Le droit international répond à cette fonction. Il précise de quelle façon se forment les règles obligatoires et quelle est leur autorité. Si on laisse de côté des instruments subsidiaires, deux modes principaux sont reconnus et utilisés dans la société interétatique : les traités et la coutume.
La doctrine et la jurisprudence constituent aussi deux sources secondaires de droit international, selon l'article 38 du statut de la CIJ.
Le droit international public est une branche importante du droit public. Il pose les bases du droit européen. Par opposition à ce domaine juridique, le droit international privé ne concerne que les relations entre les citoyens ou les entreprises de différentes nationalités.
Les approches réaliste, libérale et constructiviste sont les paradigmes (c'est-à-dire les modèles) dominants des relations internationales. À partir du critère de l'anarchie et à travers des propositions qui se veulent universelles, ils visent à identifier des régularités et à les comprendre.
Ses divisions, qui tendent à se multiplier, prennent deux directions principales. L'une, la plus importante, est de nature fonctionnelle: entrent dans cette catégorie le droit international du développement, le droit international économique, ou le droit international de l'environnement.
La mission de la Cour est de régler, conformément au droit international, les différends d'ordre juridique qui lui sont soumis par les Etats et de donner des avis consultatifs sur les questions juridiques que peuvent lui poser les organes et les institutions spécialisées de l'Organisation des Nations Unies autorisés à ...
L'esprit des Lumières favorise la rationalisation et la théorisation toujours plus avancée de la discipline que le philosophe anglais Jeremy Bentham qualifie pour la première fois de « droit international » à la fin du XVIIIe siècle.
Le droit international régit des rapports entre États
Il est consubstantiel à une société interétatique. Il disparaîtrait si apparaissait un État mondial. Il s'évanouirait si les États s'effaçaient au profit de nouvelles formes d'organisation politique.
Le droit international étant une dialectique de l'individuel et du collectif, de l'intérêt particulier et de l'intérêt général, il présente dès lors deux caractères fondamentaux : il est à la fois relationnel et institutionnel.
Francisco de Vitoria, père du droit international.
Le droit international privé a donc pour objectif de déterminer : la juridiction compétente pour trancher le litige (conflit de juridiction) ; la loi applicable pour trancher le litige (conflit de loi).
La DUDH : Fondement du droit international relatif aux droits de l'homme. La Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH) est généralement reconnue comme étant le fondement du droit international relatif aux droits de l'homme.
Le droit international peut être divisé en deux catégories : le droit international public et le droit international privé. Lorsqu'on parle simplement de droit international, il s'agit habituellement du droit international public. Traditionnellement, les seuls sujets du droit international sont les États.
Le juge international est porteur d'une véritable parole judiciaire. Son jugement est encadré par le Droit. Il apporte ainsi un regard a priori objectif et rationnel, un regard juridique sur des événements a priori irrationnels et incompréhensibles qui sont portés à son jugement.
Le droit constitutionnel Le droit du travail Le droit administratif Le droit des contrats Le droit commercial etc.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
Cette summa divisio entre droit privé et droit public est relative. En d'autres termes, il n'existe pas de séparation nette entre le droit privé et le droit public. Il existe en effet des droits « mixtes » combinant des règles de droit privé et de droit public. Par exemple, le Droit pénal est un droit mixte.
La société internationale est une société décentralisée. Le concept de souveraineté étatique y est largement dominant. Certes, les États sont conscients de leur interdépendance qui les amène à se regrouper et à coopérer au sein d'organisations internationales.
Les États. Les théories des relations internationales définissent l'État de diverses façons. Ainsi, pour les libéraux classiques, l'État est l'incarnation de la Raison ou de l'Intérêt général. Pour les néolibéraux, il est le lieu d'arbitrage des conflits entre les groupes d'intérêt de la société.
Les principaux d'entre eux sont les firmes multinationales, les États, les organisations non gouvernementales (ONG), les réseaux marchands informels et les mafieux.
UNESCO (Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture) FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture) PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement) UNEP (Programme des Nations Unies pour l'environnement)