Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
Le grand combat pour l'abolition a commencé. 13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale.
En fait, les maisons closes fonctionnent avec des jetons. Elles font frapper des pièces de métal avec leur nom et leur adresse (ça fait de la pub au passage), et ce sont ces jetons que les clients vont acheter auprès de la tenancière ou de la personne qui les accueille à l'entrée.
Définition "tenancière de maison close"
Lieu de prostitution. Mot très grossier et dont on ne se sert pas en bonne compagnie. Dérivé de borde.
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
Le concept est simple: les prostituées, qui travaillent pour leur compte, payent 70 euros par jour au Club Paradise, soit le prix d'une passe. Elles sont logées, nourries sur place. Dès la deuxième passe, l'argent récolté est pour elles.
Les portes closes cachent une réalité de violence morale et physique avec pour toile de fond traite des femmes, passages à tabac, alcoolisme et drogue. Les prostituées, appelées"colis" par les "courtiers", sont revendues de maison en maison, soumises à une discipline et une hiérarchie militaire.
Étienne Jeaurat, Le transport des filles de joie de l'Hôpital, 1755, musée Carnavalet. À l'époque, ils doivent être signalés par une lanterne rouge et les volets doivent être clos… d'où le nom de maison « close » !
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
La loi française interdit le recours aux services d'une personne qui se prostitue. Le fait d'inciter une personne à se prostituer ou de tirer profit de la prostitution d'un tiers est également interdit.
Dès le 9 juin, la prostitution est à nouveau autorisée. Une bonne nouvelle pour les travailleuses du sexe qui n'exercent plus depuis huit mois. En situation de précarité extrême, les TDS n'attendent plus que le protocole.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d'autres personnes moyennant rémunération. 2. Littéraire. Action de prostituer, d'avilir, de dégrader quelque chose de respectable : La prostitution de l'art entre les mains de marchands.
Familier. Désordre, confusion : C'est la pagaille complète dans cette administration.
1. Bruit, tapage : Faire un barouf du diable. 2. Scandale, protestation tapageuse : Menacer de faire du barouf.
Nom commun
(Argot) Commère, personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas et qui parle sur les gens derrière leurs dos et qui fait par la suite l'hypocrite. Ce mot est assez péjoratif et plus violent que le mot "commère".
− Subst. masc., DR. 1. [Sous l'Ancien Régime] Celui qui possédait en roture des terres dépendantes d'un fief auquel étaient dus des cens ou autres droits.
Belgique : la prostitution est désormais autorisée, une première en Europe.
Avant, il y avait déjà de la prostitution dans le quartier Schippers à Anvers, comme dans celui de De Wallen à Amsterdam, mais pas en vitrine – les mœurs ne l'auraient pas permis.” Le fait est que ces quartiers se sont développés, principalement à Bruxelles et à Anvers, où des rues entières sont jalonnées de vitrines ...
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
Ce terme puise son origine dans une coutume médiévale. En effet à cette époque, les prostituées n'avaient pas le droit d'exercer leurs activités dans les ports. Les marins devaient donc se rendre dans les « bordes », cabanes en bois ou petites maisons, d'un quartier situé à l'écart de la ville.