L'égalité des sexes est accomplie depuis la Constitution de 1946. Il n'existe plus de mesure législative distinguant homme et femme, que ce soit en droit de la famille ou dans les relations de travail, à l'exception de quelques règles relatives à la période de la grossesse et de l'accouchement.
Niveau de diplôme, accès à l'emploi et aux postes de cadres, salaires et pensions de retraites, présence dans la vie politique, partage des temps domestique et parental : dans tous ces domaines, les inégalités entre les femmes et les hommes se réduisent lentement sur les décennies passées, ce dont on peut se réjouir.
Nulle part les droits des femmes ne sont définitivement acquis : en Europe, les femmes voient le droit à la maîtrise de leur corps remis en cause par des forces conservatrices.
En France, la réponse est oui ! Car aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Les droits de l'homme sont des normes qui reconnaissent et protègent la dignité de tous les êtres humains. Ils régissent la façon dont nous vivons en société et les uns avec les autres, ainsi que la relation qui lie les individus aux gouvernements et les obligations des gouvernements envers eux.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
1938 : Suppression de l'incapacité civile des femmes. 1944 : Ordonnance accordant le droit de vote et d'éligibilité aux femmes. 1946 : Le principe de l'égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines est désormais inscrit dans le préambule de la Constitution.
Finalement, les obstacles à l'évolution du statut de la femme actuellement, c'est le manque de formation et d'information, les femmes n'ont pas de capacités techniques et intellectuelles. Cela, c'est un premier handicap. Second handicap : le manque de moyens donc le manque de ressources financières.
Depuis 1946, l'égalité femmes-hommes est un principe constitutionnel. La loi garantit aux femmes dans tous les domaines des droits égaux à ceux des hommes. Malgré un important corpus législatif pour l'égalité professionnelle, la situation des femmes sur le marché du travail reste plus fragile que celle des hommes.
Les différences entre les hommes et les femmes sont le produit de la société, de la culture, d'habitus et de stéréotypes. Le genre permet donc d'analyser les situations sociales, les comportements et les rôles de chacun.
Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
Ceux-ci abordent les principaux états de la femme : épouse, mère, veuve [26] cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs.
La Belgique, le Canada, le Danemark, l'Espagne, la France, la Grèce, l'Irlande, l'Islande, la Lettonie, le Luxembourg, le Portugal et la Suède, ainsi que l'Allemagne et les Pays-Bas, figurent parmi les pays qui offrent une égalité totale entre les hommes et les femmes, du moins d'un point de vue juridique.
C'est lors de la deuxième conférence internationale des femmes socialistes, en 1910 à Copenhague, que Clara Zetkin, journaliste et militante allemande, appelle les "femmes socialistes de tous les pays" à organiser chaque année une Journée internationale des femmes.
Les décennies suivantes connaissent des avancées majeures pour les droits des femmes et plus particulièrement le droit qu'elles ont de disposer de leur corps : loi autorisant l'interruption volontaire de grossesse (IVG), entrée en droit français de la notion de harcèlement sexuel, inscription dans la loi de l'égalité ...
Dans la pensée médiévale, toutes les femmes sont des « filles d'Ève ». Elles sont donc réputées faibles – dans le droit, on utilise les concepts de « sexe faible » (fragilitas sexus ou infirmitas sexus) –, versatiles, excessives – en particulier, elles parlent trop –, lascives et portées à la luxure.
Les droits des femmes sont des droits humains !
Ces droits comprennent le droit de vivre libre de toute violence et discrimination, le droit au meilleur état de santé physique et mentale susceptible d'être atteint, le droit à l'éducation, le droit à la propriété, le droit de voter et le droit à un salaire égal.
Si la Norvège est le premier pays à faire participer les femmes à la vie politique et économique, c'est parce que l'égalité des sexes y a été érigée en dogme. La loi du 9 juin 1978 interdit tout traitement discriminatoire, et institue un médiateur et une commission de recours.
Brunei. À Brunei, monarchie absolue, ni les hommes ni les femmes n'ont le droit de vote aux élections nationales : ce droit (commun) ne s'applique qu'aux élections locales.
La liberté : parce que la volonté humaine est une part importante de la dignité humaine.
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille.