Avec une protection auditive pour concerts, que ce soit des bouchons d'oreille en mousse ou des bouchons d'oreille en silicone, ou encore un casque anti-bruit, le son qui va pénétrer dans le conduit auditif pour être transmis au cerveau.
Mettez la sensibilisation au bruit au cœur des débats. Vous pouvez la réaliser vous-même ou bien faire appel à un intervenant extérieur. Essayez de ne pas dépasser 20 personnes pour que vos salariés puissent participer activement. Vous pouvez par exemple organiser un quart d'heure sécurité.
Vous pouvez aussi installer des tapis, qui participent à atténuer le bruit. Évitez de mettre le volume de votre télévision et de votre musique trop fort et fermez vos fenêtres. Pensez également à fixer des patins sous les chaises pour ne pas déranger lorsque vous les déplacez, cela protègera également vos sols.
Limiter le niveau sonore d'exposition
Lorsque c'est possible, baissez le niveau d'émission, éloignez vous de la source sonore ou portez des équipements de protection individuelles (EPI tels que casque anti-bruit, bouchons, boules Quies, etc.)
Pour bloquer ces ondes de pression et retrouver le calme, deux solutions existent : l'isolation passive et l'annulation active de bruit. Concrètement, l'isolation passive consiste à utiliser un matériau pour isoler l'oreille de la source du bruit. L'exemple le plus connu étant les boules Quies.
Utiliser des PICB
Qu'il s'agisse de casques, de bouchons jetables, ou de bouchons d'oreilles moulés, fournir à vos salariés des Protecteurs Individuels Contre le Bruit est essentiel pour préserver leur audition.
La première étape consiste à déterminer si le bruit pose ou non un problème potentiel sur votre lieu de travail. Une inspection générale à cet effet est recommandée. Voici des indicateurs de niveau sonore dangereux : bruits plus forts que celui d'une circulation routière intense.
Les surdités peuvent être reconnues comme maladies professionnelles. Le bruit est également cause de gêne, de fatigue cognitive, de stress ainsi que de troubles cardiovasculaires et du sommeil .
Evitez les activités bruyantes ou les lieux bruyants, dans la mesure du possible. Limitez votre temps d'exposition à des sons forts. Quand vous écoutez des sons forts (par exemple, de la musique, des concerts…), faites des pauses. Eloignez-vous de la source sonore la plus forte (ex : haut-parleurs, feux d'artifice...).
La misophonie vient du grec « misos », qui signifie « aversion », et « fonos », le bruit. Une personne misophone ne supporte donc pas certains bruits. Cette aversion ne concerne pas tous les bruits mais principalement les bruits de déglutition, de craquements et de sons aigus, ou encore des bruits de fond.
La pollution sonore a des impacts sociaux et territoriaux prépondérants. Les niveaux sonores élevés le long des axes de transport très fréquentés dans le centre des villes ou aux abords des aéroports engendrent un exode vers la périphérie, plus tranquille.
On distingue en particulier des effets auditifs (fatigue auditive, surdité) et des effets extra-auditifs (risque d'accident, troubles cardiovasculaires et du sommeil, stress, baisse des performances cognitives…).
On considère que l'ouïe est en danger à partir d'un niveau de 80 décibels durant une journée de travail de 8 heures. Par ailleurs, si le niveau instantané est extrêmement élevé (supérieur à 135 décibels), toute exposition, même de très courte durée, est dangereuse.
de 90 à 115 dB (rouge), notre oreille est en danger : plus le son est fort moins il faut de temps d'exposition pour provoquer des lésions; au delà de 115 dB (marron), des bruits impulsifs (très brefs) provoquent immédiatement des dommages irréversibles.
Bruit aérien : On parle de propagation aérienne. Le bruit est propagé dans l'air tel que les bruits de voix, bruits de télévision… Bruit solidien : On parle de propagation solidienne. Le bruit est propagé dans un solide.
Le bruit le plus fort jamais enregistré sur Terre est l'explosion du volcan Krakatoa en 1883, dans les îles indonésiennes de Java. Le volume sonore a été mesuré à 172 décibels à 160 kilomètres.
Bruits continus : ventilation, climatisation, etc. : 2. Bruits évènementiels : ouverture/fermeture porte, bruits de pas sur le sol ; 3. Bruits produits par les équipements : photocopieuse, imprimante, etc. ; 4. Bruits de conversation : ceux-ci sont pénibles lorsqu'ils sont intelligibles.
Un son est défini par 3 paramètres : son intensité, sa hauteur tonale et son timbre. Son intensité ou volume dépend de la pression acoustique créée par la source sonore (nombre de particules déplacées) ; plus la pression est importante et plus le volume est élevé (fort).
Caractéristiques d'un son : fréquence, intensité, durée
La fréquence correspond au nombre de vibrations par seconde : s'il y en a peu on entend un son grave, s'il y en a davantage on entend un son aigu. On exprime la fréquence en Hertz (Hz).
LA SURDITE (totale ou partielle) Les sons trop forts détruisent les cellules cillées de l'oreille interne. Les sons aigus sont les plus dangereux et les fréquences aigues de l'audition les premières touchées par la baisse d'acuité auditive.
Les sons qui nous entourent peuvent générer du stress ou, au contraire, apaiser. Par conséquent, notre environnement sonore influe sur nos comportements. En outre, le bruit n'est pas toléré de la même façon selon l'endroit où on vit. Pour un citadin, par exemple, l'environnement sonore, c'est le bruit de la ville.
C'est bien connu, certaines personnes ne supportent pas des sons au point d'éprouver un profond énervement et l'envie de fuir. Une réaction disproportionnée dont le nom est "misophonie", un trouble qui trouverait son origine dans une suractivité anormale dans une zone précise du cerveau.
Des sons peu harmoniques
En effet, l'être humain a besoin d'harmonie pour apprécier un son. Une mélodie ou un bruit du quotidien harmonique active certaines zones spécifiques du cerveau. Sans cela, le cerveau active son système d'alerte et rejette le son perçu.