Hatchepsout est la première femme qui a marqué l'histoire de l'Égypte antique. Fille, sœur et épouse de pharaon, elle a régné de 1479 à 1458 avant Jésus Christ, après la mort de son mari Thoutmôsis II. Sur les fresques, elle est représentée comme un pharaon, avec un pagne et une barbe postiche.
Hatchepsout est l'une des premières femmes pharaons de l'Égypte antique. Cette statue d'Hatchepsout représente cette dernière avec une crinière de lion et une barbe de pharaon. Il est toujours possible d'admirer les réalisations d'Hatchepsout de la Nubie à Beni Hasan.
Les rois de la seizième dynastie survécurent en se déclarant vassaux des Hyksos, mais la dix-septième dynastie commença à organiser la résistance sous l'égide de trois femmes, toutes reines de Thèbes : Tétishéri, sa fille Iâhhotep Ire et sa petite-fille Ahmès-Néfertary.
Rarement une femme aura autant intrigué qu'Hatshepsout. Certes, d'autres femmes de pouvoir existèrent avant et après elle, mais jamais une reine n'aura autant marqué son temps et sa civilisation.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
Ahmès-Néfertari, Hatshepsout, Néfertiti, Néfertari, Isisnefert, Touy ( la mère de Ramsès II ), Tiyi ( la mère d'Akhénaton ), les noms de ces femmes continuent de résonner dans nos mémoires malgré les siècles qui passent.
L'égyptologue britannique Nicholas Reeves avait avancé la théorie selon laquelle la momie de Nefertiti serait cachée dans une chambre secrète dans la tombe de Toutankhamon, dans la vallée des rois près de Louxor (centre-est).
L'étude publiée dans Nature Communication indique en effet que les anciens égyptiens sont en réalité plus proches génétiquement des habitants actuels de pays du proche-orient comme Israël, la Jordanie ou le Liban, de la Turquie, voire de l'Euope.
Menna exerce la fonction de "Scribe des champs du seigneur du Double Pays" , ce qui doit correspondre à une fonction de géomètre ou d'archiviste, un scribe du cadastre en quelque sorte.
Cléopâtre, septième du nom – lequel signifie « la gloire de mon père » –, est issue d'une dynastie d'origine grecque, celle des Lagides, fondée par Ptolémée, fils de Lagos. Elle est la fille de Ptolémée XII Néos Dionysos Aulète, auquel elle succède à l'âge de 18 ans.
Son père, Aménophis III, apprenant la nouvelle, aurait invité Néfertiti à sa cour pour finalement en faire sa propre épouse.
Pour l'égyptologue, Néfertiti meurt en l'an XVII d'Akhénaton, quelques mois avant son époux, possiblement au moment d'une pandémie importée de Turquie qui aurait ravagé la famille royale.
Absence de l'œil gauche
Cette absence a fait naître l'hypothèse farfelue que Néfertiti souffrait peut-être d'une infection ophtalmique et était effectivement borgne de l'œil gauche.
Le couple royal formé par Akhenaton (Amenhotep IV ) et Néfertiti donne naissance à six enfants, uniquement des filles, même si certains historiens ont avancé jusqu'à il y a encore peu de temps l'hypothèse selon laquelle Toutânkhamon était également le fils du pharaon hérétique et de la reine.
Des tests ont permis d'établir que son père était le pharaon Akhénaton, époux de la légendaire reine Néfertiti. Mais celle-ci n'est pas la mère de Toutankhamon, l'analyse génétique montrant en effet une consanguinité entre les parents.
Akhenaton est le fils du puissant pharaon Aménophis III, qui régna au XIVe siècle avant notre ère. À sa naissance, il reçut le même nom et commença son règne en tant que Aménophis IV (à noter que le nom est parfois transcrit en « Amenhotep »).
BIOGRAPHIE DE NEFERTITI - Reine d'Egypte au XIVe siècle avant JC, Néfertiti est née le 1 janvier 1370 av. J. -C.. Elle est morte le 1 janvier 1333 av.
Smenkhkarê, gendre et successeur d'Akhenaton après une probable corégence, meurt à la fin d'un règne éphémère. Le pouvoir revient alors au fils cadet d'Akhenaton, alors âgé de neuf ans : Toutânkhaton, qui a épousé Ankhésenpaaton, la troisième fille d'Akhenaton. Avec la disparition d'Akhenaton s'éteint le culte d'Aton.
La plus originale de ces reines lagides devait être, sans conteste, l'illustre Cléopâtre VII, fille de Ptolémée XII Néos Dionysos Aulète, épouse de César puis de Marc Antoine, dernière souveraine de l'Égypte ptolémaïque.