Le mieux est de l'engager à consulter un psychiatre ou un psychologue… mais nous savons parfaitement que ce n'est pas facile…
Thérapie cognitivo-comportementale (TCC) de la colère
– Identifier et analyser : la première phase de la thérapie vise à mettre en évidence les mécanismes de la colère au niveau cognitif, émotionnel, et comportemental. Ce travail se fait dans un premier temps par le biais de questionnaires et de mises en situation.
Nous allons cette fois nous intéresser aux différents professionnels qui peuvent intervenir pour un enfant en difficulté. Psychologue, neuropsychologue, pédopsychiatre, neuropédiatre, psychomotricien, ergothérapeute, graphothérapeute, psychomotricien relationnel, orthophoniste, ostéopathe, …
-Prendre le temps de respirer profondément et de se calmer en cas d'énervement et s'isoler, si nécessaire, jusqu'à ce que la tension baisse. -Contrôler le ton de sa voix et se forcer à parler moins fort, fait qui ramènera le vis à vis à s'ajuster au volume sonore adopté, sans même y penser.
Reconnaître la colère comme une émotion (distincte de la joie ou la tristesse par exemple). Accepter que cette émotion puisse s'installer (manifestation saine devant un obstacle). Comprendre en quoi elle peut gêner voire blesser l'autre. Travailler en groupe avec des animateurs dans le respect de chacun.
Le trouble explosif intermittent (TEI) est un trouble comportemental caractérisé par des expressions extrêmes de colère, souvent au point de violence, disproportionnées par rapport à la situation qui survient (voir aussi à la définition de Seb Bouyer).
"Lorsqu'elle est ressentie fréquemment, violemment et de manière non adaptée, la colère peut développer des hernies, de l'urticaire, du psoriasis, de l'asthme et des douleurs dans le bas du dos", explique Christophe Haag.
L'agressivité est un comportement courant chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer. L'entourage en est souvent ébranlé.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Selon la neuropsychologie, l'agressivité serait due à un réflexe pré-programmé au niveau neurologique, en lien avec le vécu personnel et le contexte socio-culturel. L'agressivité peut aussi être associée à certaines pathologies, telles que la psychose, la névrose ou l'épilepsie.
Plus vous entraînerez votre mental à prendre cette juste distance, plus il vous sera facile, ensuite, de libérer cette émotion, de retrouver le calme intérieur ainsi que des relations apaisées. L'étape suivante est d'apprendre à apprivoiser vos émotions avec bienveillance : La sophrologie est idéale pour cela.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Elle est facilement irritée ou de mauvaise humeur. Elle se querelle ou se bat souvent. Elle se sent tellement en colère qu'elle a envie de se faire du mal ou d'en faire aux autres.
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
L'adrénaline, hormone du stress par excellence, est sécrétée en situation de danger. Elle met l'organisme en état d'alerte en agissant sur le cœur, la circulation du sang, la respiration, la sensibilité aux stimulus, les réactions motrices, et d'autres fonctions qui assurent des réactions rapides face à une menace.
La colère est l'expression d'un besoin non entendu, c'est une demande à l'autre dans le but de rétablir le lien, une protestation contre ce qu'on ne peut pas tolérer, une défense de l'intégrité, de la personnalité, la colère donne la force de dire non et de se sentir soi !
Les personnes atteintes de trouble explosif intermittent, un trouble psychiatrique caractérisé par l'impulsivité, l'hostilité et des crises d'agressivité récurrentes et incontrôlables au point de perturber la vie de leur famille et de leur entourage, n'ont qu'à bien se tenir.
Ce changement de caractère peut aussi être lié à des peurs comme la peur de l'abandon, la peur de la mort, de la maladie. Vieillir est une crainte pour de nombreuses personnes.
Le terme démences fronto-temporales est un regroupement de plusieurs maladies neurodégénératives qui affectent les lobes frontaux et temporaux du cerveau. Ces régions sont responsables du jugement, du langage ainsi que du contrôle du comportement et des émotions.
Taper dans un mur, par exemple, c'est uniquement chercher à vidanger son énervement. Il reste toutefois possible d'apprendre à gérer sa colère. On peut d'abord faire de la méditation, de la relaxation ou des exercices de respiration pour la faire redescendre rapidement.
Les bipolaires se disent plus sensibles. Les borderline également, mais souvent ils ont tendance à se faire beaucoup plus de mal et cela évolue de manière chronique. Il y a finalement peu de rémission chez les borderline alors que chez les bipolaires, il y a des phases de normothymie relativement paisibles.