après vous être déshabillé, puis revenez renifler vos habits, particulièrement au niveau des aisselles et d'autres parties où vous suez un peu plus d'habitude. Si vous reniflez une odeur nauséabonde, cela pourrait signifier que vous avez un problème d'odeur corporelle qui se répand dans vos habits.
Pour vérifier le plus objectivement possible que l'on a besoin d'un coup de frais, il suffit, avant d'effectuer un reniflement discret, de humer une tasse de café. L'arôme est tellement puissant qu'il remet à zéro les capteurs olfactifs et permet de se sentir en toute objectivité.
Pour résumer, évitez les parfums ou les produits irritants ; pratiquez votre toilette intime 2 fois par jour maximum, en utilisant si possible, de l'eau tiède ou un savon au ph neutre. Un savon dédié à l'hygiène intime ou doux. Et ne frottez pas trop fort sous peine d'irritations !
L'odeur vaginale anormale n'est pas le seul symptôme caractéristique de ces infections. Des démangeaisons, une sensation de brûlure, des douleurs locales, des rougeurs ou encore des pertes vaginales anormales (leucorrhée) peuvent l'accompagner.
Etre vigilante sur la toilette particulièrement pendant les règles. Laver la vulve (jamais l'intérieur du vagin !) avec un savon gynécologique adapté à la toilette quotidienne ou avec le savon habituel s'il n'entraîne ni irritation ni sécheresse. Changer régulièrement vos protections pour éviter la macération.
Une vaginose bactérienne se développe lorsque la flore vaginale habituelle est déséquilibrée et remplacée par des bactéries pathogènes. Les pertes vaginales sont alors plus abondantes et malodorantes, cette odeur s'accentue après les rapports sexuels.
“Une odeur de poisson pourri est caractéristique de la vaginose qui résulte d'un déséquilibre de la flore vaginale. Cette infection s'accompagne également d'une irritation de la vulve et de pertes vaginales”, signale la gynécologue. La mauvaise odeur est liée à un gaz produit par la bactérie présente dans le vagin.
Mais la cause principale à l'odeur corporelle forte est la présence de bactéries. Ces bactéries vivent à la surface de la peau. Elles sont plus nombreuses au niveau des plis et des zones riches en poils comme les aisselles ou les organes génitaux.
Une odeur corporelle excessive ou anormale (bromhidrose) est due à la dégradation chimique de la sueur par des bactéries et des levures normalement présentes sur la peau. (Voir également Présentation des troubles de la sudation.
Les bactéries se nourrissent des déchets présents dans le gros intestin. Ce faisant, elles libèrent, en les digérant, des gaz qui s'accumulent et "descendent" le long du gros intestin, pour arriver dans le rectum.
Les aisselles
C'est l'aliment idéal pour les bactéries qui sont nombreuses sous nos bras et autour de notre sexe. Lorsqu'elles se régalent de notre sueur, ces bactéries produisent des composés odorants qui sont responsables de notre odeur corporelle.
Des capsules pailletées à placer dans le vagin pour un "orgasme parfumé", un enlumineur de vulve "pour paraître plus jeune et plus fraîche", une "huile de fourrure" à appliquer sur les poils pubiens ou encore une huile végétale "régénérante pour la lumière intime".
En revanche - que ce soit pendant les règles ou en dehors - si notre odeur devient très forte, proche du poisson avarié notamment, il s'agit sûrement d'une vaginose. Cette infection est causée par un déséquilibre du pH naturel de la flore qui permet à un mauvaise germe, le Gardnerella, de se développer.
inodore adj. Qui ne dégage pas d'odeur.
Mais comment l'expliquer ? Les odeurs corporelles sont la signature unique de l'être aimé ou désiré. Ainsi, l'ocytocine, l'hormone de l'amour et de l'attachement, peut être sécrétée rien qu'en nichant le bout du nez dans le cou de votre conjoint. Ou sur toute autre partie plus intime de son corps.
De tout temps, une odeur spécifique a été associée au diagnostic de certaines maladies, notamment du foie, mais notre odorat est inexistant à côté de celui du chien, d'où l'idée d'utiliser leurs capacités olfactives exceptionnelles pour détecter des cancers débutants.
L'odeur est un stimulus très fort, comme la douleur, qui est de nature sensorielle. Aussi, l'idée que l'on a d'une douleur ressemble fortement à celle d'une odeur. Enfin, la sensation d'odeur, bien que très différente, a une origine dans le cerveau qui s'active comme pour la douleur. C'est un phénomène réversible.
Ce qui peut favoriser ces infections :
; une fistule recto-vaginale (une ouverture anormale entre le rectum et le vagin qui entraine un écoulement des fèces dans le vagin) . une mauvaise hygiène ou, au contraire, une hygiène excessive (et on le répète, on ne lave JAMAIS à l'intérieur de minou);
La transpiration nocturne et l'air insuffisamment renouvelé dans la chambre laissent, au petit matin, une odeur un peu particulière, qui taquine nos narines. D'où l'importance d'aérer “en grand” quelques minutes! Cette odeur, c'est à cause des ptomaïnes.
Il faut savoir que l'alimentation peut donner une odeur à notre transpiration. Ainsi, l'ail, l'oignon et les épices comme le curry favorisent les mauvaises odeurs corporelles. Bien que cela soit variable d'une personne à l'autre.
La sueur a alors juste une légère acidité. Ce gène présent chez 2% de la population occidentale, est largement majoritaire pour les Asiatiques du Nord-est, dont les Sud-Coréens. Même si les Sud-Coréens suent bien comme nous, leurs aisselles ne dégagent pas de fortes odeurs et le déodorant n'est pas donc nécessaire.
Selon la science, le durian fait partie des choses qui puent le plus sur le globe. Ce fruit comestible, dont certains raffolent, notamment en Asie, est à l'origine de nombreux incidents.