D'une manière générale, ses écailles et ses yeux doivent être brillants, et ses yeux bien bombés aux pupilles noires. Vérifiez son odeur. Regardez si sa peau est luisante et glissante grâce à une fine pellicule légèrement « gluante » sur les écailles. Vérifiez que ses ouïes sont bien d'une couleur rouge foncé ou rosé.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Le cabillaud remporte la palme du poisson le moins "bio" (88 % de poissons non-durables), suivi par la sole et le bar (respectivement 86 % et 80 %). En cause : les méthodes de pêche utilisées, dans des stocks surexploités ou non-respectueuses de l'environnement comme le chalut, qui est majoritairement utilisé.
Le meilleur choix est encore le hareng, le colin, le lieu noir et les sardines. Parmi les salmonidés, il est préférable de consommer les poissons de la famille coregonus, le saumon rouge et le saumon du Pacifique.
C'est pourquoi on conseille de n'acheter le poisson que peu de temps avant son utilisation, surtout en été. On le transporte alors de préférence dans un sac isolant et on le cuisine, au plus tard, le lendemain.
Leur plus grande faiblesse: La naïveté. Intuitif et romantique, ce signe a tendance à accorder sa confiance trop facilement… Les natifs du poisson sont également très indécis, leur deuxième plus grand défaut.
Un fois votre produit frais acheté, il faut le placer rapidement au réfrigérateur. On considère que 4°C est une température moyenne pour un frigo domestique. Mais la température de conservation idéale pour le poisson se situe plutôt entre 0 et 2°C. Aussi, préférez le bas du frigo, juste en dessus du bac à légumes.
Il se met alors à développer de nombreuses bactéries. Ce ne sont pas elles qui sentent, mais les molécules (putrescine, cadavérine...) qui se dégagent des protéines de la chair en décomposition. Malodorantes, ce sont elles les responsables de cette fameuse odeur d'ammoniaque.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
Les poissons à consommer en janvier sont le cabillaud, l'églefin, le merlan, la plie et la roussette. En février, on trouvera davantage de merlan (pleine saison), de cabillaud, d'églefin, de lotte, de plie, de roussette et de lieu jaune.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Les poissons maigres, comme la sole ou le cabillaud, peuvent être congelés longtemps, jusqu'à 6 mois. En revanche, les poissons gras, comme le saumon ou le thon, ne doivent pas rester dans le congélateur plus de 3 mois. Les poulpes, seiches et calamars se conservent congélateur environ 3-4 mois.
Poissons plats à 2 filets : daurade, saint-pierre... Poissons plats à 4 filets : barbue, turbot, sole, limande, carrelet, raie... Poissons ronds de mer à 2 filets : thon, merlan, rouget, sardine, maquereau, saumon, lotte, congre, bar (loup), cabillaud, colin (lieu).
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
Comment bien choisir son cabillaud
Sa chair blanche est fine, son goût délicat. Pour une texture ferme, choisissez la chair située à proximité de la tête. Visez en revanche la queue si vous souhaitez plus de rondeur et de tendreté sous la dent.
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Espadon, requin, marlin, thon, daurade, lamproie comptent parmi les poissons prédateurs qui contiennent le plus de mercure, susceptibles d'endommager le système nerveux central, tandis que les poissons à chaîne courte comme les sardines ou les maquereaux ont des niveaux inférieurs.
Quels poissons privilégier pour des oméga 3 sans métaux lourds ? Pour éviter les métaux lourds dans l'alimentation pescetarienne, il est recommandé de consommer des petits poissons gras riches en oméga 3 comme les sardines, les anchois, les maquereaux ou encore le hareng.