Au début des années 1990, on lit pour la première fois dans des médias français que le « MLF a été fondé en 1970 par Antoinette Fouque, Josiane Chanel et Monique Wittig », une revendication rectifiée par d'autres militantes dans une mise au point publiée dans Le Monde : « Mme Antoinette Fouque, élue sur la liste ...
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
1970 . C'est en écho à une marche féministe new-yorkaise que le Mouvement de Libération des Femmes (MLF) est officiellement né le 26 août 1970. Dans un documentaire de 1990, des militantes du MLF témoignent de leur prise de conscience de la condition des femmes et de leur engagement.
Olympe de Gouges est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est notamment la rédactrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
En France, en 1791, Olympe de Gouges, considérée comme une des pionnières du féminisme dans son pays, rédige la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, dans laquelle elle demande que l'on rende à la femme les droits naturels que les préjugés lui ont retirés.
En France, le Mouvement de libération des femmes (MLF) est un mouvement féministe autonome et non-mixte qui revendique la libre disposition du corps des femmes, remet en question la société patriarcale.
Le masculisme est au contraire un mouvement symétrique au féminisme. Il se penche sur la condition masculine. Ce mouvement est désigné et respecté comme tel chez nos voisins États-Uniens qui parlent fréquemment de « masculism ». Une petite recherche sur l'Internet vous convaincra (voir plus bas).
En médecine, le masculinisme est une pathologie de la femme qui présente certains des attributs sexuels secondaires de l'homme (ex: moustache).
réformateur, réformatrice, réformiste[Hyper.]
"Méninisme", quand les hommes transposent le féminisme au masculin - L'Express.
Qui éprouve du mépris, voire de la haine, pour les femmes ; qui témoigne de ce mépris.
Ainsi, être un homme féministe, c'est aussi bien lutter contre les violences perpétrées à l'encontre des femmes, contre la précarité de certaines mères en situation monoparentale, que de lutter pour imposer un congé de paternité, pour que la table à langer ne soit pas l'exclusivité des toilettes pour femmes ou pour le ...
MISANDRE, , adj.
Contraire : assuré, audacieux, cynique, décidé, désinvolte, dynamique, effronté, entreprenant, fanfaron, fier, hardi, impertinent, impudent, insolent, intrépide, résolu. – Familier : crâneur.
bougon, grincheux, grognon, râleur, rouspéteur - haine[Hyper.]
Olympe de Gouges. Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Le 21 avril 1944, le général de Gaulle octroie par ordonnance dans le cadre du gouvernement provisoire d'Alger, le droit de vote aux femmes françaises.
Ailleurs, des femmes luttent encore pour des droits fondamentaux comme le respect de l'intégrité de leur corps, de leurs choix matrimoniaux, comme l'accès à l'emploi, à des droits familiaux qui ne les réduisent pas à l'état de mineures, à l'égalité dans l'héritage etc.
Le masculinisme est d'une part l'ensemble des mouvements sociaux qui se préoccupent de la condition masculine et de « la défense des droits des hommes, de leur indépendance et de leurs valeurs » ; dans un autre contexte, il est l'idéologie de la domination masculine sur les femmes.
Définitions de « gigolo »
La pansexualité est une orientation sexuelle caractérisant les individus qui peuvent être attirés, sentimentalement ou sexuellement, par un individu de n'importe quel sexe ou genre.
Conseil n°4 : être ferme, calme et directe
Être calme et sans agressivité est souvent plus efficace. Pas question pour autant de se dénigrer ou de laisser couler : “il faut expliquer à l'autre quelles sont vos limites, en étant directe et ferme”, précise Noémie Le Menn.
La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard d'une ou des femmes).