Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ». Kêr est, quant à lui, l'élément le plus courant de la toponymie bretonne.
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville !
La longère est une maison bretonne typique, toute en longueur et de plain-pied pour celles dont le grenier n'a pas été aménagé par la suite. Généralement en granit, elle dispose d'un toit d'ardoises à deux pentes et dans la plupart des rénovations, de volets de couleurs.
« Ker » signifie « petit bourg » en langue bretonne, et Cadélac est le nom d'un village situé au cœur des Côtes d'Armor.
Je vous suggère Ti Laouen ( la maison de la joie ou heureuse), se prononce ti la-ou-enne.
En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
mabig, merc'hig, & dim.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Des petites ouvertures permettaient de se protéger des éléments. Elle recevait traditionnellement, lors de sa construction, un nom breton de la localité. La longère possède un toit bas, généralement en ardoise et plus rarement en chaume.
Une maison en meulière est une maison dont la maçonnerie est constituée de pierres meulières avec des joints réalisés par rocaillage. Il s'agit notamment de certaines villas construites au début du XX e siècle qui se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l'Art nouveau.
On les appelle des chaumières pour une bonne raison : les maisons normandes traditionnelles disposent de toits de chaume. Autrement dit, un mélange de seigle, de roseaux ou de blé fixé sur une structure en bois, construite avec les mêmes poutres que celles des colombages.
Plou- est un appellatif toponymique préfixé d'origine bretonne qui a pour sens « communauté » puis, par extension, « paroisse ». Il procède du moyen breton ploe, lui-même du vieux breton pluiu. Ce dernier terme est emprunté au latin plebs, plebis, « paroisse ».
Trev- signifiant “village”, ou fraction du Plou- justement, rassemblant quelques habitations. Ker- (Car- Caer-, etc.)
Étymologie. (Date à préciser) Du moyen breton liorz et lyorz , synonymes de luorz (« courtil, jardin »), lui même issu du vieux brittonique * lub-gorth, composé de lub (« herbe, légume ») et de gorth (« enclos »).
Étymologie. Du moyen breton mam.
Hollgaret = Chéri(e)
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Dans la pratique courante, on peut s'étonner d'entendre utiliser le terme de matriarcat comme désignant un trait particulier de la société bretonne.
bara en français. Le dictionnaire breton - français contient 2 traductions de bara , les plus populaires sont : pain, gagne-pain . La base de données de traductions contextuelles de bara contient au moins 239 phrases.
JOLI -E, -MENT KOANT, (fig.) BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.)
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