Le Puissant : Allah est le plus puissant, le plus fort, sa force n'a pas de limite et ne se décrit pas avec des définitions de la force physique. L'Endurant : Une endurance digne de Lui, illimitée, infatigable, et qui n'est entachée d'aucune faiblesse, sans pause, sans interruption et qu'aucun facteur ne peut atténuer.
Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
Nom propre
(Religion) Nom de Dieu en hébreu, dans la Bible en français courant, parfois rendu par Yahweh , Yahvé ou Iavhé. Quand ces filles du Ciel, retournant au Seigneur, Comme ayant retrouvé leurs régions natales, Autour de Jéhovah se rangèrent en chœur, (…)
— La pratique musulmane a déterminé quels sont ces beaux noms sous lesquels il faut invoquer Dieu, et elle a admis qu'il y en a quatre-vingt-dix-neuf, complétés par un centième qui est simplement Allah, ou bien, conformément à la tradition juive, le nom ineffable.
Muhammad Abû Hâmid Al-Ghazâlî aussi appelé La preuve de l'islam en reconnaissance de son savoir et sa sagesse, est mieux connu en Occident sous le nom d'Al-Gazal. Il naît et meurt à Tûs dans le Khorâsân (Iran actuel) en 450H/1058EC.
Le Saint Esprit est doué de raison (Ac 15,28), de sentiments (Ep 4,30) et de volonté (1 Co 12,1), en conséquence de quoi, le Saint Esprit est plus qu'une puissance, Il est une personne. Le Saint Esprit habite le corps de tout chrétien né de nouveau (Jn 3,3 ; 1 Co 6,19).
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
Pluriel de 'éloha, qui signifie « Dieu ». On trouve ce mot dans la Bible et aussi dans les textes babyloniens d'Amarna.
Ainsi, les Elohims Arcturus, Tranquilité, Cassiopée, Cyclopée, Orion, Claire et Hercule au travers de ces messages vous proposent une connexion directe à leurs énergies de manifestation des qualités qu'ils incorporent.
Moussa est également le seul des prophètes à avoir entendu directement Dieu lorsqu'il reçoit les tables de la Loi sur la montagne, un apanage qui lui vaut le titre de kalîm Allah — « interlocuteur de Dieu ».
Le Puissant dont parle Marie est El-Shaddaï, qui s'était justement manifesté sous ce nom à Abraham, Isaac et Jacob, avant même que ne fût révélé à Moïse le nom de YHWH (cf. Exode 6,3). Et l'Islam ne contredira pas, lui pour qui Dieu est aussi le Tout-Puissant et le Miséricordieux.
Jésus est un des prophètes dont le nom – Issa ou Aissa en arabe – est le plus fréquemment cité dans le Coran, puisqu'il se trouve mentionné à 93 reprises.
Un attribut est un groupe nominal ou un adjectif qui sert à donner une caractéristique à un sujet ou à un complément d'objet direct par l'intermédiaire d'un verbe. En grammaire française, on distingue l'attribut du sujet et l'attribut du complément d'objet direct.
1. Ce qui appartient en propre à quelqu'un, à quelque chose : La parole est un attribut de l'homme. 2. Signe symbolique d'une fonction, d'un métier : La balance est l'attribut de la justice.
OMNISCIENCE, subst. fém. Science infinie que l'on attribue à Dieu.
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Rejet des pratiques « païennes »
Les Témoins de Jéhovah se distinguent également des autres confessions chrétiennes par le rejet d'un certain nombre de pratiques ou de symboles qu'ils considèrent comme païens.
L'homme prie, il porte ses paroles vers Dieu, mais en même temps, il les reçoit. Nous sommes donc très proches de notre réflexion initiale : l'homme prie, mais il ne prie pas seul. Un autre prie pour lui, en lui.