La prise de poids à la puberté a d'abord une origine physiologique : elle est liée à la poussée de croissance des adolescents à cette période. Environ 50 % du poids adulte s'acquiert durant la puberté, et la prise de poids annuelle atteint + 9 kg/an à son paroxysme.
Ils grossissent, tout comme les adultes, car leurs apports caloriques sont supérieurs à leurs dépenses énergétiques. Pour beaucoup d'entre eux, cette prise de poids a commencé dès l'enfance, surtout quand les parents en souffrent aussi. Ces ados combinent alors mal-être, pression sociale et hérédité.
Pourquoi grossit-on à l'adolescence ? Juste avant la puberté, à la fin de l'enfance, une prise de poids est tout à fait normale. "C'est physiologique. Chez les jeunes filles notamment, cela leur permet d'avoir leurs règles, car il faut de la masse grasse.
La prise de poids avec l'âge s'explique d'abord par le métabolisme de base. Il représente les calories que l'organisme dépense pour assurer le minimum vital : plus il est faible, et plus on peut prendre de poids. Le principal facteur qui influe sur lui est la proportion de masse musculaire, plus grande chez les hommes.
Par exemple, tu peux faire de la musculation, te promener dans le quartier, aller nager ou courir sur un tapis roulant. Tu perdras du poids si tu pratiques une activité physique pendant 60 minutes chaque jour et tu bruleras plus de calories que tu n'en consommes.
Chez les garçons, la puberté commence vers l'âge de 12 ans. Ils vont grandir de plusieurs dizaines de centimètres et prendre 20 à 30 kilos en l'espace de 4 à 5 ans. Cette croissance gigantesque suffit à expliquer pourquoi ils mangent beaucoup.
- Manger un peu de tout au moment des repas (des légumes crus et/ou cuits, de la viande, du poisson ou des œufs, des féculents, du fromage ou un laitage et un fruit). - Limiter les aliments gras, sucrés, salés. - Avoir une activité physique régulière.
Les femmes auront plutôt tendance à stocker la graisse au niveau des hanches car selon quelques études, le gras stocké peut envoyer l'énergie nécessaire à une grossesse ou à un allaitement, alors que les hommes, eux, prendront de la graisse au niveau du ventre.
Vous êtes essoufflé à l'effort - C'est le premier et principal signe des effets respiratoires du surpoids. 30 % des personnes obèses souffrent d'ailleurs d'apnées du sommeil. Vous souffrez de douleurs articulaires - Etre en surpoids ou obèse multiplie par 4 ou 5 le risque d'arthrose.
Gras de l'abdomen
Une bonne nouvelle toutefois : le gras du ventre est celui qu'on perd en premier, car les hormones dont le rôle est de brûler les graisses sont davantage présentes dans l'abdomen.
Mais ne lui imposez rien et ne tentez pas d'exercer un contrôle sur elle. Sinon, elle pourrait développer une relation malsaine avec son corps, avec l'alimentation… ou avec vous! Votre rôle est simplement de représenter un modèle proposant un autre mode de vie, sans rien lui dire directement.
Les facteurs de prédisposition : génétiques, facteurs intervenant pendant la grossesse (alimentation de la maman, maladie, prise de poids), poids à la naissance, qualité des bactéries de l'intestin, exposition à certains polluants… vont amener à ce déséquilibre.
Non ! Les diététiciens sont nombreux à affirmer que l'eau est un allié, mais absolument pas un élément déterminant. Pour maigrir, une alimentation saine, équilibrée et associée à une activité physique sont les seuls remèdes réellement efficaces.
C'est même l'assurance de maigrir. "La faim protège notre poids, elle annule l'effet grossissant des aliments, car elle signale un déficit énergétique du corps. De plus, on mange moins quand on respecte sa faim", insiste le Dr Jean-Philippe Zermati, nutritionniste.
Au lendemain d'un repas trop copieux, d'une soirée trop arrosée, ou bien d'un mariage ou d'une fête de fin d'année, votre organisme est déboussolé, n'arrive plus à digérer correctement les aliments que vous avez ingérés, a du mal à déstocker les graisses et les sucres qui leur sont assimilés et vous fait donc prendre ...
Outre des raisons médicales (problèmes hormonaux, métaboliques ou maladies génétiques...), ce sont essentiellement les mauvaises habitudes alimentaires et le manque d'activité physique qui entraînent une prise de poids.
Troubles alimentaires, problèmes de sommeil, risque de maladies, perte de confiance en soi… Une prise de poids n'est pas anodine et peut impacter la santé physique et psychologique.
Grossir n'est pas une catastrophe
« Avoir pris 2,5 kg, c'est loin d'être une catastrophe, on ne se met pas directement en danger à cause d'une erreur diététique », explique-t-elle, considérant qu'il faut comprendre que la prise de poids pendant le confinement est normale.
Quel est le meilleur sport ? Pour perdre votre graisse de manière globale, et particulièrement au niveau du ventre, faire du cardio-training est sans aucun doute la meilleure solution. Vous pourrez le pratiquer sous différentes formes : marche sportive, course à pied, burpees, corde à sauter, natation, cyclisme…
Le mieux pour maigrir sans avoir faim, c'est d'opter pour des féculents complexes (riz complet, pain complet, pâtes complètes, etc.) qui garantissent une sensation de satiété sur le long terme. On ne le répétera jamais assez : pour maigrir sans avoir faim, il est primordial de prendre le temps de manger.