Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées.
Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents, dans la vie familiale ou scolaire.
Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
Faites également attention à vos gestes et à l'expression de votre visage. Il ne faut surtout pas avoir l'air de demander l'approbation de vos interlocuteurs. Outre cela, les onomatopées comme « hum, euh… » sont à éviter et ce, même si vous avez besoin de réfléchir un peu avant d'avancer une nouvelle idée.
S'exprimer en public doit être un moment d'échange agréable entre votre auditoire et vous. Comme lorsque vous communiquez avec vos amis. L'erreur serait de vous prendre trop au sérieux. N'en faites rien.
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
Ajoutez des exemples concrets, utilisez des métaphores, faites des comparaisons avec des choses familières pour le public. Il faut que le discours soit le plus « visuel » possible pour que l'auditoire puisse suivre facilement. Ensuite seulement, rédigez votre accroche.
« Cela pourrait provenir d'une obsession exagérée et imaginaire d'erreurs réalisées dans le passé, et ces histoires, minant la confiance de la personne, pourraient la pousser à des vérifications excessives ».