Les penseur·se·s excessif·ve·s n'arrêtent jamais de réfléchir, si bien qu'il·elle·s ne se rendent pas toujours compte de leurs excès. Une psychologue a mis au point une liste de signes qui montrent que l'on se prend trop la tête.
La tachypsychie correspond à un déroulement anormalement rapide de la pensée et des associations d'idées. Elle peut être à l'origine de troubles de l'attention et de difficultés pour s'organiser.
Les personnes anxieuses ont un schéma de réflexion très particulier, c'est pour cela qu'il est important que les partenaires prennent en considération tous les handicaps qui peuvent se présenter.
La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu.
C'est votre dominance de l'hémisphère droit qui vous permet de réagir, réfléchir aussi vite - au risque parfois d'avoir l'impression que votre cerveau va trop vite et que vous avez trop d'idées dans la tête.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
Selon Nathalie Cardinaels, plusieurs raisons expliquent une réflexion excessive: “Cela peut venir d'un besoin de tout comprendre. Mais aussi d'une peur de l'avenir, d'une angoisse que les choses tournent mal. Dans ce cas, la prudence peut conduire à envisager les pires scénarios.
Reformuler ce que dit l'autre
« Tu veux dire que … » En reformulant sans juger, la personne inquiète entend ses arguments et donne du sens à ses pensées (coupant les ruminations mentales). Elle obtient aussi la preuve qu'elle est réellement écoutée.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une (lamentation) répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
omniscient, omnisciente
Littéraire. Qui sait tout ou paraît tout savoir.
Personne présomptueuse qui a une haute estime d'elle-même et se croit supérieure aux autres, et qui n'hésite d'ailleurs pas à le montrer ou le faire savoir. Exemple : Son récent succès littéraire l'a rendu encore plus outrecuidant.
Si en plus cette personne se permet de donner des conseils sur des choses qui ne le regardent pas, on appelle ça un gérant d'estrade. Je ne sais pas s'il y a un adjectif précis pour ce trait de caractère mais des termes tels que lâche, paresseux, orgueilleux, narcissique, égocentrique, arrogant collent parfaitement.
Le fruit indispensable pour mieux dormir : le kiwi
Le fruit de référence à manger absolument pour améliorer votre sommeil est le kiwi. Ce petit fruit à la chair verte serait gorgé de sérotonine. La sérotonine est un neurotransmetteur présent dans notre système nerveux qui déclenche la mélatonine, l'hormone du sommeil.
Cette plaque tournante de nos émotions apprend par association la signification émotionnelle de nos pensées. Grâce à ces associations, l'amygdale déclenche les émotions issues de nos pensées et, réciproquement, elle oriente notre attention et nos pensées en fonction de nos émotions.
Il est possible de ne pas être l'auteur de ses pensées : des opinions reçues à l'inspiration divine, notre activité mentale est souvent déterminée par ce qui échappe au sujet. Mais dès lors qu'il assume cette extériorité, ce dernier est bien le signataire de ses pensées.
La méditation est LA solution anti-stress la plus efficace si vous y consacrez au moins quelques minutes par jour. Même si vous êtes néophyte en la matière, pas d'inquiétude. Cette discipline s'acquiert avec le temps, mais peut être bénéfique dès les premiers exercices.
Pratiquez le lâcher-prise : prenez des pauses, ce n'est pas plus compliqué que cela. Pour ceux/celles qui ne peuvent s'arrêter de penser, ou de souffrir d'angoisse, de stress ou de culpabilité qui vous empêchent de tranquiliser votre esprit, pratiquez aussi la méditation, la sophrologie ou encore le yoga.
Souvent, c'est une stratégie pour éviter d'être face à des angoisses mais le mal-être ne disparaît pas pour autant. En effet, ces pensées sont habituellement accompagnées de sentiments et d'émotions désagréables comme la tristesse, la dévalorisation, la culpabilité ou la colère.
Définition. Le mot Overthinking signifie littéralement “penser trop”, entendu dans l'article comme la propension à ressasser en boucle, de façon obsessionnelle, un certain nombre de pensées ou sentiments négatifs.
Souvent, on s'angoisse et on se torture l'esprit, parce qu'on ne fait qu'y penser. En fait, on n'agit pas. Or, l'action est libératrice. En effet, c'est en agissant que l'on se libère l'esprit.