À l'armée, les soldats s'appellent officiellement « les hommes ».
Le terme poilus était le surnom des soldats français, durant la Première Guerre mondiale. On pense souvent qu'ils doivent ce surnom au peu de commodité de se raser dans les tranchées, et que leur moustache et leur barbe finissaient par pousser, de sorte qu'ils paraissaient tout poilus.
Pourquoi appelle-t-on les soldats de la Première Guerre mondiale « les poilus » ? Le terme « poilu » n'est en aucun cas une affaire de barbe mais découle d'expressions françaises nées à partir du XVIIe siècle pour désigner le courage, la bravoure des soldats qui partent au combat. Explications avec Jamy.
Le terme "poilu" est un sobriquet donné aux soldats français de la Première guerre mondiale.
Un embusqué est, en France pendant la Première Guerre mondiale, un homme valide en âge d'être mobilisé éloigné des postes de combat.
À l'occasion du 11-Novembre, l'animateur se demande pourquoi les soldats qui se battaient dans les tranchées en 1914-1918 sont appelés "les Poilus".
Poilu est le surnom donné aux soldats de la Première Guerre mondiale qui étaient dans les tranchées. Ce surnom est typique de cette guerre et ne fut utilisé qu'en de rares et exceptionnels cas pendant la Seconde Guerre mondiale.
Les « poilus » se rasaient avec soin
« Les historiens paresseux ont longtemps admis que ce mot avait un rapport avec la barbe hirsute des soldats qui ne pouvaient pas se raser dans les tranchées.
Tortue : projectile d'artillerie. Totos : poux. (Les poux font partie du quotidien des soldats pendant la Grande Guerre. Ils se logent dans les cheveux et les vêtements, rendant d'autant plus difficile la vie dans les tranchées).
Les gueules cassées, les mutilés dans leur fauteuil roulant, les amputés en béquille, ou ceux dont la manche vide est glissée dans la poche de la veste, les aveugles… Tous les jours, ils rappellent à la population les horreurs de la guerre et les sacrifices qu'ils ont subis dans leur chair pour la patrie.
Un front militaire est une frontière, contestée entre deux forces combattantes. Un front peut être local et tactique ou peut s'étendre sur un large théâtre d'opérations comme le front de l'Est durant la Seconde Guerre mondiale. La ligne de front peut-être déformée par des saillants et des rentrants.
En effet, conformément à l'Article 2 de la loi précitée, l'accès à la réserve opérationnelle est soumis à un certain nombre de conditions : il faut être de nationalité française, âgé de 17 ans minimum, apte physiquement et sans antécédent judiciaire.
Gaz moutarde de la Première Guerre mondiale: pourquoi cette appellation ? Reconnaissable par sa couleur jaunâtre, le gaz moutarde de la Première Guerre mondiale tient son appellation de son odeur semblable à celle de la moutarde. Ce gaz a été utilisé pour la toute première fois le 12 juillet 1917 en Belgique.
Face aux mauvaises conditions de vie en campagne, notamment en Pologne en 1807, mais aussi en raison du versement irrégulier de leur solde, les soldats de la Grande Armée ne cessaient d'exprimer leur mécontentement, Napoléon Ier les surnommant alors les » grognards « .
10) Comment se nomme le général qui commande les troupes ? C'était le général Pétain.
L'arrière est le territoire situé en dehors des zones de combats dans un pays en guerre. Le terme correspondant en anglais, Homefront, (front intérieur) serait apparu au cours de la Première Guerre mondiale.
Il y a les blessés et, parmi eux, ces "gueules cassées". L'expression est du colonel Picot, lui-même mutilé de guerre. Ils sont environ 300 000 en Europe dont 15 000 en France. Ce sont des soldats en état de choc, victimes à la face d'une balle de mitrailleuse ou d'un éclat d'obus.
En France, les soldats qui combattent sur le front sont appelés les « poilus », sans doute parce qu'ils n'avaient ni le temps ni les moyens de se raser. Pour conserver à tout prix le terrain conquis, les troupes s'enterrent dans des tranchées, parfois fortifiées, qui forment bientôt un labyrinthe boueux.
Avec la Grande Guerre, l'artillerie inflige jusqu'à 70 %-80 % des blessures. Les éclats d'obus broient les membres, éventrent les corps, détruisent les visages. En cas d'impact direct, ils peuvent pulvériser un combattant, dont il ne reste finalement plus rien.
Les registres de matricules militaires
Les sources les plus fiables pour déterminer le parcours et le régiment d'un ancêtre pendant la Grande Guerre sont les registres de matricules militaires. Pour la période couvrant la Première Guerre Mondiale, ces registres ont été numérisés dans la plupart des départements.
Les Welsh Guards ( litt. « Gardes gallois ») constituent l'un des cinq régiments d'infanterie de la Garde du souverain britannique (les Royal Foot Guards) de la British Army.
Les féroces soldats sont les soldats des armée européennes qui viennent " égorger nos fils et nos compagnes ".
Les poilus, c'est le surnom donné aux soldats qui ont combattu pendant la Première Guerre mondiale. On les appelait ainsi car ils étaient sales et mal rasés : ils faisaient la guerre dans des conditions extrêmement difficiles.