Les circuits cérébraux sont capables de se remodeler sous l'effet de l'expérience. Lorsqu'on on apprend, nous établissons de nouvelles connexions synaptiques entre les neurones et renforçons les synapses. Ainsi les signaux sont transmis plus rapidement et efficacement.
Les quatre piliers de l'apprentissage selon Stanislas Dehaene sont l'attention, l'engagement actif, le retour d'information et la consolidation. La motivation est cependant nécessaire à l'attention et la répétition s'avère essentielle à la consolidation.
Dormir avant la formation et après l'apprentissage pour retenir son contenu. Bouger car l'activité physique participe à la bonne santé des neurones et à la neurogenèse. Connecter les informations et les répéter pour mieux mémoriser. Regarder faire pour apprendre comme si l'on faisait soi-même.
Plusieurs facteurs influencent l'apprentissage, notamment le style d'apprentissage, la motivation intrinsèque et extrinsèque, les stratégies cognitives, les émotions, les stratégies métacognitives, les expériences et les connaissances antérieures, le niveau d'implication, l'hérédité, le genre, la personnalité et l'âge ...
Les trois stratégies d'apprentissage les plus célèbres sont les stratégies mnémoniques, structurelles et génératives.
Une bonne nuit de sommeil, un peu de musique et quelques encouragements positifs peuvent aider le cerveau humain à mieux intégrer de nouvelles compétences.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le matin ne serait pas le moment où l'on est plus efficace. C'est en effet en début d'après-midi, à 13 h 30, que les étudiants suivis ont obtenu les meilleures notes.
L'apprentissage est définit comme « un changement adaptatif observé dans le comportement de l'organisme. Il résulte de l'interaction de celui-ci avec le milieu. Il est indissociable de la maturation physiologique et de l'éducation »1.
1. La modernité exaspère la contradiction entre l'obligation de l'instruction comme seule clé de l'insertion sociale et le fait que l'apprentissage ne se décrète pas ; ce dernier apparaît, en effet, de plus en plus, comme une démarche individuelle, voire individualiste, à l'abri de toute contrainte.
L'étape de stockage (ou de consolidation) coïncide avec la mise en pratique de ces connaissances, c'est-à-dire à leur mobilisation, à travers des exercices par exemple. Cette étape se fait plus généralement par des séances de révisions en dehors de la salle de classe, et leur déroulement est à la charge de l'élève.
Se mettre au défi avec des exercices de mémoire. Puzzles, mots croisés, sudokus et autres petits jeux : autant de bons moyens d'entretenir son cerveau et de travailler sa mémoire à court terme ! Et plus vous pratiquez, plus vous progresserez, en améliorant votre logique et vos capacités intellectuelles.
Pour cela, les activités qui nécessitent l'utilisation de vocabulaire, de diverses connaissances, de logique, de mémoire sont appropriées. Plusieurs types de jeux permettent de faire travailler l'ensemble du cerveau : Scrabble, Bridge, Sudoku, mots croisés, échecs, jeux de cartes, etc.
Les neurones ont besoin d'oxygène et de glucose pour fonctionner. Il est recommandé de les nourrir en acides gras et en glucides complexes, de boire beaucoup, mais aussi de pratiquer trois fois par semaine un exercice physique d'intensité moyenne (vélo, jogging, marche...), à raison de trente minutes par séance.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
La lutéine qu'on trouve dans les légumes à feuilles vertes comme l'épinard, le brocoli, les différentes variétés de salade (laitue), la rucola, la roquette (Eruca sativa), le chou frisé (kale) ou les feuilles de moutarde contribuent à prévenir le déclin cognitif et à améliorer la mémoire.
Elle confirme qu'une seule séance d'activité physique (marche, course, vélo), de deux minutes à une heure, d'intensité modérée à élevée, suivie d'une brève récupération, a des effets positifs sur l'apprentissage, la mémoire, les fonctions cognitives liées à la concentration et l'attention des jeunes adultes de 18 à 35 ...
Le maître d'apprentissage est la personne directement responsable de la formation de l'apprenti et assumant la fonction de tuteur est dénommée maître d'apprentissage.
La première et la seule organisation de représentation des apprenti·e·s en France. Porter leur voix auprès du gouvernement, défendre leurs intérêts et siéger au sein d'instances représentatives. Tout au long de leur parcours, de leur orientation jusqu'à leur insertion professionnelle post-apprentissage.