Le Messie (de l'hébreu: מָשִׁיחַ - mashia'h, araméen meshi'ha משיחא, arabe masih المسيح) désignait initialement, dans le judaïsme, l'Oint, c'est-à-dire la personne consacrée par le rite de l'onction, réalisée par un prophète de Dieu.
1. Personnage providentiel qui mettra fin à l'ordre présent, imparfait ou mauvais, et instaurera un ordre de justice et de bonheur. 2. Dans l'Ancien Testament, libérateur d'Israël et instaurateur du règne de l'Éternel.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
L'onction, selon le Nouveau Testament, est un geste liturgique cérémonial consistant en une application d'une huile sainte sur une personne ou sur une chose.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
n. Prophète. Selon les Chrétiens, le Christ est le fils de Dieu et le Messie prédit.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
C'est ainsi, d'après Matthieu (1, 18-24), seul évangéliste avec Luc à donner un récit circonstancié de la naissance de Jésus, que Joseph accepta le rôle de père adoptif.
Jésus de Nazareth est considéré par le christianisme comme le Messie et le Fils de Dieu. Dans l'islam, le terme « Messie » est utilisé pour parler d'Īsā/Jésus.
L'histoire du christianisme commence au I er siècle au sein de la diaspora juive après la crucifixion de Jésus de Nazareth, dont la date probable se situe vers l'année 30.
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Mt 1, 18+ : « or avant qu'ils aient mené une vie commune, elle se trouva enceinte par le fait de l'Esprit Saint » Mt 1, 20+ : « l'Ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit : « [...] ce qui a été engendré en elle vient de l'Esprit Saint [...] » »
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Résumé : La Genèse propose un double récit de la création. Selon Gen 1:27, Dieu, au sixième jour, « créa l'homme à son image... mâle et femelle Il les créa », alors que Gen 2:21-22 narre la création de la femme à partir d'une côte de l'homme.
Abiel (Dieu est mon Père) est le nom du grand-père de Saül et d'Abner (vers - 1100 av. J. -C. ). Joab (YHWH est Père) est le nom du neveu de David (-1030 av.
Interdit de prononciation dans le judaïsme
Les Juifs s'imposent une interdiction de prononcer le Tétragramme, fondée sur le Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7).
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Dès que le Saint-Esprit est sur une personne, il lui communique une quantité d'onction selon la tâche à accomplir. La mesure d'onction sur la vie d'une personne est fonction de sa vocation.
Application d'huile sainte sur une personne pour la consacrer à Dieu (baptême, confirmation, ordination, avec le saint chrême) ou lui conférer la grâce de lutter contre le mal (huile des catéchumènes) ou contre la maladie (huile des malades).
La grâce du sacrement des malades est d'abord le réconfort de paix et de courage apporté par l'Esprit Saint pour traverser les épreuves de la maladie et des approches de la mort. Elle permet l'union intime à la passion du Christ et ainsi une participation à son oeuvre de salut.