Simple : en exprimant ses émotions négatives, ressurgissent les émotions positives enfouies. Prenez l'image d'un mille-feuilles, symbolisant les 5 niveaux d'émotions : colère (reproche rancœur), souffrance (tristesse déception), peur (insécurité), culpabilité (regrets), et enfin amour (pardon compréhension intentions).
Si vous êtes sensible à la colère ou au comportement des autres, comme boire trop, exprimez-le et dites-lui ce dont vous avez besoin, fixez des limites. Encore une fois, en s'affirmant, vous faites maintenant en tant qu'adulte ce que vous ne pourriez pas pu faire en tant qu'enfant.
L'EMDR est une psychothérapie particulièrement efficace pour guérir nos blessures. L'écriture d'une lettre de colère, travaillée ensuite avec son psychothérapeute peut être un autre moyen efficace. Décharger physiquement sa colère dans un coussin de colère est également une alternative thérapeutique intéressante.
La cause la plus fréquente de blessure est un entraînement inadéquat – par exemple, ne pas accorder aux muscles assez de temps pour récupérer après une séance d'exercice (ils ont besoin de 48 heures de repos), augmenter l'intensité trop rapidement et ne pas s'arrêter lorsque la douleur s'accroît pendant l'exercice.
Les expériences traumatiques de l'enfance (ACEs) – qui incluent : maltraitances émotionnelle et physiques ; humiliation verbale ; abus sexuels; présence d'un membre de la famille sous addiction ou malade mental ; abandon parental, divorce, perte, décès, emprisonnement - peuvent endommager le cerveau en cours de ...
L'idée est d'amener la personne à prendre conscience qu'elle est une victime, pour mieux apaiser ses sentiments de culpabilité et de honte. "Le rôle du thérapeute est d'aider à prendre du recul sur ce qui s'est passé et de montrer que c'est au parent, et non, à l'enfant d'endosser la responsabilité de la maltraitance."
Refouler, s'en accommoder ou faire comme si elles n'avaient jamais existé... Lorsqu'elles sont ignorées, les blessures du passé peuvent réapparaitre sans prévenir. Brian a perdu son emploi il y a peu de temps et les souvenirs de maltraitance durant son enfance refont surface.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.
Face à une déception, la fin d'une relation amoureuse, une trahison, un mensonge ou la perte d'un être cher, on ressent de la souffrance émotionnelle.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Les blessures de l'enfance ont le goût du rejet, de l'abandon, de l'humiliation, de l'abus, de la trahison, de l'injustice, de la détresse, de la non-reconnaissance, de la carence affective, de la maltraitance physique, verbale ou par défaut de soins.
avoir le sentiment de ne plus vouloir ou de ne plus pouvoir vivre. épisodes répétés de violence physique ou sexuelle. sentiment de haine envers soi-même ou faible estime de soi.
Les traumatismes infantiles
Des traumatismes plus graves peuvent entraîner des cas de trouble de stress post-traumatique chez les enfants et les adultes, avec des conséquences telles qu'une perte de conscience ou de mémoire, des problèmes relationnels, une vision déformée de la réalité et des problèmes émotionnels.
Le processus de reconnexion, de réconciliation et d'intégration de son enfant intérieur permet de : Apprendre à reconnaître ses émotions et à les vivre positivement. Accueillir ses sensations et les messages de son corps. Cultiver des sentiments créateurs.
Les choses sont très différentes en cas de psychotraumatismes répétés. «Ils attaquent la capacité du cerveau à fabriquer du sens, c'est-à-dire à intégrer les différents processus cognitifs, émotionnels, physiques, en un tout cohérent.
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
C'est pourquoi une blessure = un masque. Ce masque est finalement le produit de notre égo et de ses mécanismes de défense. Ainsi, la personne qui souffre de la blessure de l'abandon porte le masque du dépendant. Elle a du mal à fonctionner seule et a besoin qu'on s'occupe d'elle…
Signe 1 : les comportements évitants
Dans la vie adulte, un signe manifeste de la blessure de rejet est la mise en place de comportements évitants ou fuyants par la personne. Elle a en effet tellement peur d'être rejetée qu'elle refuse de rentrer en relation et de s'attacher à quelqu'un.