Les risques infectieux : il s'agit des risques d'infections liés aux soins ou aux diagnostics (infections nosocomiales à l'hôpital par exemple). Ce risque se présente en particulier lorsque l'acte médical implique l'introduction d'un corps étranger à l'intérieur de l'organisme.
Une infection associée aux soins nécessite une mise au point supplémentaire du diagnostic et du traitement, ce qui peut prolonger la durée de l'hospitalisation. Dans les cas graves, l'infection peut entraîner une invalidité de longue durée, voire le décès du patient.
Le moyen le plus important de réduire la propagation des infections est le lavage des mains – lavez-vous fréquemment les mains avec du savon et de l'eau, et si ce n'est pas possible, utilisez un désinfectant à base d'alcool (contenant au moins 60 % d'alcool).
Pénétration et prolifération dans le corps d'un micro-organisme invisible à l'œil nu (bactérie, virus), susceptible de provoquer un problème de santé. Une infection peut être locale ou généralisée (septicémie).
Par « prévention et contrôle des infections » (PCI), on entend les pratiques et les procédures fondées sur des données probantes qui, lorsqu'elles sont appliquées de façon constante dans les milieux de soins de santé, peuvent prévenir la transmission ou réduire le risque de transmission de micro-organismes aux ...
Les infections bactériennes peuvent être des otites, angines, infections de la peau (panaris, abcès…), diarrhées, infections urinaires et génitales. La prescription d'antibiotiques peut être nécessaire pour lutter efficacement contre la bactérie impliquée.
Les professionnels travaillant en établissement de soins (hôpital ou clinique) sont potentiellement exposés à des risques infectieux, à des produits chimiques, aux risques physiques, aux risques psychosociaux (RPS), aux troubles musculosquelettiques (TMS)...
Les facteurs aggravant l'apparition d'un IAS sont liés à : l'environnement dans lesquels sont délivrés les soins, la qualité des actes de soins, qu'elles soient thérapeutiques ou diagnostiques, et à l'état pathologique du patient.
- les infections exogènes qui sont soient des infections croisées transmises d'un malade à l'autre, soient des infections provoquées par les germes du personnel porteur, soit des infections liées à la contamination de l'environnement hospitalier. A l'origine de ces infections : - un manque de pratiques d'hygiène.
Les symptômes de la septicémie
La septicémie se traduit par une infection généralisée. Cette infection est responsable d'une fièvre élevée, mais parfois au contraire d'une chute de la température du corps (hypothermie), d'une fatigue majeure, souvent associée à une accélération des rythmes cardiaque et respiratoire.
On peut mourir d'une pyélonéphrite si elle n'est pas traitée à temps. Il ne faut donc pas négliger une infection basse avant qu'elle ne remonte. Et en cas de fièvre ou de douleurs dans les reins, il faut un traitement antibiotique en urgence. Parfois même en intraveineux pour commencer.
Symptômes et signes
Une infection généralisée se traduit par une fièvre plus ou moins élevée, des frissons et une altération de l'état général.
Les morsures humaines et animales et les autres plaies qui percent la peau peuvent permettre aux micro-organismes d'envahir l'organisme. Les insectes et tiques infectés peuvent transmettre des maladies lorsqu'ils mordent ou piquent.
L'amoxicilline est l'antibiotique le plus couramment prescrit en France chez l'enfant et l'adulte. Il est actif contre plusieurs espèces de bactéries responsables d'infections.
Les maladies infectieuses sont causées par des micro-organismes pathogènes, comme des bactéries, virus, parasites ou champignons. Ces maladies peuvent se propager dans l'environnement ou être transmises d'une personne à l'autre, entraînant ainsi la présence de la maladie dans nos collectivités.
Les mots « infection » et « inflammation » sont souvent employés ensemble, mais leur sens est très différent. L'infection est l'invasion de l'organisme par un agent pathogène qui s'y multiplie, tandis que l'inflammation est la réponse de l'organisme pour se protéger de l'infection.
À partir de 60°C, la chaleur tue une partie des microbes (avec un lavage en machine par exemple) ; À partir de 120°C, la vapeur d'eau tue également les microbes (avec un fer à repasser par exemple).
Les tests de détection des antigènes révèlent directement la présence d'un micro-organisme, de cette façon le médecin peut diagnostiquer l'infection rapidement, sans attendre que la personne produise des anticorps en réponse au micro-organisme.
Les mesures de prévention et de contrôle des infections visent à protéger les personnes qui peuvent être vulnérables aux infections, dans la communauté en général et lorsqu'elles reçoivent des soins en raison d'un problème de santé.
La prévention primaire a des effets positifs sur la santé et sur la performance de l'organisation à plus long terme. Elle est considérée comme la plus efficace mais c'est la moins utilisée. L'objectif que vise la prévention primaire est à la fois la clef de la réussite et le frein de son utilisation.