Les travailleurs étrangers qui souhaitent travailler en Belgique comme salariés (c'est-à-dire occupés en vertu d'un contrat de travail) doivent disposer d'un permis de travail. Cette condition ne s'applique pas aux ressortissants des Etats membres de l'Espace économique européen ni aux ressortissants suisses.
Dispenses liées à la situation de travail
Travailleur détaché, ne nécessitant pas de déclaration LIMOSA préalable, à condition que son séjour en Belgique ne dépasse pas 3 mois consécutifs. Notamment : Conducteur ou pilote de transport international. Membre de délégation diplomatique ou consulaire.
C'est généralement l'employeur ou son mandataire qui doit demander l'autorisation.
Pour venir travailler en Belgique, les non-ressortissants de l'UE doivent disposer d'une carte de travail. L'employeur belge doit posséder un permis de travail. Avec ces permis, vous pourrez obtenir un visa de séjour en Belgique.
Le permis de travail est un document élaboré par certaines entreprises afin de mieux encadrer leurs activités et les risques inhérents. Il définit ainsi les tâches à accomplir, les dangers associés et les mesures de sécurité à mettre en place.
Le permis de travail ouvert permet à une personne de travailler pour n'importe quel employeur pendant une période déterminée. Le permis de travail ouvert avec restrictions peut limiter la profession ou le lieu de travail, mais non l'employeur.
Afin de pouvoir travailler en Belgique, les travailleurs étrangers doivent disposer d'une autorisation de travail. Jusqu'au 31 décembre 2018, cette autorisation de travail était attestée par un permis de travail. Depuis le 1er janvier 2019, le permis unique est d'application.
Les salaires les plus bas sont versés dans l'horeca, avec un montant moyen de 2.704 euros.
La demande de permis de travail doit être effectuée à l'aide de formulaires types disponibles dans les services régionaux de l'emploi. Plus d'infos sur les demandes de permis de travail : en Wallonie , via le portail de la Région. dans la Région de Bruxelles-Capitale , sur www.bruxelles-economie-emploi.be.
La régularisation par le travail n'existe pas en Belgique
Que ce soit en tant que travailleur ou en tant qu'indépendant. Il n'y a pas d'exception à ce principe. La seule manière d'obtenir un droit de séjour par le travail en Belgique, c'est d'en faire la demande avant de venir, via la procédure adéquate.
Comme des milliers d'autres sans-papiers en Belgique, Layla n'a pas le droit de travailler en Belgique. La loi belge interdit à des employeurs d'engager des travailleurs sans papiers. Ceux-ci n'ont pas droit non plus de suivre des formations professionnelles.
En tant que ressortissant d'un pays tiers
Tous les ressortissants d'un pays tiers qui désirent venir travailler en Belgique ont besoin d'un permis de travail/permis unique. Ce permis leur permettra d'obtenir un VISA pour venir en Belgique et un titre de séjour pour pouvoir y résider.
L'annexe 15 vaut comme preuve d'inscription au registre des étrangers ou de population quand sont cochées les cases 1, 2, 3, 4 ou 8. Quand la case 7 est cochée, la personne devra en outre alors présenter d'autres documents.
Octroi d'un permis unique à un travailleur qui se trouve en Belgique. L'Office des étrangers envoie la décision d'octroi d'un permis unique (annexe 46 ou 47) au travailleur et une copie à l'administration communale du lieu de résidence renseigné dans la demande unique.
L'attestation d'immatriculation, souvent aussi appelée « carte orange », est un document de séjour provisoire pour le ressortissant de pays tiers ayant engagé une procédure. Le document prouve qu'une demande de séjour en Belgique est à l'examen.
De nos jours, un travailleur belge sous contrat d'employé à temps plein gagne en moyenne un salaire brut de 3.783 euros par mois. Voilà ce qui ressort des chiffres du Rapport des Salaires Jobat 2022. L'industrie (pétro)chimique et pharmaceutique rémunère toujours le mieux ses collaborateurs.
Travailler en Belgique, quels avantages ? D'abord, l'expatriation peut être plus simple que dans un autre pays, grâce à la langue qui est la même dans certaines régions. Ensuite, vous ajouterez une expérience professionnelle à l'étranger sur votre CV. Enfin, les diplômes français sont reconnus en Belgique.
il vaut mieux vivre en Belgique, taxes diverses sont peut être plus haute, mais vivre en France ou tout devient impossible il suffit de voir l'électricité, le gaz qui n'arrête pas d'augmenter fortement plus une hausse prévue en janvier 2019 et un re-calcule plus tard comme pour l'électricité, vous paierez moins cher d' ...
En général, pour les ressortissants de l'UE, la carte d'identité ou un passeport suffisent. Les étrangers qui ont une autre nationalité peuvent avoir besoin d'un visa. Pour rester en Belgique pour une longue période ou de manière permanente, il existe encore d'autres statuts de séjour.
C'est votre futur employeur qui doit faire la demande d'autorisation de travail (appelée aussi procédure d'introduction). Il doit suivre plusieurs étapes : Publication de l'offre d'emploi auprès du service public de l'emploi pendant 3 semaines, accompagnée d'un dossier de demande d'introduction.
Dispense d'autorisation de travail
Pour exercer une activité salariée en France, les ressortissants de l'UE, de l'EEE, de Suisse ou d'un État signataire d'une convention bilatérale avec la France ne sont pas soumis à une autorisation de travail. C'est le principe de liberté de circulaire des travailleurs qui prévaut.
L'employeur n'est pas autorisé à embaucher ou à conserver à son service un salarié étranger non européen qui n'a pas d'autorisation de travail. Il est également interdit d'engager ou de conserver à son service un étranger sans respecter les limitations qui peuvent être mentionnées sur l'autorisation de travail.