Le nombre d'or, aussi appelé ratio d'or, est un concept mathématique qui donne le nombre irrationnel phi ou Φ, qui équivaut approximativement à 1,618. Il provient de la séquence de Fibonacci, qui est une série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents.
Au cœur d'une marguerite ou d'un aster, les minuscules fleurs disposées sur le capitule (les fleurons) forment deux familles de 13 et 21 spirales, voire 21 et 34. Sur des fleurs plus grosses comme des tournesols, on trouve les paires (34,55) ou (55,89), et éventuellement plus.
Son écriture décimale est infinie. Donnons une valeur approchée : 1,618 033 988 749 894 848 204 586 834 365 638 117 720 309 179 805 762 862 135 448 622 705 260 462 818 902 449 707 207 204.
Le nombre d'or en géométrie
"Le nombre d'or est le nombre réel positif, noté φ, égal à la fraction a/b si a et b sont deux nombres en proportion d'extrême et de moyenne raison." Voici la formule correspondante : φ = (1 + √5) / 2.
Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6. 28 est également un nombre parfait : 1+2+4+7+14=28. Les nombres parfaits sont rares, il n'en existe que trois inférieurs à 1000 qui sont 6, 28 et 496.
Pourquoi on l'appelle le nombre d'or ? Le nombre d'or est considéré comme une formule universelle de la beauté, il est censé représenter une harmonie divine (c'est pas rien). C'est pourquoi de nombreux artistes, architectes, peintres, designers l'ont utilisé et l'utilisent encore pour la création de leurs œuvres.
Occasion pour Léonard de Vinci de mettre en lumière ce que Johannes Kepler appelait le « joyau de la géométrie », le nombre d'or serait vu comme le coefficient de proportion parfaite, symbole de l'harmonie suprême de toute chose.
Le nombre d'or, appelé phi, est le seul nombre positif qui est égal à son inverse augmenté de l'unité. L'inverse est, en effet, 0,618 033 989... Les rapports successifs de deux nombres de Fibonacci consécutifs se rapprochent de plus en plus de cet inverse.
Le nombre d'or, aussi appelé ratio d'or, est un concept mathématique qui donne le nombre irrationnel phi ou Φ, qui équivaut approximativement à 1,618. Il provient de la séquence de Fibonacci, qui est une série de nombres dans laquelle le nombre suivant est la somme des deux nombres précédents.
Le « nombre d'or » est un nombre irrationnel censé représenter une harmonie divine. Il a été sans doute découvert par des mathématiciens grecs de la haute Antiquité. Euclide (vers 300 av.
Un rectangle est dit d'or quand la proportion des deux côtés est égale au nombre d'or. Les résultats du quotient entre les longueurs du grand côté et du petit est égal à Phi, soit 1,618…
Par exemple votre processeur, les connecteurs de votre ordinateur, smartphone ou tablette utilisent de l'or. Vous pouvez aussi trouver de l'or dans les télévisions, vos consoles de jeux, vos imprimantes, … dans tous vos périphériques électroniques en fait.
Il existe plusieurs techniques d'orpaillage : La bâtée : c'est un outil qui ressemble à une assiette ou un chapeau chinois qui permet de séparer l'or du sable. L'orpailleur y place une poignée de sable avec de l'eau, effectue un mouvement bien précis et élimine petit à petit les grains de sable pour récupérer l'or.
Toutes les planètes du système solaire contiennent de l'or, puisque cet élément existait dans le nuage qui a donné le système solaire.
Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
On le rencontre partout dans la nature, les plantes, dans les proportions entre la diagonale et le côté du pentagone régulier ou encore en architecture, dans les proportions des différentes parties du Parthénon et même dans la pyramide de Khéops.
On analyse le visage à partir de 12 points dont les yeux, le nez, le menton, la bouche, les sourcils, la mâchoire et la forme du visage. Un visage sera considéré comme beau « mathématiquement » si les différents rapports de son visage respectent le nombre d'or . s / la distance entre les sourcils.
La pyramide de Khéops contiendrait elle aussi le nombre d'or, car si l'on divise les 147m de sa hauteur d'origine par les 115m de la demi-longueur du côté de son carré de base, on obtient la racine carrée du nombre d'or !
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.
L' homme de Vitruve
De Vinci place l'homme au centre d'un cercle et inscrit dans un carré: deux figures géométriques symboliquement opposées mais emboîtées, l'union des contraire, la dualité… Le rapport entre le côté du carré et le rayon est le nombre d'or.
Leonardo Fibonacci ou « Léonard de Pise » (vers 1170 à Pise - vers 1250) est un mathématicien italien connu notamment par la suite de Fibonacci. Ses travaux revêtent une importance considérable car ils sont le chainon apportant notamment la notation des chiffres indo-arabes aux mathématiques de l'Occident.
On dit “nombre d'or” mais il s'agit en réalité d'une proportion : vous trouvez cette proportion en divisant une ligne en deux, de façon à ce que la partie la plus longue divisée par la partie la plus courte donne le même résultat que si on divisait toute la ligne par la partie la plus longue.
Nombres premiers chanceux
Un nombre premier chanceux est un nombre qui est à la fois premier et chanceux. On ignore s'il existe aussi une infinité de nombres premiers chanceux. Les vingt premiers sont (suite A031157 de l'OEIS) : 3, 7, 13, 31, 37, 43, 67, 73, 79, 127, 151, 163, 193, 211, 223, 241, 283, 307, 331, 349.