« Qui veut la paix prépare la guerre », disait l'officier prussien Clausewitz, reprenant la thèse du Chinois Sun Tzu : « L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combattre ».
Locution-phrase
Il faut aussi se préparer aux extrémités auxquelles on ne souhaite pas recourir. Pour se faire respecter, il faut être craint des autres.
Conclusion : On a donc vu que préparer la guerre pour avoir la paix, réflexe déjà présent dans l'antiquité, ne permet que d'assurer une trêve provisoire et finit par déclencher la guerre.
Le titre de ce billet est parfois attribué à Jules César (Caius Iulius Caesar à sa naissance, Imperator Iulius Caesar Divus après sa mort, -100/-44). Il s'agit en réalité d'une locution latine ("Si vis pacem, para bellum.") dont l'origine précise est inconnue.
Guerre et paix constituent deux modalités des rapports entre les nations : la guerre désigne la lutte contre des ennemis extérieurs, la paix l'entente entre les peuples. et chercher le principe universel qui préside à la conduite de la guerre.
La guerre est un choc de forces. Elle est, plus précisément, l'état d'un ensemble humain où le choc – la lutte armée, le combat, l'affrontement radical – est devenu la modalité prédominante du rapport entre les forces internes et/ou externes.
“Qui veut la guerre est en guerre avec soi.”
Emprunté de l'allemand Parabellum, tiré de l'adage latin si vis pacem, para bellum, « si tu veux la paix, prépare la guerre ». Nom déposé d'un modèle de pistolet automatique, à chargement par court recul du canon, qui fut notamment en usage dans les armées allemandes durant la Première Guerre mondiale. Des parabellums.
La paix est un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l'absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond aussi à un idéal social et politique.
Armistices, capitulations et cessez-le-feu interrompent les combats selon des modalités différentes. Ils font taire les armes, mais maintiennent l'état de guerre qui ne prendra fin qu'avec le traité de paix.
D'une façon traditionnelle, pour l'histoire militaire ou celle des relations internationales, la sortie de guerre commence avec la fin des combats (définition militaire), la signature d'un traité de paix (définition juridique), le respect des clauses de ce traité (définition diplomatique).
La paix est indispensable au commerce, à une croissance économique soutenue et à la prospérité. À leur tour, la stabilité économique et une prospérité croissante, largement partagée à la fois au niveau national et au niveau international, peuvent favoriser la paix.
« Qui connaît son ennemi comme il se connaît, en cent combats ne sera point défait. Qui se connaît mais ne connaît pas l'ennemi sera victorieux une fois sur deux.
si vis pacem para bellum"
(Argot) Banlieue ; taudis.
Arme de poing, revolver.
Le 9 × 19 mm Parabellum est un calibre de cartouche destinée aux pistolets semi-automatiques. C'est à ce jour le calibre d'arme de poing le plus largement répandu au monde, notamment comme munition d'arme de poing standard de l'OTAN. Sa dénomination métrique est 9 × 19 mm . Il est souvent abrégé en 9 mm Para.
Leurs conséquences dans les pays touchés sont nombreuses et diverses. Les conflits violents tuent de plusieurs manières: les combats font des victimes parmi les civils et les militaires, les maladies sont plus fréquentes et la criminalité vio- lente s'accroît. Les guerres entraînent des migrations massives.
Alain a dit : Qui veut la guerre est en guerre avec soi.
Pour la promouvoir, il faut intervenir dans l'éducation, défendre un développement durable, le respect des droits de l'homme, l'égalité entre hommes et femmes, favoriser la participation démocratique, la tolérance et la solidarité, la libre circulation des connaissances et agir en faveur de la paix internationale.
Les valeurs-clés de cette culture sont la tolérance, la convivialité, le partage et le respect des droits de chacun. Une culture de la paix s'attache donc à combattre l'exclusion, l'extrême pauvreté et la dégradation de l'environnement.
La guerre est un phénomène protéiforme. Elle peut être une guerre de conquête (ou défensive pour le territoire agressé) qui a pour but d'agrandir son territoire ou de piller le territoire ennemi. Il s'agit de la forme la plus ancienne de la guerre. Elle n'a pas pour but la destruction de la partie adverse.
« Qui veut la paix prépare la guerre », disait l'officier prussien Clausewitz, reprenant la thèse du Chinois Sun Tzu : « L'art de la guerre, c'est de soumettre l'ennemi sans combattre ».