Les capitaux propres correspondent au montant que les propriétaires d'une entreprise ont investi dans ses activités. Ils comprennent l'argent que les propriétaires ont investi directement et l'accumulation des revenus gagnés par l'entreprise qui ont été réinvestis dans celle-ci depuis sa création.
Sur le plan comptable, les capitaux propres sont une composante essentielle du bilan comptable et sont enregistrés au passif du bilan comptable. Ils font partie des fonds propres et comprennent le capital social, les réserves, le report à nouveau, les primes d'émission et le résultat de l'exercice.
Pour calculer les capitaux propres d'une entreprise, il est possible d'adopter la formule suivante : capitaux propres = patrimoine de l'entreprise - dettes de l'entreprise. Il est également possible de les calculer d'une autre manière en faisant la somme des composantes des capitaux propres.
Les capitaux propres représentent la part du patrimoine de l'entreprise financée par les actionnaires ou associés. Le capital social, quant à lui, est la somme des apports en numéraire et en nature des associés au moment de la création de l'entreprise.
La notion de fonds propres en comptabilité est plus large que celle de capitaux propres. Les fonds propres sont constitués des capitaux propres et des autres fonds propres mais dans la plupart des entreprises, les deux notions sont synonymes.
Les mouvements affectant les fonds propres
Le résultat de l'exercice : A la clôture de l'exercice, le résultat vient s'ajouter au montant des capitaux propres. S'il est positif, il augmente les capitaux propres, et inversement. L'augmentation de capital : Elle consiste à accroitre le capital social de la société.
Comme l'actif, il est lui-même scindé en deux parties : le haut du bilan et le bas du bilan. Au passif, on retrouve dans le haut du bilan les capitaux propres de l'entreprise et dans le bas ses provisions pour risques et charges ainsi que les dettes qu'elle a contractées.
C'est le sociologue Pierre BOURDIEU qui est à l'origine de cette distinction entre capital économique, capital social et capital culturel.
Dans Les formes de capital (1986), Pierre Bourdieu distingue quatre formes de capital : capital économique, capital culturel, capital symbolique et capital social.
Il se décompose lui-même en capital fixe et capital circulant.
Concrètement, les fonds propres comprennent les montants inscrits dans les comptes 10 à 14 : le capital social, la réserve légale, les autres réserves, le report à nouveau, le résultat de l'exercice, les subventions d'investissement et les provisions réglementées.
1. Somme d'argent constituant l'élément principal d'une dette et rapportant des intérêts. 2. Patrimoine possédé par un individu, une famille ou une entreprise et pouvant rapporter un revenu.
Le passif est la contrepartie de l'actif du bilan comptable. Il comprend toutes les dettes que l'entreprise a contractées auprès de ses nombreux créanciers. Celles-ci lui permettent de financer son actif. Le passif du bilan est un élément du patrimoine qui a une valeur économique négative pour l'entreprise.
Définition "ressources propres"
Désignent les recettes de nature fiscale affectées à l'Union européenne afin de couvrir le financement de ses dépenses, dans le respect du plafond du PNB communautaire.
L'actif comprend tous les biens et droits que possède l'entreprise : bâtiments, fonds de commerce, matériel, créances, brevets déposés, par exemple. Il distingue l'actif immobilisé (fonds de commerce, matériel notamment) et l'actif circulant (stocks, personnel, créances, solde bancaire créditeur, par exemple).
Le capital humain correspond à l'ensemble des connaissances et des compétences acquises par les individus tout au long de leur vie et à leur état de santé qui leur permettent de réaliser pleinement leur potentiel en devenant des membres productifs de la société.
Le capital social c'est la valeur d'origine de l'entreprise, représentée par des sommes d'argents (apport numéraire, parts sociales, actions d'autres sociétés, etc.) et/ou des biens (immeubles, fonds de commerce, marques, brevets, etc.) mis à sa disposition soit par ses associés, soit par ses actionnaires.
En leur sein, les dominants-dominants (bourgeoisie d'Etat) sont pourvus d'un fort patrimoine de capital économique, culturel et social. Les dominants-dominés (professions libérales) sont mieux équipées en capital culturel mais moins riches en capital économique.
Cette théorie cherche à montrer que les agents sociaux développent des stratégies, fondées sur un petit nombre de dispositions acquises par socialisation qui, bien qu'inconscientes, sont adaptées aux nécessités du monde social.
Le capital fixe productif comprend les moyens de production relativement durables (dépassant la durée du cycle de production) et participant directement à la fabrication des biens ou à la réalisation de la prestation de service.
L'habitus désigne un système de préférences, un style de vie particulier à chacun. Il ne relève pas d'un automatisme mais d'une prédisposition à agir qui influence les pratiques des individus au quotidien : leur manière de se vêtir, de parler, de percevoir.
Les capitaux propres sont enregistrés au passif du bilan de l'entreprise et sont constitués par : Le capital social (somme d'argent déposée à la création de l'entreprise notamment) Les réserves légales et statutaires (bénéfices antérieurs non distribués)
S'il est positif, il correspond à du bénéfice, de l'année antérieure ou des années antérieures, qui n'a pas été affecté en réserves, ni en dividendes. S'il est négatif, cela signifie que l'entreprise a enregistré des pertes sur l'année antérieure ou sur les années antérieures.
Les éléments de l'actif ont une valeur économique positive (entrée de ressources). Le passif est constitué des capitaux propres (passif immobilisé) et des dettes (passif circulant). À l'inverse de l'actif, les éléments du passif ont une valeur économique négative (sortie de ressources).