Courez, nagez, pédalez… Faire du sport aide à oxygéner le cerveau et améliore ainsi ses fonctions cognitives. Par ailleurs, le fait de faire des pauses dans ses révisions est capital, car cela donne la possibilité à la mémoire de classer les informations et de bien les enregistrer.
Jouer est aussi un moyen très efficace : jeux de société, jeux de cartes, mots croisés, et même les jeux vidéo…. tout est bon ! La méditation ou toute autre forme de recentrage attentionnel (mindfulness, yoga, prière…) diminue le stress et améliore la concentration.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Le ginkgo biloba
Ses nombreux principes actifs sont réputés pour agir sur toutes les pertes de mémoire, y compris les troubles plus graves comme la maladie d'Alzheimer. "Il s'utilise aussi bien sous forme d'extraits liquides, en gélules ou simplement en infusion.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Des pertes de mémoire courtes et temporaires peuvent survenir à tout âge, notamment en période de stress, d'anxiété ou de fatigue intense. Le vieillissement a également un impact sur la performance du processus de mémorisation : avec l'âge, la mémoire devient souvent moins fiable.
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
Les causes des oublis fréquents
Ce n'est pas tout : le stress des vies surchargées et trépidantes est souvent à la base de ces trous de mémoire. On en fait trop alors le cerveau, qui ne peut tout enregistrer, fait le tri !
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Pommes de terre, pain, pâtes, riz, autant d'aliments rassasiants, qui entretiennent le cerveau, car ils permettent de tenir le coup sur la journée et de faire le plein d'énergie. Vous pouvez opter pour des céréales complètes.
Pour conserver une bonne mémoire, il faut manger beaucoup de fruits et légumes et boire du jus d'orange, selon une nouvelle étude publiée dans Neurology.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
On assiste depuis quelques années à un nouveau phénomène : prendre des médicaments — Ritalin, Adderall, Alertec — pour augmenter ses capacités cognitives. Appelés « smart drugs », ces médicaments ont été conçus à l'origine pour soigner des troubles tels que l'hyperactivité ou la narcolepsie.
Un outil particulièrement remarquable, c'est de lire, lire, lire. Ce que vous voulez, même les magazines, car cela stimule le cerveau. Cela fait faire des associations, vous parlez dans votre tête, cela stimule énormément de zones. C'est vraiment le sport le plus complet pour le cerveau.
l'aphasie est un trouble du langage est assez fréquent. Bien souvent, il s'agit d'une séquelle d'accident vasculaire cérébral, de traumatisme crânien ou encore de tumeur cérébrale. L'aphasie correspond à la perte partielle ou totale du langage. La parole et la pensée ne sont alors plus synchronisées.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Pas question donc d'aller consulter un neurologue aux premières difficultés à se souvenir de détails. En revanche, si les troubles de mémoire deviennent récurrents et qu'ils ont un impact sur le quotidien, il faut consulter, en commençant par son médecin traitant. Certaines maladies nuisent en effet à la mémoire.
Nos oublis peuvent provenir d'un manque de disponibilité, c'est-à-dire d'un manque d'attention soit en cas de fatigue physique, soit lorsque nous sommes préoccupés. Par ailleurs, dans certains cas, il peut s'avérer nécessaire d'oublier notamment quand on a vécu un évènement traumatisant.
Le fait d'oublier était souvent considéré comme un échec du cerveau à retenir les données mais les spécialistes estiment que certaines parties du cerveau sont faites pour la perte de mémoire.
Pour être pleinement concentré, éliminez tout ce qui peut vous distraire : musique, portable, livre, bruit, etc. Pour éviter que votre concentration ne faiblisse, n'oubliez pas de faire des petites pauses régulières. Bien évidemment, un bon rythme de vie permet d'augmenter son temps de concentration.