Partie médiane du bas de l'abdomen, en japonais. En médecine chinoise, cette partie du corps est très importante, car elle est la source principale du souffle vital. Les intestins et la vessie (plus l'utérus pour les femmes) se trouvent dans le hara.
harakiri) Mode de suicide particulier au Japon qui consiste à s'ouvrir le ventre. (Il était obligatoire pour les daimyo et pour les samouraïs après une sentence de condamnation à mort. Il était aussi pratiqué volontairement pour venger son honneur.
HARA-KIRI, subst. masc. Mode de suicide pratiqué au Japon, consistant à s'ouvrir transversalement le ventre avec un sabre ou un poignard, et considéré comme très honorable.
HARAS. (H est aspirée.) n. m. Lieu destiné à loger des étalons et des juments, pour la reproduction de la race chevaline.
Dans le langage des jeunes, il a pris la signification d'une alerte pour prévenir qu'une personne arrive. Il est, par exemple, utilisé par les guetteurs pour prévenir que la police arrive : "Arah, Arah, Arah (voilà les flics !)"
Étymologie de « ara »
Abréviation d'araraca, qui est, au Guarani, le nom de ce perroquet. (1558) Du tupi-guarani ara.
Le hara-kiri ou harakiri (腹切り) ou seppuku (切腹, littéralement « coupure au ventre »), est une forme rituelle de suicide masculin par éventration, apparue au Japon vers le XII e siècle dans la classe des samouraïs. Ce rituel est officiellement abandonné par les Japonais en 1868.
La décision express vient du ministre de l'Intérieur, Raymond Marcellin. L'hebdomadaire Hara-Kiri serait "dangereux pour la jeunesse", justifie Matignon dans un communiqué. En cause, cette "une" : "Bal tragique à Colombey : un mort".
Hara Kiri réinventa l'information satirique dans les années 1960 et ouvrit la voie à Charlie Hebdo, celle de l'humour comme défi à l'obscurantisme. Un demi-siècle après le lancement du premier, le second est devenu la cible d'un terrorisme qui s'attaque à la démocratie.
Le choix de ce titre faisait référence à un fait divers qui avait défrayé la chronique le premier novembre précédent : l'incendie d'un dancing, le 5-7, à Saint-Laurent-du-Pont (Isère) où 146 personnes avaient trouvé la mort.
Le bushido est le code des principes moraux que les guerriers japonais (samouraïs et bushi) étaient tenus d'observer.
حسنا، أين (توني) الآن؟
Ce « Ara » est un terme utilisé par les guetteurs pour avertir les trafiquants de drogue de la présence des policiers.
"Starfoullah" signifie en arabe : "Que Dieu me pardonne". Ce terme marque la surprise ou le dépit par rapport à une situation.
Les aras bleus poussent des cris rauques et puissants, comprenant des "raaaa", des "kewaaaa", des "scureeeeak" et des "scaaark" tranchants. La plupart de ces productions ont une qualité gutturale et de nombreux sons paraissent tremblotants.
Guettier, subst. masc.,synon. rare de guetteur (supra B 1),région. L'homme qui m'a aidé à grimper d'échelle en échelle dans cette lanterne est le guetteur de la ville, le guettier, comme il s'appelle.
On a souvent besoin du cri car c'est la seule fréquence que l'on connaisse pour communiquer, le seul moyen dont nous nous voyons agir face aux autres, sans savoir que si l'on crie, il est très probable que l'autre réponde de la même manière, donnant lieu à une dynamique relationnelle désordonnée et coercitive.
Que l'on prononce : Ouhibbouk-احبكي pour une femme et Ouhibouka -احبك pour un homme. On insistera sur le “h” qui se prononce de manière aspirée et on rebondit sur le double “b” pour prononcer “je t'aime” en arabe.
L'influence du Bushidō
Musashi Miyamoto (1584-1645), devenu une figure emblématique du folklore japonais.
Les principes du bushido mettaient l'accent sur l'honneur, le courage, l'habileté dans les arts martiaux et la loyauté envers le maître du guerrier (daimyo) par-dessus tout. Il est quelque peu similaire aux idées de chevalerie que les chevaliers suivaient dans l'Europe féodale.
Rappelle-toi la devise du samouraï : L'honneur ou le déshonneur ne sont pas dans l'épée, mais dans la main qui l'empoigne.
L'esprit qui animait le commandant Hirose représente exactement l'esprit Bushido de notre armée et de notre marine. « Tous nos hommes devant l'ennemi, nous en sommes sûrs, au cas d'une défaite, seraient unanimes dans leur refus d'accepter la liberté sous de telles conditions.