 110 kWh par mètre carré et par an.
Sans le gel des prix, le TRV aurait dû augmenter de 39,10 % HT, soit 37,30 % TTC au 1ᵉʳ octobre 2022. Il s'agit toujours d'une hausse de +201,20 % HT, soit + 181,50 % TTC par rapport au 1ᵉʳ octobre 2021 (date du gel des prix du gaz). Les prix du gaz étant gelés, ils n'évolueront pas.
Le Maire promet une hausse "contenue" et "supportable"
Le gouvernement a fait ses calculs. S'il arrêtait le bouclier tarifaire en janvier 2023, la facture d'électricité augmenterait en moyenne de 120 euros par mois, et celle du gaz de 180 euros.
Finalement, le gel du prix du gaz s'étend à toute l'année 2022. Cela signifie que durant toute cette année, le prix du gaz ne connaîtra ni baisse, ni hausse. Il reste bloqué à son niveau d'octobre 2021.
Engie est le fournisseur historique et toujours leader du marché. Il propose les tarifs réglementés du gaz et plusieurs offres de marché à prix bloqués et révisables à la baisse (Gaz Energie Garantie).
Parmi toutes les chaudières présentes sur le marché, la chaudière biomasse est l'une des plus économiques en fonctionnement. Celle-ci fonctionne comme les autres : la chaleur produite après combustion va chauffer le circuit de chauffage central. Il est même possible de produire de l'eau chaude sanitaire (ECS).
Chaudière ou poêle à bois
Le bois est l'énergie la plus abordable sur le marché des énergies, qu'il s'agisse de bûches de bois ou de granulés. Le poêle à bois est souvent considéré comme l'équipement de chauffage le plus économique et le plus rentable. Ce type d'installation allie performance, écologique et économies.
Voici les systèmes de chauffage du plus au moins économiques à privilégier d'ici 2025 : Pompe à Chaleur, Poêle à granulés, Poêle à pellets, chaudière biomasse, radiateurs électriques.