Il doit absolument l'être. On ne doit pas manger un homard mort avant la cuisson puisque, une fois mort, il dégage des enzymes et des bactéries qui s'attaquent à ses tissus. Il est vivant lorsqu'il est vigoureux quand on le soulève et qu'il replie souvent sa queue sous son corps.
Vérifiez que la carapace soit bien dure, cela signifie que la chair est abondante. Vous pouvez également contrôler le fait que son oeil soit bien noir et brillant, autre signe de qualité. (Ne soyez pas effrayé à l'idée de vous faire pincer, les pinces du homard seront attachées.)
Choisissez-le vivant, vigoureux, l'oeil brillant, l'odeur agréable. S'il a séjourné trop longtemps dans la caisse d'expédition ou dans un vivier, il en prend l'odeur et le goût. Choisissez un sujet lourd. Préférez la femelle au mâle, dotée de plus de chair et plus fine.
Pourquoi ? parce que les défenseurs des animaux (Crustacean Compassion) estiment que ces crustacés ressentent de la douleur lorsqu'ils sont plongés dans de l'eau bouillante et que tout animal qui peut ressentir de la douleur doit être traité humainement avant d'être abattu pour être consommé.
Seuls l'estomac (qui se trouve à l'arrière de la tête) et l'intestin (la veine noire qui fait la longueur de la queue) ne sont pas comestibles. Sinon, la chair, les œufs, le foie, le gras et le sang du homard peuvent être consommés.
Le tomalli est une substance verte et tendre qu'on retrouve dans la cavité du homard. Il assume les fonctions hépatique et pancréatique et, tout comme le foie d'autres animaux, il sert de filtre naturel aux contaminants.
Le corail est composé d'oeufs de crustacés en formation, que l'on trouve dans la partie supérieure du céphalothorax des homards, ainsi que dans une partie de l'abdomen. Avant cuisson, le corail est de couleur verte et prend une belle couleur rouge après cuisson.
Si on l'achète déjà cuit, son corps doit être ferme et rigide, et sa queue recourbée vers le bas. Même si l'on tente de le déplier, la queue doit reprendre sa forme recourbée: c'est l'une des façons de savoir qu'il était vivant au moment de sa cuisson.
Ces créatures ne souffrent d'ailleurs pas que lorsqu'elles sont jetées dans l'eau bouillante. Les chercheurs soutiennent que les homards et les crabes ressentent très certainement de la douleur lorsqu'on leur retire une ou des pinces avant de les remettre à l'eau, une pratique qui est déjà interdite au Royaume-Uni.
Pour éviter toute souffrance potentielle, il faut donc “assommer” le crustacé avant de le faire cuire (ébouillanté entier ou grillé coupé en deux). L'option la plus simple consiste à le placer au congélateur pendant 15 minutes, avant de le plonger “inconscient” dans l'eau bouillante, tête la première.
Son gène de couleur :
Chez le homard, il interagit avec une protéine, la crustacyanine, pour donner une couleur bleue qui contribue à camoufler l'animal aux yeux de ses prédateurs. Mais, à la cuisson, la protéine se délite, libérant l'astaxanthine qui, de ce fait, redevient orange.
MEILLEURE RÉPONSE par nos experts. Il ne faut surtout pas le congeler cru ! Cela risquerait fortement de dénaturer son goût et sa texture et de le rendre impropre à la consommation.
En premier lieu, leur chair contient naturellement des microbes et toxines qui se développent très vite après la mort. Les cuire vivants réduit donc grandement les risques d'empoisonnement alimentaire. On les reçoit vivants pour cette même raison.
S'il est bien vivant (le homard reste un animal, certains sont plus résistants que d'autres), vous pouvez le conser- ver dans le bac à légumes de votre frigo dans un linge humide, du papier journal humide ou dans de la paille humide. À conserver maximum 12h après réception du colis.
Le homard vivant ne doit jamais être congelé, mais le homard cuit se prête très bien à la congélation. Pour obtenir de bons résultats, il faut retirer la chair cuite de la carapace et la placer dans des récipients en plastique ou en verre ou dans des sachets pour congélation.
Pour conserver le homard, l'envelopper simplement d'un linge humide et le placer dans le bas du frigo, soit à l'endroit le plus frais. Un maximum de 12 heures est conseillé!
Pourtant, le homard ne crie pas quand on le plonge dans l'eau bouillante : ce sont les poches de gaz contenu dans sa carapace qui gonflent sous l'effet de la chaleur et la fissurent.
Placez d'abord le homard 20 minutes au congélateur pour lui assurer une mort sans douleur. À l'aide d'un gros couteau, fendez le homard en deux sur toute sa longueur, en commençant entre les deux yeux.
Ce crustacé décapode possède un cœur qui est placé au milieu du thorax. Il est suspendu dans un grand sac péricardique. Du sang est envoyé dans les artères ramifiées pour atteindre les différents organes du homard.
Souffrance animale: une étude britannique confirme que les homards, crabes et poulpes sont sensibles à la douleur. Une étude commandée par le gouvernement britannique confirme que les homards, crabes et poulpes sont sensibles à la douleur, et recommande ainsi de ne pas les ébouillanter vivants avant de les consommer.
Un homard se déguste de préférence chaud ou tiède, car le froid lui fait perdre sa saveur. Sa chair est tendre, ferme et goûteuse. A la cuisson, la carapace doit virer au rouge orangé. C'est dans l'abdomen et la queue que se trouve la plus grande quantité de chair mais les pinces en contiennent aussi.
Les parties comestibles du homard sont l'abdomen, la queue et les pattes. Il vous suffit donc de lui enlever l'estomac (situé derrière la tête !) et les intestins avant de le faire cuire. Il est possible que les femelles aient encore leur œufs.
La langouste est la femelle du homard et la langoustine, leur fille?
Normalement, le prix baisse lorsque les débarquements de homard se font plus nombreux. Mais les règles du jeu ont changé, analyse M. Lamont. Le taux de change avec les États-Unis et la forte demande en Asie contribuent à un prix élevé.